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Pour faire un petit tableau de comparaison, je cherche des références d'immeubles en SF (y compris ancienne) de très grande hauteur, si possible supérieur à 700m (sauf ouvrage marquant, si l'immeuble et ses conséquences constituent les thèmes centraux) avec les infos suivantes :
Titre, auteur,date | Hauteur | Etages | Type (*) | Habitants | Date | Rôle central |
----------------------------------------------+--------------+---------+----------+------------+------+--------------+
IGH, Ballard, 1975 (pour mémo) | ? (~ 120m) | 40 | Mixte | 2000 | ? | +++ |
Blade runner, Dick, 1968 | ? (~ 1,5km)| 400 | Mixte | ? | ? | - |
La tour de verre, Silverberg, 1970 | 1,5km | ? | ? | ? | 2218 | + |
Les monades urbaines, Silverberg, 1970 | 3km | 1000 | Mixte | 1 million | 2381 | +++ |
----------------------------------------------+--------------+---------+----------+------------+------+--------------+
(*) Habitation, commerces, hôtel, mixte, autre
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Jan Weiss, La maison aux mille étages,(1929) Marabout n° G266 (1967)
Hauteur : non précisée
Type : mixte, toute l'humanité y vit
Date : je ne crois pas qu'elle est précisée, la numérotation des années a une origine relative
à un évènement indépendant de l'ère chrétienne
Rôle : elle abrite toute l'humanité sous la férule du docteur Ohisver Muller.
Le héros n'a pas de nom car il n'a pas encore rencontré le docteur Muller
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Les Chronolithes, Robert Charles Wilson, Denoel (2003)
c'est pas habité, enfin, on ne sait pas à quoi ça sert !
mais c'est assez haut, le premier ne fait que 100m, mais les suivants sont beaucoup plus hauts.
La hauteur joue un rôle important dans l'histoire ...
J'avais beaucoup aimé le livre, c'était le premier que je lisais de Robert Charles Wilson, malgré la critique médiocre.
Maintenant je ne suis pas sûr que cela corresponde à ton sujet, mais cela a été ma première idée, ce serait bête de la garder pour moi tout seul
http://www.noosfere.org/icarus/livres/n … re=-318307
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Je me souviens aussi de "Horizon vertical" (de Jeter, je crois, en J'ai Lu), avec une structure verticale très bizarre. Un souvenir mitigé, je ne suis pas très fan de cet auteur, présenté partout comme un successeur de Dick pour des raisons qui m'échappent (en dehors du fait que c'est un fan de Dick, qu'il a connu, etc, je parle de raisons littéraires).
Joe
PS: et sur la Trantor d'Asimov?
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- Le Monde Inverti de Christopher Priest correspond à peu près à la demande : ville-immeuble sur chenille (sans doute de grande hauteur) regroupant une partie de l'humanité
- Villes vertiges de Richard Canal (1988, L'Aurore) : d'après mes souvenirs d'il y a vingt ans, il s'agit de grands immeubles sur une planète glacée...
- l'agonie de la lumière de G.R.R. Martin : si mes souvenirs d'il y a 18 ans sont bons, une bonne partie de l'action se déroule dans un grand immeuble presque désert.
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Vague souvenir aussi de la trilogie de la Chute des Tours de Delany, qui ne m'a pas marqué (lu il y a incroyablement longtemps, en CLA...).
Joe
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Je me souviens aussi de "Horizon vertical" (de Jeter, je crois, en J'ai Lu), avec une structure verticale très bizarre. Un souvenir mitigé, je ne suis pas très fan de cet auteur, présenté partout comme un successeur de Dick pour des raisons qui m'échappent (en dehors du fait que c'est un fan de Dick, qu'il a connu, etc, je parle de raisons littéraires).
Joe
PS: et sur la Trantor d'Asimov?
Tout à fait d'accord avec toi.
Les deux suites de KW Jeter à "Blade Runner / Les androïdes rêvent-ils de moutons éléctriques ?" (dont il mélange les matériaux sans vergogne) sont véritablement catastrophiques et ne respectent ni le livre, ni le film...
"Dr Adder", c'était pas trop mal, mais ça veillit vite...
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Et si on dérive sur les tours, on peut ajouter "la tour sombre " de S. King et "la tour noire" de P.J. Farmer (Fleuve de l'éternité).
Vague souvenir d'un immeuble qui traverse les nuages, mais je ne me souviens plus de quoi qu'il s'agit (oui, je sais, la vieillesse etc...).
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Il y a aussi la tour de Hardoon dans "Le vent de nulle part" de J.G Ballard.
Pas le temps de développer, donc je te fais un copié-collé d'un truc que j'avais écrit sur Ballard :
"Quant aux rares personnages qui osent affronter l'adversité - le révérend Johnstone dans The Drought ou Hardoon dans The Wind from Nowhere - ils échouent. Le cas du millionnaire Hardoon mérite qu'on s'y attarde. A mesure que le vent souffle de plus en plus fort - pour atteindre près de huit cents kilomètres heure à la fin du roman - les survivants sont forcés de s'enterrer alors que les édifices érigés par l'homme sont rasés de la surface de la planète. Pendant ce temps, en parallèle, Hardoon, magnat du bâtiment, fait construire une gigantesque pyramide censée affronter la tempête et lui résister indéfiniment. Une bonne moitié du roman est ainsi rythmée, à la fin de chaque chapitre, par quelques paragraphes en italique qui racontent par le menu l'édification de la pyramide, dernier défi de l'homme aux éléments, unique contrepoids aux destructions qu'ils provoquent. C'est un travail qui se fait lentement, mais sûrement, sur le rythme posé de l'assurance, de la confiance en soi et en ses moyens. Hardoon est d'abord présenté de façon très positive. Pragmatique, fier et solide comme un roc, il ne fuit pas, n'abandonne pas, ni physiquement, ni moralement. Il met en place des moyens gigantesques pour parvenir à ses fins, et n'a rien à envier à la force destructrice des vents quand il rase une colline pour y bâtir son refuge. Du haut de sa tour enfin construite, il ressemble à une fière statue de bronze qui se dresse face aux vents et qui ne détourne pas le regard. Pourtant, il doit à son tour finir par se mettre à l'abri, et une fois le personnage inclus dans la trame principale du récit, il redevient humain, trop humain. Les travailleurs esclaves qui ont contribué à la construction de la pyramide sont sacrifiés comme leur homologues du passé. Le courage et la fierté de Hardoon prennent des relents d'hubris, et seront sanctionnés comme tels, avec la chute de l'indestructible pyramide. C'est alors que prend tout son sens une image vue plus tôt lors de la construction de la Tour Hardoon : « black-suited workers moved rapidly like frantic ants » (50). Aussi ambitieuse et impressionnante soit-elle, cette pyramide n'est effectivement qu'une fourmilière, et finira par être balayée comme telle, à l'image de tous les autres artefacts de l'univers catastrophe de Ballard."
Mais ça ne donne pas la taille exacte... à rechercher
Dernière modification par Mister Lag (27-04-2007 14:41:00)
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En SF ancienne, je ne crois pas qu'il y ait beaucoup d'immeubles vraiment très très grand.
Il y a une ville haut perchée dans un roman co-signé par Lanos et Perrin, mais je ne sais plus si elle est vraiment si haute que ça.
Il y a aussi "Le Gratte-ciel des hommes heureux" de Lucien Corosi (1949), mais il faut là aussi que je regarde la hauteur.
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Sinon, dans la SF plus moderne, il y a eu plusieurs histoires de "mondes à étages", comme signalé plus haut, dont l'une chez Gilles Thomas / Julia Verlanger.
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Sinon, dans la SF plus moderne, il y a eu plusieurs histoires de "mondes à étages", comme signalé plus haut, dont l'une chez Gilles Thomas / Julia Verlanger.
Oui, La légende des niveaux fermés, bien sympa d'ailleurs, comme quasiment tous les bouquins de Gilles/Julia. Mais là, c'est plutot un immeuble en sous-sol...
Et puiqu'on est dans les Fleuve Noir, on peut rajouter :
- Le disque rayé de Kurt Steiner (le premier univers visité est accroché sur des pylones au-dessus d'un océan pollué (attention aux algues !)).
- Mecanic jungle de Pierre Suragne/Pelot (un immeuble ville)
- Top Niveau de Patrick Lamart (plus on monte dans les étages plus on est dans une caste élevée, et on grimpe dans la hiérarchie à grands coups dans la tronche des autres )
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Il faudrait aussi courageusement vérifier si, dans "Métropolis" de Thea von Harbou, des tailles d'immeubles sont données. Même chose, d'ailleurs, dans "Qd le Dormeur s'éveillera" de Wells...
Joe
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Je reviens sur Le Gratte-ciel des hommes heureux de Lucien Corosi (Fasquelle, 1949), petit chef d'oeuvre inconnu et illustration parfaite du thème évoqué ici.
Dans cette anticipation, l'humanité se réfugie peu à peu dans des buildings qui ne cessent jamais de grandir.
Quelques extraits de mon article à ce sujet :
Le début :
En 1964, à New-York, le plus grand gratte-ciel du monde vient d’être construit après sept ans de travaux, le Henderson Building, un monde miniature et autonome de 259 étages, dont 72 enterrés et 187 s’élançant dans le ciel, abritant 114 000 personnes. Sous terre ou dans les hauteurs, tous les étages se ressemblent, car ils sont éclairés par une lumière artificielle.
Vers la fin :
Le vingt-deuxième siècle arrive. “Le rêve de Hou Araman s’était réalisé. New-York, la Cité Unique, abritant la population de la Terre entière, comptait maintenant cinq milliards d’habitants. Du Pôle Nord au Pôle Sud, l’eau couvrait, ou le feu avait consumé, les ruines des continents d’autrefois.
Pour empêcher la naissance de nouvelles forêts, de nouvelles brousses, refuges des animaux sauvages et foyers éventuels d’épidémies dangereuses, d’énormes nappes de gaz étaient projetées de temps à autre, guidées par radar, dans les quatre directions du vent, afin de détruire tout être vivant et toute végétation possible.
Au milieu des dix mille immeubles géants de New-York, Herderson Building demeurait le plus énorme gratte-ciel que l’effort humain ait jamais construit depuis la création du monde. Douze cents étages sortaient du sol, huit cents y plongeaient leurs racines. Son accroissement vers les hauteurs et les profondeurs de la terre n’avait pas cessé un instant depuis un siècle. La gigantesque statue d’Hou Araman, l’incarnation du triomphe d’un Évangile nouveau, trônait sur son toit, au milieu d’un parc féerique, à plus de trois mille mètres d’altitude.
La paix régnait dans la Cité Heureuse, où vivaient pourtant quatre-vingt peuples différents, parlant cent-dix langues et pratiquant deux cent soixante trois religions. La loi punissait de détention perpétuelle le port ou le stockage de toute arme (…).” Les dites armes sont d’ailleurs pourchassées grâce à l’utilisation de rayons cosmiques capables de les détecter n’importe où.
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Je reviens sur Le Gratte-ciel des hommes heureux de Lucien Corosi (Fasquelle, 1949), petit chef d'oeuvre inconnu et illustration parfaite du thème évoqué ici. Dans cette anticipation, l'humanité se réfugie peu à peu dans des buildings qui ne cessent jamais de grandir.
As-tu un scan de cet ouvrage ? Tu connais mon appétît d'images
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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As-tu un scan de cet ouvrage ?
Non.
Tu connais mon appétît d'images
Pas d'images pieuses, en tout cas...
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La Citadelle du Vertige d'Alain Grousset en Livre de poche Jeunesse. Je n'ai pas l'exemplaire sous la main, perdu dans les vertiges du premier étage juvénile de la maison
Toutefois, d'après mes souvenirs, il s'agit d'un édifice qui peut loger des villages entiers à chaque étage et dont les métiers prestigieux sont les maçons, vitriers, etc. Toujours nébuleux dans mon esprit, je crois que la population monte d'un niveau à intervalle plus ou moins régulier et qu'elle est là pour entretenir, évidemment.
Un livre très sympathique pour la belle jeunesse.
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..., si possible supérieur à 700m ...
Pour ce que ça vaut :
David Weber, Une guerre victorieuse et brève (The short victory war, 1994 ), L'Atalante (2001)
page 330:
"L'ascenceur déposa le chef de la Sécurité et ses gardes du corps dans le garage situé au quatre centième étage de la tour. "
400 étages x 3 mètres = 1 200 mètres, donc ceci peut t'interesser.
Ceci dit l'auteur aurait dit 40 ou 4 000, cela n'aurait eu aucune importance dans la suite de l'histoire
il doit y avoir dans l'air du temps actuel, le fait qu'une tour du futur doit avoir cette hauteur là
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"Structura Maxima", d'Olivier Paquet (Denoël).
Joe
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La Citadelle du Vertige d'Alain Grousset en Livre de poche Jeunesse. Je n'ai pas l'exemplaire sous la main, perdu dans les vertiges du premier étage juvénile de la maison
Ce fut le tout premier d'Alain à être publié (je me souviens encore l'entendre me raconter son scénario au téléphone) et le moins que l'on puisse dire est qu'il fut le premier d'une longue série.
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Dave O'Brien a écrit :Je reviens sur Le Gratte-ciel des hommes heureux de Lucien Corosi (Fasquelle, 1949), petit chef d'oeuvre inconnu et illustration parfaite du thème évoqué ici. Dans cette anticipation, l'humanité se réfugie peu à peu dans des buildings qui ne cessent jamais de grandir.
As-tu un scan de cet ouvrage ? Tu connais mon appétît d'images
Le voilà :
(Par ailleurs, je connais depuis samedi un endroit où il est disponible pour 10 euros.)
Dernière modification par Dave O'Brien (08-05-2007 19:04:11)
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(Par ailleurs, je connais depuis samedi un endroit où il est disponible pour 10 euros.)
Où, où, où ?
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Librairie "Le Chat botté", à Fontenoy-la-joute (en Lorraine).
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Cirroco Jones a écrit :La Citadelle du Vertige d'Alain Grousset en Livre de poche Jeunesse. Je n'ai pas l'exemplaire sous la main, perdu dans les vertiges du premier étage juvénile de la maison
Ce fut le tout premier d'Alain à être publié (je me souviens encore l'entendre me raconter son scénario au téléphone) et le moins que l'on puisse dire est qu'il fut le premier d'une longue série.
Trois couvertures, 1994, 1997, 2001. Je ne sais pas à quoi ressemble l'originale par contre, pas trouvé.
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Trois couvertures, 1994, 1997, 2001. Je ne sais pas à quoi ressemble l'originale par contre, pas trouvé.
http://images.imagehotel.net/2474a6f527_tn.jpg http://images.imagehotel.net/4c977c53e6_tn.jpg http://images.imagehotel.net/02899f1afe_tn.jpg
A mon avis, la couverture originale c'est celle du mileu que tu annonces pour 1997. La réédition de 1997 correspondrait plutôt à ça :
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Cirroco Jones a écrit :Trois couvertures, 1994, 1997, 2001. Je ne sais pas à quoi ressemble l'originale par contre, pas trouvé.
http://images.imagehotel.net/2474a6f527_tn.jpg http://images.imagehotel.net/4c977c53e6_tn.jpg http://images.imagehotel.net/02899f1afe_tn.jpg
A mon avis, la couverture originale c'est celle du mileu que tu annonces pour 1997. La réédition de 1997 correspondrait plutôt à ça :
Probablement, je trouvais cela curieux aussi que la plus blanche soit plus récente.
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Le Gratte-ciel des hommes heureux de Lucien Corosi (Fasquelle, 1949), petit chef d'oeuvre inconnu et illustration parfaite du thème évoqué ici. Dans cette anticipation, l'humanité se réfugie peu à peu dans des buildings qui ne cessent jamais de grandir.
Dans ce genre là, Boris Vian, "Les bâtisseurs d'empire" :
quand un bruit précis résonne dans l'immeuble, les habitants doivent monter d'un étage, et chaque étage est plus petit que le précédent...
Mais rien ne précise la haureur de l'immeuble.
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Pour Alain Grousset, je signale qu"il est élégant de dire "Alain Groussetdelire" (dénomination de Dominique Martel).
Joe
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Pour Alain Grousset, je signale qu"il est élégant de dire "Alain Groussetdelire" (dénomination de Dominique Martel).
Joe
Oui, mais les plus jeunes ne comprendraient pas
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Il faut qu'ils apprennent... c'est ça la culture!
Joe
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Il faut qu'ils apprennent... c'est ça la culture!
Joe
La culture c'est ce qu'il reste quand on a tout oublié.
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Exactement! Pa
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Visa pour l'outre-temps de Bernard Villaret, Présence du futur n°213, Editions Denoël, 1976.
Depuis cinq cents ans, les concentrations urbaines, les grandes "villes-cirques", ont été déclarées nocives pour l'espèce humaine. Celles qui subsistent sont petites et très hautes.
Pourquoi Point Zéro a-t-il été condensé en hauteur ? Pour occuper le moins de place possible. Plus les villes s’étendent, plus elles réduisent les surfaces cultivables. Ce n’est pas une idée nouvelle : déjà les Incas avaient compris cela; ils ne construisaient leurs villes, et même leurs villages, qu’en des endroits rocailleux où la culture se révélait difficile.
Sa chambre d'angle s'ouvrait de larges baies qui donnaient une vue en cinémascope sur les hauts buildings voisins baignés d'un soleil printannier. Il constata qu'il se trouvait très haut, vers le centième étage d'un immeuble aux lignes austères, qui voisinnait avec d'autres édifices dont les fenêtres largement ouvertes laissaient voir les occupants.
Dernière modification par Fantomas (29-06-2007 22:27:29)
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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Je viens de lire "Nuage" d'Emmanuel Jouanne, un truc bizarre paru en Ailleurs et demain en 1983.
Il y est question d'une planète qui n'a pas de noyau et est entièrement composée d'étages... "Si nous nous basons sur un diamètre planétaire de 12000 kilomètres... en comptant une moyenne de 200 mètres par étage... ça nous donne trente mille étages... trente mille mondes en un ! (p.126).
Dernière modification par Mister Lag (17-09-2007 21:16:42)
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peut-être Ubik, mais je ne m'en souviens plus
Nan, il y a bien des bâtiments, dont un hôtel où se déroule une partie de l'action, mais rien qui entre dans ce que cherche Gil.
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Peut-etre alors pourrions nous aussi citer "Metropolis" de Théa Von harbou
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Je viens de lire "Nuage" d'Emmanuel Jouanne, un truc bizarre paru en Ailleurs et demain en 1983.
Il y est question d'une planète qui n'a pas de noyau et est entièrement composée d'étages... "Si nous nous basons sur un diamètre planétaire de 12000 kilomètres... en comptant une moyenne de 200 mètres par étage... ça nous donne trente mille étages... trente mille mondes en un ! (p.126).
Dans le même genre de planète à étages (mais ça ne correspond plus vraiment à la demande initiale de Gil) il y a aussi La geste du Halaguen de Guy Scovel-J.P. Fontana
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J'avais espérer vous proposer les Tours de Cristal (Henri Vernes -Bob Morane n°102- Marabout 1970) mais elles sont rikiki : une petite centaine de mètres de haut
par contre le temple de Goa en pyramide inversée bien que ses dimensions ne soient pas précisées (mais le surplomb de la falaise auquel il est adossé dépasse de "plusieurs centaines de pieds" ) doit pouvoir faire l'affaire ? (Kenneth Robinson "the Magic Island" Aka "Ost" 1937, réimpression Bantam 1977 ISBN 0-553-07790-2)
il y a aussi des structures habitables (pas forcément par des humains) chez HPL
sans oublier ceci qui est un projet réel :
http://modelarchives.free.fr/Bestiaire/ … index.html
et qui à 2000m de haut vaut le détour ....
Yeti du Harz
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http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=38652#p38652
Dans Intelligence Building, le héros vit et travaille dans un gratte-ciel. Sa chambre se trouve à 40 km au-dessus de la terre et il y fait toujours beau mis à part parfois un cumulus égaré...
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Dans Le pays de la nuit, de William Hope Hodgson, l'humanité survit dans deux immenses structures pyramidales. Je ne me souviens pas que les dimensions ou le nombre d'habitants soit clairement donnés.
Pour revenir sur les mondes gigognes, on peut citer également Sursamen, sur/dans lequel se déroule toute l'histoire de Trames de Iain M. Banks.
Et, à propos projet de tour de 2000 mètres et les limites actuelles de la hauteur des tours. Cet article date de 1934, mais est très instructif. Une tour de 2000m de hauteur faite pour être base aérienne et de défense de Paris...
Dernière modification par gloubik (09-08-2011 17:19:42)
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... Si on déborde effectivement sur les "mondes à étages", alors on pourra envisager d'inclure celui des "Faiseurs d'univers", de Farmer (déjà cité pour "Le fleuve de l'éternité").
Mais le premier qui me soit venu à l'esprit, c'est bien évidemment la tour de Babel !
Sinon, n'y a-t-il pas aussi une immense tour, vers la fin de "Glory Road", de Robert Heinlein ?
Et, dans le cinéma, je pensais aussi à cette "tour" dont est propriétaire le personnage de Valentin, dans le film "Mirromask" (vu qu'il n'arrête pas d'en parler et de s'en vanter pendant tout le film... jusqu'à ce qu'on finisse par la voir réellement, un peu plus tard).
... Mais aucune mesure à donner pour ce qui précède, malheureusement.
Bon, c'est sûr, on n'est pas trop dans la catégorie "gratte-ciel" stricto sensu avec ces propositions...
Dernière modification par snarkhunter (25-10-2012 10:05:03)
"What I tell you three times is true."
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Salut,
Dans sa dernière vision de ses villes bleues, Tolstoï indique que les maisons ont des toits qui "accrochent les nuages".
http://russkayafantastika.hautetfort.co … lstoi.html
A+
Patrice
Pensez bleu, comptez deux.
http://www.lingva.fr
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Belzébuth a écrit :Dave O'Brien a écrit :Je reviens sur Le Gratte-ciel des hommes heureux de Lucien Corosi (Fasquelle, 1949), petit chef d'oeuvre inconnu et illustration parfaite du thème évoqué ici. Dans cette anticipation, l'humanité se réfugie peu à peu dans des buildings qui ne cessent jamais de grandir.
As-tu un scan de cet ouvrage ? Tu connais mon appétît d'images
Le voilà :
http://www.bdfi.info/img/vign/c/v_corosi_-_gratte-ciel_des_hommes_heureux.jpg
(Par ailleurs, je connais depuis samedi un endroit où il est disponible pour 10 euros.)
Et Teddy a fini par en parler longuement (hautement?) dans son blog : http://merveilleuxscientifiqueunblogfr. … itectural/
Mais il faut s'inscrire sur FB pour l'apprendre désormais
(et notre détective oublie de répondre aux questions en suspens sur le blog, où va-t-on?!)
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