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Bonjour
Contactez-moi via Facebook "Base de Données Francophone de l'Imaginaire" afin que je vous donne ma nouvelle adresse.
Merci
Il y a aussi celui-là et quelques autres petites bricoles trouvées entre temps
Ben alors?? Même pas un petit commentaire pour nous z'aut' péquenauds?
Petit compte rendu en image sur la page d'accueil de mon site....Une superbe journée!
http://www.merveilleuxscientifique.fr/
Merci les amis, pas trop le temps de m'attarder ici ces derniers temps mais mon coeur est toujours avec BDFI qui reste une des grandes références de l'imaginaire sur le web. Longue vie également à vous et au plaisir de vous rencontrer je l’espère à Sèvres pour les rencontres de l'imaginaire!
Entrée gratuite. Pour le métro, n'étant pas Parisien difficile de vous donner des infos fiables..De mon coté pour le vernissage , je suis descendu à la station "Châtelet" remonté le Bd Sébastopol sur environ 500 mètres puis j'ai tourné à droite pour rejoindre la rue Qincampoix. Voilà, allez-y, super exposition, vraiment!
Du 24 mars au 26 mai 2012 se déroule l'exposition "Futur Antérieur" : RETROFUTURISME / STEAMPUNK / ARCHEOMODERNISME EXPOSITION COLLECTIVE"
Une superbe représentation de la vision du futur faite par nos ancêtres, un regard croisé entre anciens et jeunes artistes qui se recoupe
pour aboutir à un courant tout a fait passionnant et novateur. Gravures, sculptures, maquettes, livres, masques et peintures, autant de formes artistiques qui gravitent toutes autour d'une même volonté, celle de nous faire découvrir un futur recomposé dans un passé des plus extravagant.
Une exposition unique à ne manquer sous aucun prétexte, l'occasion de voir ou revoir des oeuvres surprenantes, sublimées dans un cadre des plus adéquat!
–"Exposition Futur Antérieur" 44 rue quincampoix, Paris 4e extension de l’exposition au siège d’agnès b. du 4 avril au 4 mai 2012 15 et 17 rue dieu, Paris 10e – du lundi au vendredi de 10h à 20h.
Un numéro des plus copieux, agrémenté de fort surprenantes photos en effet . La nouvelle de Jean Painlevé "La fin des robots" fut rééditée dans le numéro 29 du « Bulletin des amateurs d’anticipation ancienne » 3 éme trimestre 2002 et se trouve disponible ici :
http://www.bdfi.net/recueils/pages/cont … me_oie.php
Deux contes à la plume d'oie (1923) de RENARD Maurice [Recueil]
Ed. G. Crès & Cie, 1923.Je ne connais pas le contenu de ce petit recueil de luxe mais voici au moins la couverture du livre.
http://www.bdfi.info/img/vign/c/v_cresrenardcontesplume1923.jpg
Illustrations couleurs de Joseph Hémard.
Chère Cirroco, voilà ce que Francis Lacassin dans la collection Bouquin nous révèle:
- La Berlue de Mme d'Estrailles.
- Parthénope ou l'escale imprévue.
Moi ma p'tite image et le mot gentil qui va avec se trouvent sur cette page
La suite de ton volume est "L'astre d'épouvante" et porte le N° 7 de la collection , toujours avec une jaquette illustrée couleur ( que tout le monde connait non? )
Ok c'est fait....Merci!
C'est Georges...je me suis planté!
"CROISIÈRE SANS ESCALE " de B.ALDISS. Denoël "présence du futur" N°29
Un classique qui n'en demeure pas moins un super roman sur le thème
Quelle poisse d'habiter aussi loin et surtout de travailler un WE sur deux!
« La mention du M.Chudoba comment le mot robot et ses dérivations ont fait fortune dans la langue anglaise d'après le témoignage du dictionnaire d'Oxford me rappelle d'une dette ancienne. Ce mot n'a pas été créé par l'auteur de la pièce R.U.R. Néanmoins c'est lui qui l'a introduit dans la vie. C'était comme ça : dans un moment d'inattention l'auteur ci-dessus mentionné a eu l'idée d'une pièce. Et il a tout de suite couru auprès son frère Josef, un peintre, qui était en train de peindre sur la toile.
"Tiens, Josef," a commencé l'auteur, "j'aurais une idée d'une pièce. "Quelle idée," marmottait le peintre (et il marmottait vraiment parce qu'il tenait un pinceau dans sa bouche). L'auteur lui a dit le plus brièvement possible. "Alors écris-le," a dit le peintre sans sortir le pinceau de la bouche et arrêter de peindre la toile. C'était presque injurieux comment il était indifférent. "Mais je ne sais pas", a dit l'auteur, "comment appeler les ouvriers ingénieux. Je les appellerais "les labors" mais ça me paraît un peu artificiel." "Alors appelle-les les robots," marmottait le peintre avec le pinceau dans la bouche et il continuait a peindre. Et ça y était. C'est de cette façon que le mot robot est né; alors soit adjugé à son inventeur réel. »
Karel Capek, Lidove noviny (Le journal populaire), le 24 décembre 1933
D'après mes sources,« Robot » vient du Tchèque « Robota » signifiant : La corvée ( avec une notion de travail et de servitude): le Robot est donc un esclave métallique!
Il est clair que les auteurs anciens, peu importe leur talent, ne remportent pas la majorité des suffrages et je comprends la frilosité des éditeurs quand à d'éventuelles rééditions comme des pavés du style "Saturnin Farandoul". Je ne sais pas comment procède "Black coat press" pour rééditer autant de vieux textes Français, dont certains pratiquement impossibles à trouver ici. C'est toujours le même leitmotiv...nous sommes une minorité dans une minorité et reste à générer de nouveaux fans dans les jeunes générations. D'où l'intérêt de Bdfi et des autres blogs qui s'activent pour que perdure le souvenir de toute une époque ....Notre cause vaincra!
Et dire qu'il vient d'être réédité....aux états-unis! sans commentaire!
Question amusante et qui tombe bien, puisque je viens d'en parler aujourd'hui même sur mon blog.
je suis à la recherche d'une photocopie de la couverture du " Message mystérieux " si quelqu'un peut m'aider ?
Bonne moi ton adresse mail et je t'enverrai un scan de la couverture.
Faisant suite à mon amie Cirroco, je voulais juste apporter une petite précision.
Concernant l'ouvrage "SOS ici Paris" il n'a rien à voir avec "On va faire sauter Paris", il s'agit de deux thématiques différentes ( j'en reparlerai plus tard).
Il faut également rajouter à sa bibliographie ""Le mystère du tour de France", analysé en son temps dans le "Bulletin des amateurs d'anticipation ancienne", Les éditions du loisir collection "Aventures" 1939. IL faut de ce fait que je le rajoute également sur mon blog.
Amitiés.
Ce célèbre roman de Maurice Renard paru chez Louis Michaud, date effectivement de 1911, suivrons ensuite plusieurs éditions:
- Édition Française illustrée en 1920
- Éditions Crès en 1920
- Éditions Tallandier en 1958
- Éditions Filipacchi collection M.A.T en 1972
- Éditions Marrabout N° 599 en 1976
Longue vie et prospérité à notre nouvel ami!
Pour ma part hier j'ai trouvé, fait unique ici à Toulon, un lot d'une centaine de "J'ai lu science-fiction, pour un prix très très dérisoire. Je vais donc compléter quelques petits manques et majorer des étagères assez fortement encombrées de l'intégrale de la sé
rie "Univers". Rien d'extraordinaire mais tellement rare de nos jours de tomber sur ce genre de "lot"
j'y travaille ma chère Cirroco, mais avec tout ce que j'ai "sur le feu" cela risque d'être un peu long!
J'ai le roman et le bulletin en question où on en parle , mais aucune allusion à son éventuel auteur. Mon exemplaire possède une dédicace de l'auteur avec pour toute signature un P majuscule et sous la boucle du P deux petits "v" qui se superposent ( style une schématisation de deux oiseaux dans le ciel). En ce qui concerne les "bulletins" en regard du tirage...Bonne chance, car si vous n'aviez pas à l'époque la chance d'y participer, trouver une collection complète va s'avérer très hasardeuse.
Nous savions tous que Hirokazu Kore-Eda était un réalisateur d’exeption (voir «Still Walking» et «Nobody Knows» pour s’en convaincre) mais avec son dernier film "Air Doll" il confirme de manière encore plus évidente son trait de génie : Une poupée gonflable qui, lassée d'être l'objet sexuel d'un fétichiste introverti, prend un jour forme humaine et décide d'aller voir le monde à l'extérieur. L’histoire de Pinocchio revisitée par une des plus grands réalisateurs Japonais du moment.
Sur un concept relativement simple quoique absolument génial, le réalisateur nous parle d'individus qui, noyés dans une grande mégapole Japonaise, se retrouvent dans une solitude incommensurable, figures fantomatiques à la recherche d’une raison d’être et d’affirmer leur identité. Pensant d’une façon délicieusement naïve, que les autres personnages sont également constitués de « vide » (gonflés à l’air) elle va donc poursuivre sa quête d’identité et rencontrer toute une communauté d’individus rejetés, en mal de vivre ou frappés de pathologies dont la cause est ce malaise récurrent d’une société Japonaise qui peine à affirmer les failles de son système. L’actrice Doona Bae est absolument incroyable et donne au film un aspect de conte de fée métaphorique sur les excès d’une société de consommation où tout est vide, creux, propre à être jeté et remplacé. De nombreuses petites scènes parsèment ce film d’une authentique touche poétique pour ensuite nous livrer des passages d’une grande drôlerie où les personnages, caricaturaux à l’extrême (quoique…), donnent un équilibre parfait à un film d’une grande originalité. Visuellement, une fois de plus le réalisateur nous donne ici une parfaite leçon de cinéma et confirme une fois de plus avec cet « ovni » cinématographique, que le cinéma asiatique malgré l’utilisation jusqu'à la trame de toutes les vieilles recettes qui firent sont succès, est encore capable de nous étonner et de nous prouver par sa fougue, son impétuosité et son inventivité, qu’il lui reste encore des tas de choses à nous dire.
Un voyage sobre et mélancolique, une superbe allégorie sur notre vie éphémère parcourue de souffles et de vides et dont le fondement si fragile ne vaut que par l’importance que nous voulons lui donner et les rencontres qu’il nous sera possible d’y faire. Un grand film sur la solitude et l’importance du regard des autres
Si vous n’avez pas encore visionné cette véritable « perle », je vous assure foncez, vous ne le regretterez pas !
Nouvelle qui fut rééditée dans le recueil "Journal d'un homme trompé" NRF.1934 ( contient 12 nouvelles)
Beau Boulot! L'amitié Franco-Canadienne va ainsi renforcer ses liens!
Savoureux à souhait, en tout cas une excellente idée de nous le faire partager. Il faudrait en faire un livre d'or!
Parce qu'un peu d'humour ne fait de mal à personne,voilà un livre qui devrait certainement intéresser notre ami Guy Costes & Joseph Altairac, maigre récolte d'une matinée aux puces mais à rajouter au dossier déjà assez conséquent pour ne pas dire volumineux des "terres creuse" Hé!Hé!Hé!.
Dans ce "Pif et hercule chez les intra-terrestres" nous trouverons plusieurs histoires dont: "Le pavillon du crétacé","Voyage au bout de la nuit" et un curieux "1+1=1" qui n'est pas sans nous rappeler le curieux roman de F.C.Rosensteel, paru aux éditions Méricant dans la célèbre collection "Les récits mystérieux".
C'est rigolo que tu nous parles de tes superbes trouvailles aux puces car je viens de publier un article sur mon blog et concernant le superbe ouvrage de Jean-Jacques Gabut "L'age d'or de la BD".Un superbe et agréable moment de lecture:
Très belle prise félicitation!
Les nouvelles sous appellation "Fantômes et fantoches" est en fait une réédition du recueil introuvable de Maurice Renard, son premier album signé "Vincent Saint Vincent".Rare parce ce que la grande majorité des exemplaires entreposés furent détruits parait-il lors d'un incendie.A vérifier, il m'a fallu 20 ans pour trouver par hasard mon exemplaire.
En tout cas chère Christine, merci pour l'info qui a plongée tous les amoureux du genre dans une grande tristesse et tant pis pour les autres, qui ne savent distinguer les "bonnes" informations des ragots stupides et insipides que nous trouvons sur la toile.Mais encore faut-il frapper à la bonne porte.L'affaire était trop sérieuse et dramatique pour qu'un personne aussi impliquée que toi dans le domaine du populaire (dans le sens large du terme) nous transmette une information erronée. Malheureusement l'information ne semble pas produire plus d'effets pour le moment et j'espère que les réseaux sociaux et autres blogs et forums du genre permettront une plus grande reconnaissance et la pérennité de l'oeuvre d'un homme passionnant, qui voua toute sa vie à cette littérature que nous aimons tant.
C'est d'une tristesse affligeante surtout en regard du travail considérable de l'artiste et qu'une fois de plus sa disparition passe inaperçue. Pourquoi faut-il toujours que l'on parle des tocards,des artistes minables et que l'on nous inonde de ses bouses infâmes qui pullulent en couverture de certaines collections et que des artistes de grands talents disparaissent dans l'anonymat le plus total. J'avais déjà été révolté lors du décès passé sous silence de Franck Frazetta.
Je me rappelle d'une exposition ici à Toulon ou j'avais eu la chance de voir des originaux de la collection angoisse: qu'elle classe! Gourdon c'est le summum de l'art populaire qui s'exprime avec une grande simplicité mais avec une grande richesse. Une pureté des lignes qui en l'espace d'un trait simple et des perspectives d'une grande sobriété, arrive au détour d'une couverture à vous transporter, vous donner envie de dévorer le livre à pleine dent. Car le véritable talent de l'illustrateur, c'est de parvenir à vous donner le désir de vous plonger dans une œuvre rien qu'en admirant sa couverture.
Un grand monsieur qui à l'instar de Brantonne, donna ses lettres de noblesse à tout une catégorie de la littérature dite de "mauvais genre" et qui édifia au rang de collections mythiques, la série des "Angoisses" pour la beauté et la magie de ses somptueuses couvertures.
Mr Gourdon, vous allez nous manquer!
Voilà un œuvre intéressant qui mérite que l'on s'y arrête quelque peu .En tout cas si le roman est à l'image de la tête hallucinée de l'écrivain, les péripéties risquent d'être assez savoureuses.Merci à toi Dr Mabuse...
teddy verano a écrit :L'essentiel c'est d'avoir accès au texte et peu importe l'édition.
On peut te citer?
Oncle Joe
Mais bien sûr
L'essentiel c'est d'avoir accès au texte et peu importe l'édition. Il y a tellement de textes rares qu'il est encore impossible de trouver car jamais réédités. Soit le bienvenu parmi nous ami!
Waouh! l'illustration à des relents du style de Pellos. En tout cas un personnage assez singulier quine peut qu'attirer notre attention. Bravo à vous deux.
La Cirroco tu pousse le bouchon un peu loin, je croyais que c'était un forum sérieux......c'est génial, je reconnais là ton humour décalé. Superbe couverture!
Je reviens un moment sur l'idée du Capitaine Danrit remodelé à la mode Crâne Rouge.
A part la superbe série de la "Brigade chimérique", qui n'en est pas loin, il y aussi, en BD, "Les Sentinelles".
Maintenant que j'ai réussi à brancher un décodeur sur ma vieille TV, je peux voir l'émission "Un Monde de Bulles" (en ce moment sur "Public Sénat", visiblement une chaine excellente, malgré sa dénomination un peu austère), et je regarde l'interview du scénariste Xavier Dorison (ils vont aussi parler du dessinateur, Enrique Breccia):
http://www.editions-delcourt.fr/special/sentinelles/
... ça a vraiment l'air de se tenir. Le 3e tome vient de sortir.
Je crois que quelqu'un en avait parlé, quelque part sur le forum BDFI.Oncle Joe
J'en avais également parlé sur ma page Facebook, avant de devenir "Le club des savanturiers". Une excellent BD, dont j'attendais avec impatience le 3éme tome. Merci pour l'info oncle Joe
perso a part un coté sympa si on les met côte a côte (de boeuf , bien saignante ) , je trouve ses couvs d'une grande pauvreté ( pas lu les romans, mais j'aime bien la série ) : visuel rabaché, triste , sans originalité et d'une grande facilité . On dirait des pubs au rabais pour des cosmetiques , sauf que là ça fait " rabais" pour du vampirique
l'effet nostalgique jouerait peut etre moins sur des visuels utilisant la photographie , photoshoppée ou non ( cela m'etonnerait que les couvs des rares amazing storie avec photos aient le meme impact nostalgique que les autres ) , trop ancré dans le réel , meme avec une soucoupe ou un dragon derriere , surtout si eux meme sont traité en hyperréalismes : la place a l'imaginaire devient restreint , le cerveau est moins " marqué" par un délire d'enfant ou d'ados au vu d'une illustration non " réaliste" qui permet , elle , une part d'interpretation et de personnalisation du souvenir
je parle d'ados/enfants car je ne sais pas si la nostalgie fonctionne vraiment dans l'age adulte avancé ( si on voit une couv a 40 ans et si on la revoie 30 ans plus tard ...)
Pour ma part cela frise l'obscénité mais d'un fort mauvais goût! Bon à chacun ses fantasmes en matière de beautés fatales. Au fait au départ le sujet ne gravitait-il pas autour de l'AA? Tous les moyens sont bons pour dévier vers des considérations beaucoup plus frivoles.
teddy verano a écrit :Ok d'accord mais heu! je vais faire preuve d'un "chauvinisme" exaspérant, mais ce n'est vraiment pas la même classe. Alors on ne va pas repartir sur le sempiternel débat du "c'était mieux avant" mais je trouve les minettes des pul'ps et autres engeances de Betty Page, bien plus "excitantes" que les "lolitas" qui s'affichent sur les couvertures des genres que tu viens de citer. Je ne pousse pas des cris d'horreur, j'efface, je gomme, je raye de ma mémoire!
... alors que nous, on aime bien les couverture à la Gourdon...
C'est une vieille (sic!) question chez les (a)mateurs d'art "populaire": les couvertures de livres "populaires" (au sens littérature commerciale "industrielle") d'AUJOURD'HUI seront-elles regardées, dans quelques dizaines d'années, avec la même affection que nous regardons les couvertures "populaires" du passé?
Un de mes amis, dont je tairai le nom pour des raisons de discrétion bien compréhensibles, collectionne les séries de novellisations de feuilletons de TV RECENTS (je ne parle pas des vieux trucs des années 60-70, mais des trucs à la Buffy, par exemple), en me prétendant que, dans l'avenir, ils provoqueront le même type de nostalge. C'est tout à fait possible, mais... seul l'avenir nous le dira...
Regardez, aujourd'hui, l'espionnage, ça n'intéresse personne (Ah ! si ! il y a UN amateur, je crois...)Oncle Joe
Oncle Joe, je pense que des générations d'ado et les autres, Hé!Hé!Hé!, fantasmerons encore et toujours face aux formes généreuses de Bettie Page. Au risque à me répéter. Mais a chacun ses phantasmes! Et puis Buffy...elle est pas top!
Ké ? Pas fraîches ?
Elles sont pas fraîches les princesses en string avec de grosses zépées ? Elles sont pas fraîches les vampirettes avec leurs gros blasters ? (euh, non les blasters c'est dans Starwars, je dévie ).
Fraiches ( et encore quel sens à donner à ce terme)certes mais pas très! comment dirais-je "pulpeuses"
teddy verano a écrit :l'on en vient parfois à regretter, en regard de la production actuelle, cette époque une peu naïve ou de super pin-up aux formes avantageuses, se démenaient comme des diablesse, sous le regard avide de dangereux criminels ou de monstres aux redoutables tentacules. Maintenant on ne cache plus rien, l'imagination n'est plus reine, ce qui est encore pire qu'avant!
Pour faire dans la provoc à deux balles style "en-face", je dirais que ces couvertures naïves pleines de pin ups dévétues existent toujours : il suffit de regarder les illustrations des romans de Fantasy ou de Bit'Lit chez Milady, Orbit, Eclipse et compagnie.
Bizarrement, ce sont souvent les défenseurs des Pulps qui poussent des cris d'horreur devant ces charmantes (et modernes) dames peu vétues, allez comprendre...
Ok d'accord mais heu! je vais faire preuve d'un "chauvinisme" exaspérant, mais ce n'est vraiment pas la même classe. Alors on ne va pas repartir sur le sempiternel débat du "c'était mieux avant" mais je trouve les minettes des pul'ps et autres engeances de Betty Page, bien plus "excitantes" que les "lolitas" qui s'affichent sur les couvertures des genres que tu viens de citer. Je ne pousse pas des cris d'horreur, j'efface, je gomme, je raye de ma mémoire!
teddy verano a écrit :Et puis comme disait Sadoul peut-être qu'effectivement "Les Pulp's" sont beaux, les couvertures attirent le regard, ça pète à la figure tellement les couleurs sont vives et les créatures extraordinaires mais nul doute que le contenu n'est toujours à la hauteur de la couverture
... cependant, ce type de beauté n'est pas apprécié par tous, qui y voit une manifestation de vulgarité. Je crois que c'est cet aspect" vulgaire", que certains d'entre nous adorent, qui est vu de manière négative.
Oncle Joe
Tout à fait et ce fut pendant longtemps une source de polémique et d'interdictions car on jugeait certaines couvertures trop osées, violentes, indécentes...j'en passe et des meilleure. Tout un aspect d'une forme artistique très méprisée, l'expression d'une certaine originalité, d'un art populaire brut, coloré, qui était perçu comme de la vulgarité et considéré comme un sous produit culturel. Pourtant cet aspect "mauvais genre" est l'expression picturale de nos peurs, de nos angoisses, de nos fantasmes, un pur produit de l'imaginaire totalement décomplexé. Il en était de même pour les affiches de cinéma, illustrées en autre par Belinski, de l'art populaire à l'état pur, des couleurs et des formes absolument magnifiques.
Pourtant c'est un genre qui revient de plus en plus à la mode et l'on en vient parfois à regretter, en regard de la production actuelle, cette époque une peu naïve ou de super pin-up aux formes avantageuses, se démenaient comme des diablesse, sous le regard avide de dangereux criminels ou de monstres aux redoutables tentacules. Maintenant on ne cache plus rien, l'imagination n'est plus reine, ce qui est encore pire que tout!
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