Vous n'êtes pas identifié(e).
(la couverture ne vaut pas un scan, très banale sans image, il existe peut-être une jaquette)
Oui
Et si M. Limat évite les parages de Jupiter, par contre il adore les astéroïdes, ceux de la ceinture (qu'il appelle "astricules" ou petites planètes) et tous les cailloux errants, y compris les comètes, qui permettent des tas d'effets dramatiques intéressants !
Comme je le disais hier, les scènes de bataille ou de duel en astronef sont des séquence quasi-obligées dans un fascicule de M. Limat où elles abondent. Comme en témoigne celle-ci :
Le rayon du pistolet creusait la matière, en dispersant les atomes qui se trouvaient sur son redoutable passage. Planchers, plafonds, murs de métal, portes, angles, encoignures, tout l’astronef portait des traces du duel. Des trous ronds, sans bavures, voilà ce que ça donnait. (Maurice Limat, Les passagers du silence, 1954)
Dans les astronefs de M. Limat, y a souvent un problème avec les hublots mal fermés !
Tout à coup, Vital fut saisi aux épaules, poussé de façon irrésistible contre le hublot qui, n’étant pas maintenu, s’ouvrit tout grand dans le vide.
… Le grand vide interplanétaire où Vital était projeté comme par une catapulte… (Maurice Limat, Les passagers du silence, 1954)
Etonnantes ces petites réflexions naïves comme :
qui emportait le super-astronef à une vitesse inconnue
Les ingénieurs, les héros, les astronautes, et autres pilotes d'astronefs ignorent, presque toujours, la vitesse de leurs zengins ! Beaucoup d'emphase naïve, de super, d'hyper, d'immense, d'inconcevable, etc. chez notre ami Limat
En bonus, une autre citation du même, il y a presque toujours une scène de bataille dans un astronef dans les fascicules astronautiques de Limat :
Par-dessus le ronronnement incessant des machines à désintégration lumineuse [il veut dire un moteur photonique], qui emportait le super-astronef à une vitresse inconnue, à travers le vide intersidéral, un grondement lui parvenait. C'étaient des appels, des cris, parfois le crépitement d'un pistolet désintégrant, et le piétinement , la galopade des groupes d'hommes armés qui se cherchaient, se jetaient les uns sur les aures.
Mouais ; mais, bizarrement, M. Limat n'aime pas Jupiter (Mercure non plus), je sais pas pourquoi, mais il oublie très souvent de la citer dans ses énumérations de planètes. Je crois qu'il ne la cite qu'une fois ou deux dans tous les fascicules repris dans Apex, alors qu'il n'y en a que pour Saturne, Mars, Vénus, Pluton et les autres. Il ne situe jamais ses histoires dans le voisinage de Jupiter ni sur une de ses lunes...
Aujourd'hui, M. Limat est fâché avec les distances astronomiques :
A près de six millions de kilomètres du Soleil, une planète plus petite que la Terre roule, lentement, exécutant son périple autour de l'astre central en un temps équivalant à deux cent cinquante années terrestres (Maurice Limat, Chasseurs de comètes, 1955)
Question subsidiaire : de quelle planète s'agit-il ?
La citation d'hier c'était :
Il était en vue, il était repéré. Lui, lui seul. Isolé au milieu de la clairière, bien visible sur la neige. Très probablement, la super-télévision de l'Oiseau des ténèbres le révélait à Storrer le fou, avide de glaner les plus beaux représentants de l'humanité pour les entraîner dans les gouffres de l'espace (Maurice Limat, L'oiseau des ténèbres, 1955)
Bicause le processus délirant est mieux détaillé !
Zut, j'm'ai gouré de citation. Je voulais mettre :
A mesure que le navire avancera, mes ondes feront leur œuvre (…), elles construiront une digue de six kilomètres de largeur, de 10 mètres de hauteur et de plus de 6000 kilomètres de longueur. Une sorte de mur gigantesque qui coupera l’océan en deux et reliera l’Amérique à l’Europe, de façon définitive, sûre et moderne. (L. Frachet, La route de l’Atlantique, 1948)
Y pas que Maurice Limat dans la vie. L. Frachet est aussi très intéressant.
Je créerai une espèce de digue s’appuyant au fond de l’océan et s’élevant au-dessus de la surface, à dix mètres environ d’après mes calculs. Ceci est indispensable pour mettre ma route, laquelle passera au sommet de la digue, à l’abri des plus fortes tempêtes. (L. Frachet, La route de l’Atlantique, 1948)
Aussi bizarre que ça paraisse, Ledam et Madel n'ont rien à voir. L'un des deux est Moselli, l'autre (l'auteur de Hans Allew) on ne sait pas
- Moi, depuis sept ans, je suis devenu un homme de Satel I… Cette planète microscopique est un satellite de la Terre. Aussi l’ai-je baptisé Satel I. Car il y a deux satellites inconnus. L’autre, je vous le montrerai ce soir, dans le ciel. Je l’ai étudié, depuis tant de ces nuits si courtes. (Maurice Limat, Satellites inconnus, 1954)
Je veux bien que dans les années 50 la conquête spatiale n'avait pas commencé, mais je crois qu'on connaissait le principe selon lequel un objet en mouvement dans le vide continue indéfiniment sur sa lancée. Cela dit, les petits récits de M. Limat ont parfois de bonnes petite trouvailles, des ambiances intéressantes, et aussi de grosses naïvetés, qu'il faut prendre comme telles
Par une loi interplanétaire, le cerveau humain pouvait résister, et dominer, celui des Plutoniens, bien que leur science fût prodigieusement avancée. (…) Mais, maintenant, dix Plutoniens « pensaient » contre elle. (Maurice Lionel, Attaque cosmique, 1954)
Etrange cet astronef désemparé qui freine dans l'espace et stoppe, n'est-il pas ?
Dans le grand vide intersidéral, l’astrobagne AB-33, incapable de continuer sa route, perdit l’incommensurable vitesse qui était la sienne, freina, tourna sur lui-même, et finit par stopper.
Ce n’était plus qu’une épave, une épave du ciel, longue de près de deux cents mètres, qui flottait à quinze millions de kilomètres de Mars, la planète la plus proche. (Maurice Limat, Les forçats de l’espace, 1954)
Ils découvraient Crocodilopolis. Le manuscrit palimpseste n’avait pas menti. Mais c’était bien plus ahurissant encore que ce qu’ils avaient imaginé car, ce qu’ils ne pouvaient supposer, ils trouvaient une cité intacte (Maurice Lionel, Crocodilopolis, 1954)
C'est pour ça qu'on apprécie Maurice Limat
!!
Pour demain, une jolie citation, sur le thème du film Bienvenue à Gattaca :
L’appel nostalgique du ciel, le désir effréné de s’envoler à bord des astronefs, tous les Terriens connaissaient bien cela. Nombre de jeunes gens, voire de jeunes filles, désiraient participer aux grands voyages (Maurice Limat, Le mal des étoiles, 1954)
Un truc un peu incompréhensible .... Une nova qui est une planète !? Hum ???
Cette planète dévorante, incompréhensible, cela ne peut être que la nova que nous avons aperçue, roulant quelque part entre les deux dernières grandes planètes du système solaire (Maurice Limat, A-117 a disparu, 1954)
Pas confondre Paul Thiriat et H. Thiriet (Tallandier), c'est deux illustrateurs différents, vu ?
Il semble que ces différentes collections Ferenczi autour de 1930 ont toutes des couvertures de Paul Thiriat
En hommage au retour de Teddy Verano :
Je crains, monsieur Verano, que cette affaire n’ait un fâcheux retentissement. Si les plans Z sont volés, l’avion-sous-marin ne sera plus une exclusivité française (Maurice Limat, Le vol des plans Z, 1953, Mon roman policier n°252)
Une ptite citation pour samedi, pendant que je srais ailleurs :
(Pas mal celle-là, non ?)
De nouveau, le bombardement se manifesta. L’astronef martien projetait, vers le "Centaure", des grenades atomiques. Devant le vaste hublot les flammes formidables emplissaient le gouffre interstellaire (Maurice Limat, Courrier interplanétaire, 1953)
Depuis l’arrivée de la comète 73 dans le voisinage de la Terre, l’Atlantique, lui aussi, avait changé de couleur. Bien que le ciel fût à peine nuageux, l’étrange couleur de l’astre errant se reflétait sur les eaux, leur donnant un aspect rougeâtre, avec d’impressionnantes zones d’ombres, qui faisaient frémir à voir (Maurice Limat, Comète 73, 1953)
It is la citation pour demain 16 :
Mais nul ne pouvait soupçonner que c’était dans sa propre villa que, lentement, s’ébauchait l’avion fantastique, l’Oiseau de Fer, capable de dépasser les deux mille à l’heure… (Maurice Limat, Au-delà du vertige, 1953)
Quelques explications en langue angloise :
- "Omega" is, of course, the last letter in the Greek alphabet. Various character names take this form in the literature of the 19th century (e.g. Omegar, Omegare, Omegarus). All of these works deal with "the last man on earth" theme. The first of these was Jean Baptiste Francios Cousin de Grainville's The Last Man or Omegarus and Syderia: A Romance of Futurity which was written in 1805. Spinoffs of Grainville's work were produced by Auguste-Francois Creuze de Lesser (1831), Paulen Gagne (1858) and his wife Elise Gagne a year later. Perhaps the work that Melies may have most been familiar with would have been Flammarion's Omega: The Last Days of the World (French name: Fin du monde) which was popular enough in the 1890s to be translated into eleven languages. Lastly, there are six astronauts in Offenbach's cast of characters in the theatrical Le Voyage dans la lune; "Omega" is one of them.
On vient de le citer dans un autre topic. Voici les références :
Gagne, Élise Moreau de Rus, Mme Paulin
Omégar, ou le Dernier homme, proso-poésie dramatique de la fin des temps en 12 chants, par Mme Élise Gagne (Élise Moreau),... Précédé d'un prologue et suivi d'un épilogue par M. Gagne,... [Texte imprimé]. - Paris : Didier ; et l'auteur, 1859. - In-18, XXV-405 p.
Deux "Séverin" dans la collection Rouge chez Janicot
Ca c'est du collector sévère, foi de toto ! En plus, c'est édité du côté de chez Cirroco !
Hello Teddy Boy !
Qué viva el Verano ! Ya ya caramba !
Ugo Solenza / Georges Ramos est bien entendu le célèbre G. J. Arnaud
Le volume 1 est la réédition de :
Arnaud, Georges Camille (Sous le pseud. de Georges Ramos)
Georges Ramos. La Soif aux lèvres [Texte imprimé], roman. - Paris, Éditions de l'Arabesque ; (Étampes, impr. Vannier), 1959. - In-16 (17 cm), 255 p., couv. ill. en coul. 300 fr. [D.L. 5488-59] -XcR-.
Parme. 35
Réédité environ dix ans après (vers 1967-68 à vérifier sur le livre) :
Ramos, Georges
La Soif aux lèvres. [Nouvelle édition.] [Texte imprimé]. - Paris : Éditions de l'Arabesque, [s.d.?]. - In-16 (19 cm), couv. ill. en coul. Le vol. 6,80 F. [D. L.]. - (Collection parme. [Nouvelle série.] 8).
Volume 3 :
Le Vampire des routes [Texte imprimé] / Ugo Solenza. - Saint-Pierre-lès-Nemours : EUREDIF, 1980 (impr. en Italie). - 108 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Quotidien fantastique ; 3).
ISBN 2-7167-0780-4 (Br.) : 5,50 F
Volume 2 :
Mort au gourou [Texte imprimé] / Roger Facon. - Saint-Pierre-lès-Nemours : EUREDIF, 1980 (impr. en Italie). - 118 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Quotidien fantastique).
ISBN 2-7167-0763-4 (Br.) : 5,50 F
Collection Quotidien fantastique
[Collection Quotidien fantastique] [Texte imprimé]. - Paris : Société européenne d'éditions et de diffusion, 1980.
3 volumes
La Soif aux lèvres [Texte imprimé] / Ugo Solenza. - Paris : Éditions EUREDIF, 1980 (impr. en Italie). - 123 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Quotidien fantastique ; 1).
ISBN 2-7167-0737-5 (Br.) : 5,50 F
Forums internes / Discussions / (topics...)
Faut te donner l'adresse ?
Dans le forum interne, quoi
Totofouinard a écrit :Cirroco Jones a écrit :Psstt! Totofouinard, s'il t'intéresse ce fascicule, je peux le retirer de la vente et le mettre dans ton carton, c'est pas celui-là qui me rendra riche et je n'avais pas percuté qu'il puisse t'intéresser, il n'est pas au mieux de sa forme et ce n'est que le tome 2... Bref, tu me dis (et s'il y en a d'autres, n'est-ce pas?)
Ouais, si t'as pas d'acheteur c'est dans mes cordes.
Ok, c'est mis de côté. J'y ai ajouté celui-là:
http://pix.nofrag.com/25/2c/5fe5b37b450 … 47d6bt.jpg
Si tu l'as déjà...
Impec, mais fantomas a raison, faut mettre ce genre de posts dans la zone privée
L'aura droit à un exemplaire gratuit pour services rendus le pote Belzé, au moins ?
- C’est une soucoupe volante… Une immense soucoupe volante, d’un style encore jamais vu des Terriens (Maurice Limat, Corsaires invisibles, 1953)
La BNF est pas bien riche, elle n'a que les deux premiers. Voici le 2e :
La Guerre des Cybernautes [Texte imprimé] / d'après Alex Raymond ; [adapté par Carston Bingham ; traduit par P. Manoukian]. - Saint-Pierre-lès-Nemours : EURÉDIF, 1981 (impr. en Italie). - 187 p. : couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Collection Flash Gordon ; 2).
. - Trad. de : War of the Cybernauts
ISBN 2-7167-0808-8 (Br.) : 12 F
Incomplet sur bdfi (no. 3 seul référencé)
Le Cirque de l'espace [Texte imprimé] / d'après Alex Raymond ; [adapté par Con Steffanson ; traduit par P. Manoukian]. - Saint-Pierre-lès-Nemours : EURÉDIF, 1981 (impr. en Italie). - 186 p. : couv. ill. en coul. ; 17 cm. - (Collection Flash Gordon ; 1).
. - Trad. de : The Space circus
ISBN 2-7167-0807-X (Br.) : 12 F
Psstt! Totofouinard, s'il t'intéresse ce fascicule, je peux le retirer de la vente et le mettre dans ton carton, c'est pas celui-là qui me rendra riche et je n'avais pas percuté qu'il puisse t'intéresser, il n'est pas au mieux de sa forme et ce n'est que le tome 2... Bref, tu me dis (et s'il y en a d'autres, n'est-ce pas?)
Ouais, si t'as pas d'acheteur c'est dans mes cordes.
Les coquines éditions Opta n'en étaient pas à leur coup d'essai, puisque 10 ans auparavant, lors de la vague de libération des moeurs, elles ont publiée la revue Emmanuelle (Paris. 1974-76, 22 numéros).
Emmanuelle. - Paris : Opta, 1974-1976.
0335-2609. = Emmanuelle (Paris. 1974). - 392.6(051)
BN, Per. [4-Jo-29986 (n.1,1974-n.2,1974 ; n.4,1975-n.22,1976)
(Il y a une 5e série vers la fin, les livres de Joël Benjamin font partie de la série "Emmanuelle Arsan présente : Néa", 8 volumes)
D'ailleurs, pour la petite histoire, lorsque Eurédif cessa de publier sa collection Playboy en 1985, ce sont les éditions Opta (éditrices du CLA et de Fiction) qui reprirent la série de Joël Benjamin, en 30 volumes de 1985 à 1986.
Voici le n°1 :
Bains maures [Texte imprimé] / Joël Benjamin. - Paris : Opta, cop. 1985. - 189 p. - (Emmanuelle Arsan présente Néa).
Et voici le n°30 :
Le Miroir du désir [Texte imprimé] / Joël Benjamin. - Paris : Opta, 1986. - 191 p. - (Emmanuelle Arsan présente Néa, ISSN 0297-4843 ; 30).
Vous savez tout !
Puisqu'il y a un très fort intérêt pour cette collection, et afin que cela soit établi scientifiquement, en voici le catalogue complet, d'après la BNF, soit 60 titres. Je n'ai pas cherché à distinguer les différentes séries. Amusez-vous à le faire !
(Il y a une 5e série vers la fin, les livres de Joël Benjamin font partie de la série "Emmanuelle Arsan présente : Néa", 8 volumes)
1 Schröder-Devrient, Wilhelmine Mémoires d'une chanteuse allemande
2 Rossner, Robert La Feuille à l'envers
3 Baxter-Jones, John Les Amants d'Askaporod
4 Louÿs, Pierre Dialogues de courtisanes ; (suivi de) Manuel de civilité pour les petites filles
5 Mirabeau Hic et Hec ou l'Élève des RR. PP. jésuites d'Avignon ; (suivi de) Contes gaulois
6 MacDonald, Philip Quelqu'un devrait faire quelque chose
7 Barnes, Tex Le Cas Jackson
8 Laure, Dominique Secrets de femmes
9 Mannoury d'Ectot, H. de Les Cousines de la colonelle
10 McGerr, Patricia Pariez sur la victime
11 Surtiss, James Les Disparus de Duvla
12 Lengton, Tony Piège à Capri
13 Mémoires de Suzon : sœur du portier des Chartreux. (Suivis de) Histoire de Marguerite : fille de Suzon
14 Contrucci, Jean La Poisse
15 Hodgson, William Hope Les Canots du "Glen Carrig"
16 Aldiss, Brian Wilson Un Petit garçon élevé à la main
17 Mirabeau, comte de Le Libertin de qualité ou Ma conversion
18 Irish, William Retour à Tillary street
19 Mathias, Manuel Clefs de voûte
20 McEwan, Ian Premier amour, derniers rites
21 Sacher-Masoch, Leopold von Les Messieurs fessés
22 Fajardie, Frédéric-H. La Nuit des chats bottés
23 De Camp, Lyon Sprague Le Règne du gorille
24 Laure, Dominique Le Bonheur du soir
25 Hoffmann, Ernst Theodor Amadeus Sœur Monika
26 Fast, Howard L'Ange déchu
27 Amila, Jean Le 9 [ Neuf] de pique
28 Lengton, Tony Obsession en noir
29 Mannoury d'Ectot, H. de Le Roman de Violette
30 Brown, Fredric La Bête de miséricorde
31 Spinrad, Norman Les Solariens
32 Méry, Liane Les Folies d'Églantine
33 Pidansat de Mairobert, Mathieu-François (1727-1779) Confession de mademoiselle Sapho ou la Secte des anandrynes
34 Walsh, Thomas Midi, Gare centrale
35 Howard, Robert Ervin Kull, Le roi barbare
36 Steccato, Franck L'Amour sauvage
37 Pontargeix, Victorine de Bouche cent fois baisée
38 Fajardie, Frédéric-H. La Théorie du 1 %
39 Crémieux, Albert Chute libre
40 Laure, Dominique L'Amour en cage
41 Benjamin, Joël Temples de l'amour
42 Benjamin, Joël Gentlemen rockers
43 Bathernay, Hubert de Les Transplantés
44 Jaouen, Hervé La Mariée rouge
45 James, Montague Rhodes Siffle et je viendrais [sic]
46 Lengton, Tony Des Filles à plaisir
47 Benjamin, Joël Mélodie underground
48 Benjamin, Joël Tortures orientales
49 Sylvérèal, Martin de Ascensex pour un cadre
50 Graham, David Opération balai
51 Jeury, Michel La Machine du pouvoir
52 Blue, Swanny Une Fille toute simple
53 Benjamin, Joël Chaud et froid à Moscou
54 Benjamin, Joël Carnaval à suivre
55 Roclaire, Chevalier de Les Brunes du Nord
56 Fajardie, Frédéric-H. Le Souffle court
57 Blish, James Pâques noires
58 Surtiss, James La Vallée des grands loups
59 Benjamin, Joël Fleurs de lotus
60 Benjamin, Joël Refuge d'amours
Sensass la collec de Cirocco !
Ca c'est du pointu ! Dommage qu'ils n'aient pas joué une adaptation théâtrale de "L’homme qui fait sauter le monde" !
1927 Jean SUBERVILLE dans L’homme qui fait sauter le monde. Roman des temps bolcheviques semble placer l’apocalypse dans la prise du pouvoir du bolchevisme en France en 1999.
* Manifestement un auteur d'inspiration catholique (et qui n'aime pas trop les affreux bolchéviques qui ont, comme chacun sait, un large couteau entre les dents, sacrifient des enfants et violent les vieilles dames
):
On ne peut pas lui donner tort, malheureusement, étant donné les brillants résultats de la politique (si l'on peut dire) bolchevico-stalinienne, basée sur le massacre généralisé de tous les opposants par tous les moyens, surtout les plus atroces, et même des proches collaborateurs d'un pouvoir complètement paranoïaque (pour s'en tenir aux années 20-30)
La pire période étant celle des Young artists. Non que les illustrations soient moches (elles sont souvent bien), mais ce sont des réemplois de couvertures ayant servi pour d'autres livres connus (livres de poche anglais), pour qui elles étaient faites spécialement, et ensuite utilisées n'importe comment en Anticipation.
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