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L'objet de ce topic est de préserver pour la postérité l'ensemble des signatures que je poste depuis hier, d'abord extraites des oeuvres de Maurice Limat. Une citation renouvelée chaque jour, tirée d'abord de chacun des 20 fascicules réédités par Apex, et après épuisement du stock, d'autre oeuvres de Limat. Après on verra. Y a de la marge. Mais ce sera toujours tiré de petits livres ou fascicules, telle est la règle
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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D'abord hier, mercredi 8 mars 2006, il y a eu :
Le navire s'éloigna de l'île étrange qui, une fois de plus, semblait éclater d'électricité, avec un grondement intérieur formidable (Maurice Limat, L'île foudroyante, 1944).
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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9 mars 2006 :
- Renaud !... Malheureux !... Que faites-vous ?
- Je... Pardonnez-moi, maître, j'avais dirigé le faisceau d'ondes à l'envers. (Maurice Limat, Alerte aux bolides).
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Le vertige la prenait. Allait-elle voyager à travers le ciel, seule avec ce fou ? Non, ce n’était pas possible… C’était un cauchemar ! Pourtant, elle écarquillait les yeux, reconnaissait le décor de verre et de métal de la cabine de l’astronef, voyait à travers le hublot, les constellations vers lesquelles voguait l’appareil fantastique (Maurice Limat, Un drame en astronef, 1947)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Allez, hop, je prépare mon week-end ! je mets en ligne la citation pour demain :
Oui, dit lugubrement le prince Mayjor. Une araignée démesurée, dont le corps atteint les dimensions de celui d’un enfant, dont les pattes ont deux mètres, et sont terminées par des griffes redoutables (Maurice Limat, La vengeance de Brahma, 1949)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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En bonus extra, une citation pour dimanche 12, qui ne sera pas en ligne mais en cadeau dès maintenant. ICI :
L’avocat d’Henri, sachant que le jury aime qu’on lui désigne un coupable, n’hésita pas à mettre le crime sur le compte de la soucoupe volante… Il campa cette soucoupe, et la présenta comme un engin envoyé par les habitants d’une planète voisine pour venir espionner notre terre, et il fit craindre une invasion de monstres étranges et une guerre interplanétaire (Ange Arbos, Le crime de la soucoupe volante, 1951, coll. Mon roman policier n°186)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Les plates-formes ruisselaient d’argent et une sorte de réverbération mauve enveloppait la planète. Wanda et Jim avançaient dans un halo légèrement violet, qui donnait au paysage un aspect irréel.
La courbure accentuée de la minuscule planète ne leur laissait entrevoir que le sommet du stratonef, posé un peu plus loin (Maurice Limat, Les faiseurs de planètes, 1952)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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En dévissant le hublot, il allait vider, du moins partiellement, l’air respirable contenu dans l’engin interplanétaire (Maurice Limat, Révolte en plein ciel, 1952)
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- C’est une soucoupe volante… Une immense soucoupe volante, d’un style encore jamais vu des Terriens (Maurice Limat, Corsaires invisibles, 1953)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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It is la citation pour demain 16 :
Mais nul ne pouvait soupçonner que c’était dans sa propre villa que, lentement, s’ébauchait l’avion fantastique, l’Oiseau de Fer, capable de dépasser les deux mille à l’heure… (Maurice Limat, Au-delà du vertige, 1953)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Depuis l’arrivée de la comète 73 dans le voisinage de la Terre, l’Atlantique, lui aussi, avait changé de couleur. Bien que le ciel fût à peine nuageux, l’étrange couleur de l’astre errant se reflétait sur les eaux, leur donnant un aspect rougeâtre, avec d’impressionnantes zones d’ombres, qui faisaient frémir à voir (Maurice Limat, Comète 73, 1953)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Une ptite citation pour samedi, pendant que je srais ailleurs :
(Pas mal celle-là, non ?)
De nouveau, le bombardement se manifesta. L’astronef martien projetait, vers le "Centaure", des grenades atomiques. Devant le vaste hublot les flammes formidables emplissaient le gouffre interstellaire (Maurice Limat, Courrier interplanétaire, 1953)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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En hommage au retour de Teddy Verano :
Je crains, monsieur Verano, que cette affaire n’ait un fâcheux retentissement. Si les plans Z sont volés, l’avion-sous-marin ne sera plus une exclusivité française (Maurice Limat, Le vol des plans Z, 1953, Mon roman policier n°252)
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En hommage au retour de Teddy Verano :
Je crains, monsieur Verano, que cette affaire n’ait un fâcheux retentissement. Si les plans Z sont volés, l’avion-sous-marin ne sera plus une exclusivité française (Maurice Limat, Le vol des plans Z, 1953, Mon roman policier n°252)
Merci mon ami!
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Un truc un peu incompréhensible .... Une nova qui est une planète !? Hum ???
Cette planète dévorante, incompréhensible, cela ne peut être que la nova que nous avons aperçue, roulant quelque part entre les deux dernières grandes planètes du système solaire (Maurice Limat, A-117 a disparu, 1954)
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C'est pour ça qu'on apprécie Maurice Limat !!
Pour demain, une jolie citation, sur le thème du film Bienvenue à Gattaca :
L’appel nostalgique du ciel, le désir effréné de s’envoler à bord des astronefs, tous les Terriens connaissaient bien cela. Nombre de jeunes gens, voire de jeunes filles, désiraient participer aux grands voyages (Maurice Limat, Le mal des étoiles, 1954)
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Ils découvraient Crocodilopolis. Le manuscrit palimpseste n’avait pas menti. Mais c’était bien plus ahurissant encore que ce qu’ils avaient imaginé car, ce qu’ils ne pouvaient supposer, ils trouvaient une cité intacte (Maurice Lionel, Crocodilopolis, 1954)
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Dans le grand vide intersidéral, l’astrobagne AB-33, incapable de continuer sa route, perdit l’incommensurable vitesse qui était la sienne, freina, tourna sur lui-même, et finit par stopper.
Ce n’était plus qu’une épave, une épave du ciel, longue de près de deux cents mètres, qui flottait à quinze millions de kilomètres de Mars, la planète la plus proche. (Maurice Limat, Les forçats de l’espace, 1954)
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Etrange cet astronef désemparé qui freine dans l'espace et stoppe, n'est-il pas ?
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Par une loi interplanétaire, le cerveau humain pouvait résister, et dominer, celui des Plutoniens, bien que leur science fût prodigieusement avancée. (…) Mais, maintenant, dix Plutoniens « pensaient » contre elle. (Maurice Lionel, Attaque cosmique, 1954)
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Etrange cet astronef désemparé qui freine dans l'espace et stoppe, n'est-il pas ?
S'arrêter dans l'espace c'est pas donné à tout le monde!
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Je veux bien que dans les années 50 la conquête spatiale n'avait pas commencé, mais je crois qu'on connaissait le principe selon lequel un objet en mouvement dans le vide continue indéfiniment sur sa lancée. Cela dit, les petits récits de M. Limat ont parfois de bonnes petite trouvailles, des ambiances intéressantes, et aussi de grosses naïvetés, qu'il faut prendre comme telles
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- Moi, depuis sept ans, je suis devenu un homme de Satel I… Cette planète microscopique est un satellite de la Terre. Aussi l’ai-je baptisé Satel I. Car il y a deux satellites inconnus. L’autre, je vous le montrerai ce soir, dans le ciel. Je l’ai étudié, depuis tant de ces nuits si courtes. (Maurice Limat, Satellites inconnus, 1954)
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Y pas que Maurice Limat dans la vie. L. Frachet est aussi très intéressant.
Je créerai une espèce de digue s’appuyant au fond de l’océan et s’élevant au-dessus de la surface, à dix mètres environ d’après mes calculs. Ceci est indispensable pour mettre ma route, laquelle passera au sommet de la digue, à l’abri des plus fortes tempêtes. (L. Frachet, La route de l’Atlantique, 1948)
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Zut, j'm'ai gouré de citation. Je voulais mettre :
A mesure que le navire avancera, mes ondes feront leur œuvre (…), elles construiront une digue de six kilomètres de largeur, de 10 mètres de hauteur et de plus de 6000 kilomètres de longueur. Une sorte de mur gigantesque qui coupera l’océan en deux et reliera l’Amérique à l’Europe, de façon définitive, sûre et moderne. (L. Frachet, La route de l’Atlantique, 1948)
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Bicause le processus délirant est mieux détaillé !
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La citation d'hier c'était :
Il était en vue, il était repéré. Lui, lui seul. Isolé au milieu de la clairière, bien visible sur la neige. Très probablement, la super-télévision de l'Oiseau des ténèbres le révélait à Storrer le fou, avide de glaner les plus beaux représentants de l'humanité pour les entraîner dans les gouffres de l'espace (Maurice Limat, L'oiseau des ténèbres, 1955)
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Aujourd'hui, M. Limat est fâché avec les distances astronomiques :
A près de six millions de kilomètres du Soleil, une planète plus petite que la Terre roule, lentement, exécutant son périple autour de l'astre central en un temps équivalant à deux cent cinquante années terrestres (Maurice Limat, Chasseurs de comètes, 1955)
Question subsidiaire : de quelle planète s'agit-il ?
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Aujourd'hui, M. Limat est fâché avec les distances astronomiques :
A près de six millions de kilomètres du Soleil, une planète plus petite que la Terre roule, lentement, exécutant son périple autour de l'astre central en un temps équivalant à deux cent cinquante années terrestres (Maurice Limat, Chasseurs de comètes, 1955)
Question subsidiaire : de quelle planète s'agit-il ?
On élimine Jupiter...
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Mouais ; mais, bizarrement, M. Limat n'aime pas Jupiter (Mercure non plus), je sais pas pourquoi, mais il oublie très souvent de la citer dans ses énumérations de planètes. Je crois qu'il ne la cite qu'une fois ou deux dans tous les fascicules repris dans Apex, alors qu'il n'y en a que pour Saturne, Mars, Vénus, Pluton et les autres. Il ne situe jamais ses histoires dans le voisinage de Jupiter ni sur une de ses lunes...
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En bonus, une autre citation du même, il y a presque toujours une scène de bataille dans un astronef dans les fascicules astronautiques de Limat :
Par-dessus le ronronnement incessant des machines à désintégration lumineuse [il veut dire un moteur photonique], qui emportait le super-astronef à une vitresse inconnue, à travers le vide intersidéral, un grondement lui parvenait. C'étaient des appels, des cris, parfois le crépitement d'un pistolet désintégrant, et le piétinement , la galopade des groupes d'hommes armés qui se cherchaient, se jetaient les uns sur les aures.
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Etonnantes ces petites réflexions naïves comme :
qui emportait le super-astronef à une vitesse inconnue
Les ingénieurs, les héros, les astronautes, et autres pilotes d'astronefs ignorent, presque toujours, la vitesse de leurs zengins ! Beaucoup d'emphase naïve, de super, d'hyper, d'immense, d'inconcevable, etc. chez notre ami Limat
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Dans les astronefs de M. Limat, y a souvent un problème avec les hublots mal fermés !
Tout à coup, Vital fut saisi aux épaules, poussé de façon irrésistible contre le hublot qui, n’étant pas maintenu, s’ouvrit tout grand dans le vide.
… Le grand vide interplanétaire où Vital était projeté comme par une catapulte… (Maurice Limat, Les passagers du silence, 1954)
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Comme je le disais hier, les scènes de bataille ou de duel en astronef sont des séquence quasi-obligées dans un fascicule de M. Limat où elles abondent. Comme en témoigne celle-ci :
Le rayon du pistolet creusait la matière, en dispersant les atomes qui se trouvaient sur son redoutable passage. Planchers, plafonds, murs de métal, portes, angles, encoignures, tout l’astronef portait des traces du duel. Des trous ronds, sans bavures, voilà ce que ça donnait. (Maurice Limat, Les passagers du silence, 1954)
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Et si M. Limat évite les parages de Jupiter, par contre il adore les astéroïdes, ceux de la ceinture (qu'il appelle "astricules" ou petites planètes) et tous les cailloux errants, y compris les comètes, qui permettent des tas d'effets dramatiques intéressants !
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Et maintenant, une citation du dernier fascicule réédité par Apex, le meilleur de la série, sans doute un des chefs d'oeuvre de l'auteur :
C’est une bête de feu… On ne peut peut-être pas la tuer… mais on peut l’éteindre ! (Maurice Limat, Le vampire tombé du ciel, 1954)
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Un très bon fascicule de M. Limat, non réédité par Apex, des aventures extraordinaires et scientifiques aux frontières des genres, un bon climat d’épouvante, très original :
Ce n’était pas un rêve, pas un fabuleux cauchemar. Il y avait deux soleils, qui se faisaient face. A l’Est et à l’Ouest, deux globes de lumière se levaient en même temps, deux astres du jour, rivalisant d’éclat, s’élevaient, majestueusement, crevant l’écran de nuages que l’ouragan avait laissé derrière lui, au-dessus des flots verts du Pacifique… (Maurice Limat, Au soleil de l’épouvante, 1955)
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Une citation tirée du premier fascicule de M. Limat pour la collection "Le petit roman d'aventures", un récit d'aventures assez conventionnel où l'on lit pourtant ceci de conjectural :
L’Indien en perdant connaissance, perdait en même temps le pouvoir magnétique qui lui permettait de dominer les vampires (Maurice Limat, La montagne aux vampires, 1936)
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Malgré son titre délirant et son idée de départ curieuse, c’est un fascicule d’aventures assez conventionnel, quoique conjectural. En voici le principe :
Avalé par le volcan, l’avion semblait amorcer un voyage impossible dans les entrailles de la terre ! (Max-André Dazergues, En avion au centre de la terre, 1953)
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Cette masse de glace n’est pas normale, elle recouvre exactement une armature métallique (André Mad, L’iceberg de l’épouvante, Mon roman d’aventures n°260, 1953)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Un petit monde perdu souterrain / sous-marin / insulaire chez Maurice Limat :
La découverte de ce peuple étrange, vraisemblablement formant les derniers vestiges d'une expédition venue des terres américaines à une époque sans doute très reculée, eût ravi plus d'un savant (Maurice Limat, L'île aux idoles, Mon roman d'aventures n°95, 1949).
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Un fascicule assez délirant de M. Limat, paru avant guerre et réédité après en "Mon roman d’aventures" (n°78, 1948) :
Tout à coup, un des nageurs de tête leva les yeux… Il jeta un cri…et les huit têtes plongèrent, entraînant avec eux le mystérieux engin verdâtre… A la place où disparaissaient huit hommes, apparaissaient l’espace d’une seconde, huit larges queues écailleuses, englouties l’instant d’après en même temps que le dôme de l’étrange capot vert (M. Limat, Drame au fond de la mer, 1936).
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Où l’on retrouve Teddy Verano, dans une aventure extraordinaire, également parue avant guerre et rééditée après en « Mon roman d’aventures » (n°135, 1950) :
Car c’était un monstre, monsieur… De taille moyenne, il semblait doué d’une musculature fort inquiétante bien que ses lignes fussent engoncées dans une sorte de combinaison de toile. Son visage n’apparaissait que comme un mufle informe où s’ouvraient deux yeux morts. Enfin, il avait des ailes, deux grandes ailes semblables à celles des chauves-souris (M. Limat, Le mystère des hommes-volants, 1937)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Un sympathique fascicule d'aventures extraordinaires, Le fluide d'or de Léo Gestelys (Mon roman d'aventures, 1949) :
- Qui es-tu ?
- Ne l’as-tu pas deviné ? Je suis une habitante de l’astre qui, dans sa course, heurta le monde où tu vis (L. Gestelys, Le fluide d’or, 1949)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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La citation du jour :
Quel moyen scientifique ont-ils trouvé pour multiplier à l’infini le bourgeonnement des polypes, on l’ignore encore. Ils se sont mis à se reproduire dans des proportions effarantes. D’après les renseignements obtenus par nos services secrets, le barrage atteint déjà une hauteur de 50 m sur toute la largeur du canal de Bahama. Il est grand temps d’intervenir (L. Frachet, Le maître du Gulf-Stream)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Celle de demain, un fascicule d'aventures où on nous explique ainsi le titre (Le Bouddha qui tue, Mon roman d'aventures n°368) :
Je me suis entendu avec un général Chinois, et j’ai fait encastrer dans la pierre des particules radio-actives détruisant complètement les cellules vivantes. Quiconque s’approchait du Bouddha sans enveloppe protectrice était condamné (Serge Alkine, Le Bouddha qui tue, 1955)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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C'est juste pasque j'étais en congé une semaine que la citation a pas bougé, mais attendez-zy vous aux prochaines pour bientôt !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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H. Debure : Le cercle de serpents, PRA30, 1936, rééd. MRAv 82, 1948
Un concentré fantasmatique extrême d'aventures invraisemblables. On est en plein délire !
Voici l'explication conjecturalo-abracadabrante clef :
Plongé depuis 20 ans dans l’étude de la vie des ophidiens, je suis parvenu à
réaliser un fluide aériforme capable d’exterminer en quelques heures tous les
serpents qui peuplent cette île. Ce gaz est composé de soufre et d’une matière
séreuse extraite du corps même de ces reptiles. Il s’incorpore à l’air ambiant
et exerce une action corrosive sur leurs tissus (H. Debure Le cercle des
serpents 1936)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Le cercle de serpents est à la fois une utopie et un roman d'aventures traditionnelles.
Utopie : une cité perdue, oubliée, isolée, hors de l'espace géographique ordinaire. L'histoire est située en Inde, mais la cité se trouve dans un pays inconnu, plus exactement, un endroit inaccessible, non régi par l'administration anglo-indienne, une île.
L'écosystème de l'île est aberrant : pour se protéger, la cité est entourée d'une forêt qui grouille littéralement de reptiles (ils sont même trop nombreux, dixit un des prêtres de la cité). Et autour de l'île se trouve un lac où grouillent des sauriens affamés. Et autour du lac se trouvent des marais infects, etc., par cercles concentriques. Bref, les habitants de la cité sont des siphonés sectaires graves qu'il faut absolument civiliser et en plus ils gardent des trésors inestimables dans leur temple où ils adorent des idoles pas possibles, trésors qu'il faut absolument leur chouraver, car c'est pas permis ces choses là dans un monde civilisé.
Bref, du délire fantasmatique pur exacerbé comme on n'en fait plus !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Un excellent récit, délirant et d'une riche thématique conjecturale : "Sur la piste des jivaros" de L. Frachet, 1947, Mon roman d'aventures n°51.
S'articule sur le mystère de la disparition de l'expédition Fawcett (orthographié tout le long Faweet, par un typographe ignare), dans les contrées mystérieuses de l'Amazonie. Toute la thématique du monde perdu, inconnu, et inaccessible, est présente en force, avec bien entendu un troupeau de monstres préhistoriques effroyables... Et même la découverte d'une immense mer intérieure en Amazonie, où batifolent toute cette ménagerie préhistorique écailleuse !
"Les flots verts de la mer d'Amsterdam venaient brusquement de s'ouvrir pour laisser apparaître un véritable monstre sous-marin, être fabuleux et difforme qui tenait à la fois du poisson et du saurien, du plésiosaure et du dinosaure. Un long cou flexible, de couleur noire, émergeait à 5 ou 6 m au-dessus de la houle, surmonté d'une tête plate et triangulaire relativement petite."
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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