Vous n'êtes pas identifié(e).
Bref, ça devrait inciter Houellebecq à faire ce qu'il sait faire : écrire !
Et peut-être que l'échec annoncé de son film lui donnera envie de plonger sa plume dans le vitriol...
Les représentations du corps dans les œuvres fantastiques et de science-fiction
Michel Houdiard éditeur, juin 2006
Direction : Françoise Dupeyron-Lafay
isbn : 2-912673-56-9
AVANT–PROPOS, Françoise Dupeyron-Lafay
PREMIÈRE PARTIE
Fantasticité et corps féminin
DU FANTASTIQUE AU FANTASMATIQUE : MORCELLEMENT, DÉCOMPOSITION ET RECRÉATION DU CORPS FÉMININ CHEZ THÉOPHILE GAUTIER, Thanh-Vân Ton-That
MÉTAPHORES ET MÉTAMORPHOSES VÉGÉTALES : LES FEMMES-FLEURS DANS LA LITTÉRATURE ET LA PEINTURE DU XIXè SIÈCLE, Françoise Dupeyron-Lafay
L'HYBRIDE FÉMININ DANS LA LITTÉRATURE ET LES ARTS VISUELS BRITANNIQUES (1850-1900) : FOLLES CHIMÈRES ET VAINES IMAGINATIONS ? Anne-Sophie Leluan-Pinker
L'ÉROTISATION DU CORPS FÉMININ COMME VECTEUR DU FANTASTIQUE CHEZ ANDRÉ HARDELLET, Claire Garand
DEUXIÈME PARTIE
Le corps dans la littérature britannique des XVIIIè et XIXè siècles
ASPECTS DU CORPS GOTHIQUE : HISTOIRE, DISCOURS ET FANTASME, Maurice Lévy
JEUX DE MAINS, JEUX DEVILAINS, OU LA MAIN DANS LA LITTÉRATURE FANTASTIQUE, Jean Marigny
LE CORPS MORCELÉ DANS QUELQUES NOUVELLES DE J.-S. LE FANU, Mélanie Pellerin
TROISIÈME PARTIE
Le corps dans les littératures du XXè siècle
L'IMAGE DU CORPS DANS LE MIROIR : QUEL REFLET ? NOTE SUR LES CARNETS DE MALTE LAURIDS BRIGGE (1910) DE RILKE, Corinne Fournier Kiss
LE CORPS ET LE LIVRE MAUDIT DANS QUELQUES CONTES FANTASTIQUES DE HOWARD PHILLIPS LOVECRAFT ET DE JORGE LUIS BORGES, Laurence Kohn-Pireaux
MÉTAPHORES À LA LETTRE: UN CORPS FANTASTIQUE DANS CHATANOOGA CHOOCHOO (1985) DE L'ÉCRIVAIN CHILIEN JOSÉ DONOSO, Pau Sanmartin
CORPS ET CORPUS DANS LAS PIADOSAS (1998) DE FEDERICO ANDAHAZI, Christine Rivalan Guégo
QUATRIÈME PARTIE
Le corps à la croisée des chemins: philosophie et arts graphiques
CORPS FANTASTIQUE, ÂME FANTASMÉE, Charlotte Bousquet
ALFRED KUBIN ET L'ART FANTASTIQUE COMME « PSYCHOGRAPHIE », Michael Cowan
CORPORÉITÉ FANTASTIQUE ET BANDE(S) DESSINÉE(S), Nathalie Dufayet
LA REPRÉSENTATION DU CORPS FÉMININ DANS LE MANGA ET LE DESSIN ANIMÉ JAPONAIS: ROBOTS, CYBORGS, INTELLIGENCES ARTIFICIELLES, Bounthavy Suvilay
CINQUIÈME PARTIE
Le corps en science-fiction et au cinéma
LE MUTANT OU LE CORPS DE L'AUTRE, Roger Bozetto
LE CORPS, FACTEUR D'HUMANITÉ ? CORPS DE CHAIR ET CORPS DE FER DANS PROGENY, HUMAN IS ET WE CAN BUILD YOU DE PHILIP K. DICK, Hervé Lagoguey
CORPS ÉTRANGERS : RÉINVENTER LE CORPS SEXUÉ DANS LA SCIENCE-FICTION, Samuel Minne
POLITIQUE DE L'ALTÉRATION DES CORPS ET DES FACULTÉS REPRODUCTRICES HUMAINES DANS QUATRE UTOPIES FÉMINISTES DE SCIENCE-FICTION, Sylvie Allouche
JOHN VARLEY ET LES SEXES MÉTAMORPHES, Jérôme Goffette
SURNATURE ET SOUS-NATURE DU CORPS DANS LE CINÉMA FANTASTIQUE: LES FIGURES ANTITHÉTIQUES DU VAMPIRE ET DU ZOMBI, Thomas Schlesser
CLIVE BARKER ET LA NOUVELLE CHAIR. REPOUSSER LES LIMITES DU CORPS ET DU FANTASTIQUE, Guy Astic
LE CORPS SPECTRALISÉ DANS LE CINÉMA FANTASTIQUE: L'EXEMPLE DES FILMS DE CLINT EASTWOOD, Pierre-Olivier Toulza
HUMAIN / INHUMAIN. LA QUESTION DE L’ŒIL DANS BLADE RUNNER DE RIDLEY SCOTT, Franck Thibault
Poétique(s) de l’espace dans les œuvres fantastiques et de science-fiction
Direction : Françoise Dupeyron-Lafay et Arnaud Huftier
Michel Houdiard éditeur, septembre 2007
isbn : 2-912673-81-X
SOMMAIRE :
AVANT-PROPOS, Françoise Dupeyron-Lafay
Première partie
CROISEMENTS ET PASSAGES, CARREFOURS GÉOGRAPHIQUES ET GÉNÉRIQUES
LA POÉTIQUE DE LA CAVERNE MONTAGNEUSE DANS LES RÉCITS FANTASTIQUES CHINOIS, Fanfan Chen
L'ESPACE EN RÉSONANCE. CORPS, VILLE ET MONDE DANS ÉTOILES MOURANTES D'AYERDHAL ET J.C. DUNYACH, Jérôme Goffette
L'EFFET TREMBLAY SUR SON BERCEAU, LA CITÉ DANS L'ŒUF, UN ESPACE À OCCUPER, Arnaud Huftier
VÉHICULES (É)GARÉs, DU MOUVEMENT ET DE LA STASE DANS LE(S) TERRITOIRE(S) QUÉBÉCOIS SCIENCE-FICTIONNEL(S), Nicholas Serrhuys
ENFERMÉS DEHORS. LES PRISONNIERS DES GRANDS ESPACES SURRÉALISTES DE J.G. BALLARD, DANS SECHERESSE, LE MONDE ENGLOUTI ET LA FORÊT DE CRISTAL, Hervé Lagoguey
Deuxième partie
ESPACES MYTHOLOGIQUES, ESPACES IMAGINAIRES ET ONIRIQUES
PLAN(S) D'UN MONDE PERDU: L'ESPACE FICTIF DU MERVEILLEUX SCIENTIFIQUE COMME PRISME ÉPISTÉMOLOGIQUE DANS THE LOST WORLD D'ARTHUR CONAN DOYLE, Hubert Desmarets
GÉNÉALOGIE DE L'ESPACE POÉTIQUE DANS KING KONG. DU TERRITOIRE PRIMITIF DE SKULL ISLAND À L'ESPACE URBAIN AMÉRICAIN, Lauric Guillaud
LE GOTHIQUE URBAIN DANS CONFESSIONS OF AN ENGLISH OPIUMEATER (1821) DE THOMAS DE QUINCEY ET THE STRANGE CASE OF DRJEKYLL AND MR HYDE (1886) DE ROBERT LOUIS STEVENSON, Françoise Dupeyron-Lafay
LA GÉOGRAPHIE ONIRIQUE DE LEONORA CARRINGTON, Samuel Minne
L'ESPACE MAGIQUE DE SYLVIE GERMAIN DANS JOURS DE COLÈRE (1989), Mariska Koopman
Troisième partie
L'ESPACE EN IMAGES : PHOTOGRAPHIE ET CINÉMA
JEUX D'ESPACE DANS LA PHOTOGRAPHIE FANTASTIQUE, Robert Pujade
« HELL, INFERNO, JIGOKU ». LES ENFERS DANS LES FICTIONS DE L'HORROR, Guy Astic
L'ESPACE DU FANTASTIQUE DANS LES FILMS DE M. NIGHT SHYAMALAN, Yann Roblou
Je m'aperçois que je ne suis pas à jour... je vais en ajouter une paire pour Hedrock
Les SP... meuhhh, j'ai juste reçu mon exemplaire...
... et 2 Laffont hier (Curval et Modesitt)
L’Indicible, dans les œuvres fantastiques et de science-fiction
Direction de Nathalie Prince et Lauric Guillaud
Michel Houdiard éditeur, sept. 2008
isbn : 2-912673-98-4
TABLE DES MATIÈRES
Quelques mots d'auteur, Pierre Bordage
AVANT-PROPOS
Nathalie Prince et Lauric Guillaud
DE LA MONSTRATION À LA SUGGESTION
Les écritures de l'excès
L'INDICIBLE LOVECRAFTIEN : RETOUR SUR UN PARADIGME, Gilles Menegaldo
ENTRE HORREUR VISIBLE ET INVISIBLE : L'INDICIBLE FOLIE DE PATRICK BATEMAN DANS AMERICAN PSYCHO DE BRET EASTON ELLIS, Hervé Lagoguey
INDICIBLE DE LA MORT, INDICIBLE DE LA VIE, DANS GENS DE LA LUNE DE JOHN VARLEY, Sylvie Allouche et Jérôme Goffette
Les voix retenues
VOIX/VOIES DE L'INDICIBLE: L'IMPOSSIBLE TRAVAIL DU DEUIL. RÉPÉTITION ET HANTISE DANS CONFESSIONS OF AN ENGLISH OPIUM BAYER (1821) ET SUSPIRIA DE PROFUNDIS (1845) DE THOMAS DE QUINCEY, Françoise Dupeyron-Lafay
LE CRI DU FAUNE, « HENRI DE RÉGNIER« AUX AGUETS DE L'INVISIBLE», Patrick Besnier
ABYMES ET RÉSONANCES DE L'INDICIBLE FANTASTIQUE DANS LA LITTÉRATURE FIN-DE-SIÈCLE : « LA MACHINE À PARLER » DE MARCEL SCHWOB, Hubert Desmarets
SILENCE(S) FANTASTIQUE(S) CHEZ THÉOPHILE GAUTIER, Marie Fournou
PÈLERINAGES DE L'INDICIBLE DANS LA GRANDE ESCARBOUCLE DE NATHANIEL HAWTHORNE, Stéphanie Carrez
DIRE AUTREMENT
Des poétiques inédites
L'INDICIBLE ET SES VISAGES, Roger Bozzetto
COMMENT FAIRE COMPRENDRE CE / CEUX QU'ON NE PEUT COMPRENDRE ?, Jérôme Dutel
POÉTIQUE DU GOUNGOUNE. LES INDICIBLES CHEZ MARIE-AUDE MURAIL : L'EXEMPLE DE TOM LORIENT, Bertrand Ferrier
MUSIQUES DE L'INDICIBLE, Charlotte Bousquet
La question de l'image
L'INDICIBLE ET LE PORTRAIT FÉMININ DANS BASIL (1852) ET ARMADALE (1866) DE WILKIE COLLINS, Anne-Sophie Leluan-Pinker
L'INDICIBLE DANS LES RÉCITS D'AVENTURES POPULAIRES VICTORIENS. DU BLANC DES CARTES GÉOGRAPHIQUES AUX BLANCS DU TEXTE. ENTRE CONVENTIONS ET INVITATION AU FANTASME, Patricia Crouan- Véron
NUÉES. LA MISE EN SCÈNE DU NUAGE DANS LA FIGURATION DES CORPS IMPOSSIBLES AU CINÉMA, Avril Dunoyer
EXCÈS, SINGULARITÉ, INSISTANCE : POUR UNE CRITIQUE DE L'INDICIBLE FANTASTIQUE, Denis Mellier
BRÈVE PRÉSENTATION DES AUTEURS
Cirroco Jones a écrit :Tu sais combien j'ai de livres de contes chez moi? hahahaha (rire démoniaque).
Si tu en as vraiment tant que ça, je ne saurais trop te recommander l'achat d'un livre de comptes pour en conserver la trace... hahahaha ! (rire d'ammoniac, c'est-à-dire assez corrosif)
Ah ah ah ! Cet "inventaire livres" qu'on ne finit jamais parce qu'on en achète encore plus ou plus vite qu'on ne les recense (et j'te dis pas qu'on les lit )
Cher Hobbit, c'est ici le topic "Annonces" et non "petites annonces", et est-ce bien prudent de montrer ainsi son n° de tel ?
Numéro 59 du mois de septembre/octobre 2008
Parution en kiosques le lundi 1er septembre 2008
A retenir pour ce numéro 58 :
Les grosses bêbêtes de la SF
Sommaire numéro 59 de sfmag :
DOSSIER
Les grosses bêbêtes de la SF
- BD : entités cosmiques
- Les dinosaures dans la BD
- Bêbêtes au ciné
- La saga Alien
- Godzilla
- Les monstres de Lovecraft
Interviews :
Sur “Solitaire” (ciné): Greg Mc Lean
Littérature : Pierre Dubois, Henri Loevenbruck
Cinéma chroniques : Solitaire, Martyrs, Babylon A.D., Sorties de la rentrée. Voir également dossier ci-dessus
DVD : Stargate Continuum, Frontières
BD : Chroniques, Et voir rubrique dossier ci-dessus
Littérature :
Livres : 16 pages de critiques de la rédaction, Livres sur les sciences :
Chef-d’oeuvre oublié : “La Grande marée”
Incontournables de la SF : “Les Monades urbaines”.
Suite du feuilleton d’Alain Paris : “La Terre Creuse”
Voir également dossier ci-dessus
TV : True Blood
Une petite question : pourquoi suis-je un "hobbit" ?
Les hobbits c'est les nouveaux... (c'est plus sympa que les Bitos quand même !)
Quand tu en seras à 4528 messages, tu seras un Titan, à moins que tu ne décides de ton propre surnom, genre Créature du Marais, Flash Gordon ou Garcimore 3000...
Merci jmdark - Je te "pique" immédiatement ce scan, direction la JGBallard cover gallery !
Et si tu peux donner d'autres infos (isbn, date parution, traducteur, nb pages...) elles seront (très très) bienvenues
Cellulaire de Stephen King : un bon pitch, et puis après ça traine en longueur, et moi j'ai trouvé ça plutôt chiant. Il nous refait le coup du Fléau, mais en moins long heureusement (1200 pages tout de même le Fléau !).
Quant aux Monades urbaines de Silverberg, c'est un classique du genre utopie / dystopie / société future, mais rien à voir avec le post-apocalypse. Ca parle plus des moeurs d'une société totalement différente de la nôtre que de cul (ça c'est le truc de PJ Farmer). Quant à l'histoire de la rock star, c'est vrai que c'est la moins intéressante...
Tiens, pour ce que ça vaut, voilà ce que j'en dis dans SF Mag 58, encore en kiosques :
La Route
Cormac Mc Carthy
« Mon rôle c’est de prendre soin de toi. J’en ai été chargé par Dieu. Celui qui te touche je le tue. »
Un père, son fils, et la route, qu’ils suivent inlassablement dans un paysage de fin du monde, tout en se doutant bien qu’elle ne les mènera nulle part. Mais il leur faut bien avancer, faire semblant de croire à quelque chose, avoir un but – rejoindre la côte, porter le feu – sinon il ne leur resterait plus qu’à s’asseoir au bord de cette route et y mourir. Tels sont les personnages principaux et le sujet du dernier roman de Cormac Mc Carthy, auteur réputé de littérature mainstream qui s’aventure dans les décors d’une science-fiction post apocalyptique pour y planter son récit.
Pour dépeindre ce monde et l’errance de l’homme et de l’enfant, l’auteur utilise tous les clichés que la SF a pu produire, en littérature comme au cinéma : bâtiments abandonnés, paysages dévastés, horizon gris de cendre et de fumée, lutte contre la faim, le froid, trouvaille miraculeuse de vivres, rencontres avec d’autres survivants, bien intentionnés ou non, « les gentils et les méchants » dans le vocabulaire de l’enfant, ce qui se traduit par ceux qui vous laissent tranquilles… et ceux qui vous tuent pour vous bouffer !
L’ensemble est plaisant, mais pas révolutionnaire, l’amateur de SF est en terrain connu, balisé, celui de la désespérance d’une Terre brûlée. Ce qui fait surtout l’intérêt de ce roman, c’est la force du lien qui unit le père et son fils, soudés dans la douleur et l’adversité, un lien que rien ne pourra rompre, même la mort. A cet égard, Mc Carthy a eu la bonne idée et le bon goût de rendre sobrement ce lien, par quelques phrases de dialogue, ou quelques mots simples, qui témoignent d’une complicité de longue date, chacun étant « tout l’univers de l’autre ». A travers son style neutre et dépouillé, Mc Carthy reflète justement la sécheresse de ce monde mort, alors que d’autres auteurs – au hasard, Stephen King – auraient pu en faire des tonnes et sombrer dans un pathos de mauvais aloi.
Couronné du prestigieux Prix Pullitzer 2007, La Route est un bon roman, qui se lit facilement, dont les héros vous accompagnent encore une fois le livre refermé. Ce qui est dérangeant à propos de ce livre, et qui ne remet pas sa qualité en question, c’est que les snobs des cercles littéraires ou universitaires crient au génie de Mc Carthy, alors qu’ils n’auraient pas daigné mettre le nez dans ce livre, et encore moins l’encenser, s’il avait été signé Andrevon, Ballard ou Cooper – on pourrait faire l’abécédaire de la SF jusqu’à Zelazny – qui eux aussi nous ont livré de très belles pages sur le thème de l’errance post apocalypse : Le Monde enfin, Sécheresse, Le Jour des fous, Les Culbuteurs de l’enfer, pour ne citer que les œuvres des auteurs nommés. Un fait regrettable dont il faut savoir faire abstraction pour apprécier pleinement la lecture de La Route sans arrière pensée.
La Route, par Cormac Mc Carthy (The Road, 2006), traduit de l’américain par François Hirsch, Editions de l’Olivier, 2008, 260 pages, 21 euros.
PS : il y avait un dossier Apocalypse dans le n°54 de sept. 2007
Et X-Files 2008 ?
Grosse déception pour moi...
Moi vu Hulk aussi Dr M.
Bon, quand même bien mieux que l'insupportable bouse de Ang Lee.
Iron Man, c'était pas mal aussi.
Pensez à voir ces films jusqu'au bout du bout du générique.
Merci ça tombe très bien, je m'y étais remis il y a quelques jours ! (Comme quoi Christian il ne faut jamais désespérer...)
Votez Nec D, mais surtout pas "Instant libre, La logique des clones" , s'ils le lisent à Bifrost j'espère qu'ils vont lui donner un beau razzie bien mérité !
Moi si je me souviens j'ai envoyé direct un mail à Nick Talopp via BDFI -
Ca a marché unc' Joe ?
Alors, c'est très mauvais ?
La bande annonce faisait envie il y a qq semaines mais j'ai lu des critiques qui m'en ont fortement dissuadé...
Numéro 58 du mois de juin/juillet 2008
Parution en kiosques le lundi 30 juin 2008
A retenir pour ce numéro 58 :
Religion et SF
Sommaire numéro 58 de sfmag :
DOSSIER
Religion et SF
- Religion et BD
- Dieu est-il soluble dans la SF ?
- Le Roi Singe
- PJ Farmer la religion et Dieu
- La Religion dans l’oeuvre de Frank Herbert
- La Religion un thème transversal chez Stephen King
- “Matrix” un pot pourri de religions
- Quand Dieu punit dans “Ravage” de Barjavel
Interviews :
Sur “Alien Nation” (ciné/TV):
Kenneth Johnson
Sur le film “Spiderwick” :
Mark Waters
Anaïs Emery directrice du NIFFF (festival international film fantastique Neuchatel)
Littérature :
Fabrice Bourland
Cinéma chroniques :
Le Royaume interdit
Les sorties de l’été
DVD :
“V” 2e Partie
BD :
Chroniques : Wonder Woman T1 - La Femme Leçons de choses - Le Cycle d'Ostruce T2 - La Cuisine du diable T4 - Les Exécuteurs T1 - Moon Knight T2 -Yumihari T1 - Ouvert la nuit - Hulk T4 – Global Frequency T2 - New Wanted - Naja T1 - Dragon Ball Z T1 - Le Monde d'Alex-Thau T1 - Hautes Œuvres T1 - Justice T4 - Cutie B T1 - Wayne Shelton T7 - Black Op T4 - Eclipse T2 - Vendredi 13 T1 - New Harlem T1 -Promethea T5
Littérature :
Livres : 15 pages de critiques de la rédaction : Alone contre Alone, Thomas Geha - Porteurs d’âmes, Pierre Bordage – Deepsix, Jack McDevitt - Les Enfants de Hurin, J.R.R. Tolkien - Les portes de la maison des morts Tome 2 - Le livre Malazéen des glorieux défunts, Steven Erickson - Battle Royale, Koushun Takami – Pavane, Keith Roberts - Star Wars Le Labyrinthe du mal, James Luceno - La Route, Cormac Mc Carthy - 50° degrés en dessous de zéro, Kim Stanley Robinson - Les Voix de l’asphalte, Philip K. Dick - Star Wars Vol vers l’infini, Timothy Zahn - La Conspiration de Merlin, Diana Wynn Jones - Chroniques de la tour Volume 1 : La Vallée des Loups, Laura Gallego Garcia - A la recherche de Dracula Carnet de voyage de Jonathan Harker, Pascal Croci et Françoise Sylvie Pauly - L'Art de la Fantasy Le meilleur de l'illustration fantasy contemporaine, Martin McKenna, préface de Boris Vallejo - Le cycle de Kraven tome 1, Xavier Mauméjean - N°6 T2, Atsuko Asano - AWACS, Alain Paris – Dérapage, James Siegel - Le Diamant maudit, Shana Abé - Le Necronomicon Le livre de l'Arabe dément Abdul Al-Hazred - Les Portes de la maison des morts t2, Steven Erickson - No Limits (Star Trek: New Frontier), Peter David - L’Echiquier des Etoiles, Paul Carta - Le Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants, Terry Pratchett - Origine (les univers multiples 3), Stephen Baxter
Chef-d’oeuvre oublié : “Le Jour des fous”
Suite du feuilleton d’Alain Paris
“La Terre Creuse”
En fait je te relançais sur le sujet car je viens de lire ce "premier roman de sf" qui est très très mauvais sur tous les plans et je pensais à Nec D qui n'a pas trouvé d'éditeur en dépit de ses qualités (il y a un gouffre qualitatif entre les 2 oeuvres...) et je me disais c'est pô juste, ce type doit être pistonné c'est pas possible autrement...
Dis donc Nec D, tu avais pensé à envoyer un exemplaire de ton roman à l'Ecran Fantastique ? Ils ont une rubrique "Livres" assez sympa malgré sa taille réduite (2 pages)
Instant libre, la logique des clones, de Emmanuel Roulet, In Octavo éditions, 320 pages grand format, 21 euros. Sortie le 02 juin 2008.
1er livre de science-fiction publié par cette maison d'édition.
Communiqué de l'éditeur :
" - Excusez-moi, mais votre formulation n'est pas tout à fait appropriée. Notre civilisation se drogue aux « Instants libres ». Elle est née avec ces cabines. Elle en consomme à toutes les sauces. Elle ne peut plus s'en passer. Or, vous me confirmez dans votre dossier qu'il y a des personnes actuellement qui ne peuvent plus utiliser les cabines II.Port. Les cartes à puces biologiques de dernière génération ne sont pas en mesure de les cloner. Ces individus recèlent un ADN inconnu. »
Dans cette immense cacophonie de la vie moderne, Raphaël, designer indépendant, a trouvé son refuge, du moins le croit-il : avec ses deux filles, son amie Marie et ses trois enfants, ils recomposent un semblant de bonheur familial. Seul sujet de discorde, les cabines de transport II.Port, véritables plates-formes médicales, qui multiplient les clones à chaque trajet, réparent et modifient les ADN infectés ou déficients. Raphaël reste réfractaire à cet engouement high-tech mais le clonage est une réalité de tous les jours. Son inscription est donc inévitable. L'humanité originelle peut-elle réellement concevoir une civilisation clonée, transgénique? Dans cette société surprotégée, quoi de plus apte à nous détruire que notre propre technologie ?
Opéré à cœur ouvert il y a vingt ans, Emmanuel Roulet termine sa convalescence en courant le Paris-Versailles, puis enchaîne avec l'ascension du Mont Blanc ! Aujourd'hui, quand ses deux filles lui laissent un peu de temps libre, ce jeune père de famille conçoit et réalise du mobilier urbain, des jeux pour les enfants ou des maisons pour leurs parents ... Où donc a-t-il donc trouvé le temps d'écrire? Certains murmurent - doit-on les croire? - qu'il aurait confié la rédaction de ce foisonnant roman à son clone… "
Décès de Stan Winston, maître es effets spéciaux d'Hollywood
REUTERS | 16.06.2008 | 23:46
LOS ANGELES (Reuters) - Stan Winston, spécialiste des effets spéciaux et du maquillage au cinéma, est mort à l'âge de 62 ans, a annoncé lundi le studio qu'il dirigeait à Los Angeles.
Winston avait participé à la naissance de certaines des créatures cinématographiques les plus spectaculaires sorties de l'imaginaire hollywoodien.
Il avait notamment collaboré avec le réalisateur James Cameron sur le deuxième épisode de la série Alien et sur les deux premiers opus de la trilogie Terminator. Steven Spielberg avait également fait appel à ses talents pour les dinosaures de Jurassic Park.
C'est lui qui avait aidé Tim Burton à définir le maquillage de Johnny Depp dans Edward aux mains d'argent et à transformer Danny DeVito en pingouin pour la franchise Batman.
Atteint depuis plusieurs années d'un cancer, Stan Winston, dont le travail avait été récompensé de quatre Oscars, est mort dimanche entouré de sa famille.
Steve Gorman, version française Henri-Pierre André
Merci patron ! J'avais regardé chez Folio, LDP, J'ai lu, mais pas pensé à Pocket.
Pour la peine je vais travailler (un peu sur les Laffont cette semaine...
J'ai cru voir il y a un certain temps dans le programme de parution que "Zombies - Un horizon de cendres" de JPA allait être réédité, mais je ne retrouve cette info. Help ?
Dis donc Cirroco, en tapotant des trucs un peu au hasard sur PMinister j'ai découvert un DVD Babylon 5 The Lost Tales sorti l'an dernier, histoire inédite avec le vrai Sheridan dedans !
Mister Lag a écrit :Au fait, vous avez vu la bande annonce du nouveau film des frères Wachosky ?
Speed Racer... on dirait un gros gros bousinTechniquement, on dit "une grosse bouse" !
Bien sûr, bien sûr... mais ça a l'air encore plus "grave" que ça... Un mélange de "Tron" et de "Cars" à la sauce Noeunoeu...
Au fait, vous avez vu la bande annonce du nouveau film des frères Wachosky ?
Speed Racer... on dirait un gros gros bousin
Non, désolé, j'écris juste pour dire que j'aime bien BR Bruss et que souvent j'emmène un de ses romans à lire en vacances à la mer...
Oui, ce message est totalement inutile.
Mister Lag a écrit :(sur Dexter) ... J'ai trouvé ça très bien - ton décalé, humour 3ème degré, personnage atypique dont les zones d'ombre s'éclairent peu à peu... - à voir.
Même avis
... j'ai adoré ! Y-a-t-il une deuxième saison, d'ailleurs ?
Oui, et une 3ème apparemment, j'ai vu ça sur le net .
M'est avis que l'arc développé dans la saison 1 - avec le personnage que je ne nomme pas ici - aurait pu être plus exploité (cliffhanger entre saison 1 et 2) mais qu'ils ont peut-être terminé l'histoire car il ne savait pas s'il y aurait une suite...
Je vois déjà comment ça va se poursuivre (avec le flic black)
Je viens de lire le résumé, c'est pas trop pathos? Le père, la copine battue, la sœur ignorée...
Ce qui est suant dans les séries amerloques, c'est leur recherche en paternité, ça finit par devenir craignos leur manque de papa à la hauteur.
Non, dans Dexter, ce n'est pas la recherche du père qui importe, mais je n'en dis pas plus...
Et non, il n'y a pas de pathos dégoulinant, bien au contraire ! Dexter n'a aucun sentiment, ne ressent rien, ni haine, ni amour, ni besoin de sexe, et ça donne lieu à des scènes assez marrantes, puisque pour sa "couverture sociale" il a effectivement choisi une copine traumatisée qui lui fiche la paix côté calins, jusqu'au jour où elle est prête à passer à l'action avec lui, et là gros malaise...
Je n'ai pas vu Jekyll et le regrette un peu - la tronche de l'acteur ne me revenait vraiment pas !!! - mais en revanche je viens de me faire l'intégrale de Dexter saison 1 - le serial killer qui travaille pour la police le jour, et qui tue (exclusivement) d'autres serial killers ou des très méchants la nuit, comme son papa adoptif (un flic) le lui a enseigné pour canaliser ses pulsions sanglantes !
J'ai trouvé ça très bien - ton décalé, humour 3ème degré, personnage atypique dont les zones d'ombre s'éclairent peu à peu... - à voir.
Hier, à Reims (il y a des brocantes dans chaque quartier ou presque au printemps) :
ELIZABETH HAND MILLENIUM – LE NOUVEL AVENEMENT Lib. Chps Elysées 0,50
LEWIS GANNETT MILLENIUM – GEHENNE Lib. Chps Elysées 0,50
HITCHCOCK HISTOIRES A LIRE ET PALIR Presses Pocket 0,50
ISAAC ASIMOV LES CAVERNES D’ACIER J’ai lu 0,50
PHILIP K. DICK UBIK France Loisirs 1
RAY BRADBURY CHRONIQUES MARTIENNES Gallimard 1
BERNARD WERBER NOS AMIS LES HUMAINS Albin Michel 0,50
RENE ROUEVEN LE DETECTIVE VOLE Denoël 0,50
BENTLEY LTTLE LE POSTIER Presses Pocket 0,50
SERGE BRUSSOLO LA MELANCOLIE DES SIRENES… Livre de Poche 0,50
Rien d'exceptionnel, mais peut-être de quoi faire pleurer un Normand esseulé...
Ok, je me mets en vacances. Justement, me fallait juste quelques boulets pour comprendre que J'avais lancé le sujet qui m'a mise d'une humeur de dogue, je prends le large.
Non, reste, reviens, pars pas ! Sinon ca va être comme ça dans le coin :
Hey, relisez, je n'ai pas dit qu'il fallait libéraliser les prix et passer à 6 mois l'avant-solde, j'ai dit que les solutions trouvées actuellement par les éditeurs en fin de non-vente et à des fins économiques n'étaient pas des masses sociales et culturelles non plus, nuance!
Quelles librairies de quartier? Dans le Nord, cela n'existe plus. Y'a des tabac-presses, des Super-marchés presse, des super-marché du livre, mais des librairies! Quelquefois, quand t'as fait tes courses et que tu as moins dépensé pour le steak pas fou, un kilo de légumes aux insecticides doux, le savon pas trop allergique et un truc pour laver le sol qui mousse pas, quelquefois tu fais un tour au rayon livres pour acheter le dernier prix à la mode. Récession, que ça s'appelle, et c'est une période où la Culture ne prend que des claques. Et mince, qui donc a voté pour not' président si tout le monde proteste à présent?
Tiens, un truc amusant, j'ai entendu dire que les IUFM (peu efficaces, c'est vrai) sont en bonne voie de suppression et il faudrait un Master et passer un concours pour être instit', ce sont les prof' qui assureraient la formation de leurs nouveaux collègues : compagnonnage qu'ils disent
![]()
Si j'en juge la médiocrité de l'instit', avec licence, de CP que nous avons subi cette année dont la nullité en pédagogie égale (j'espère!) sa profonde connaissance en Histoire? Lettres? Anglais?, ça ne va pas s'arranger, lamentable... Et je me demande combien de "Masterisants" vont accepter une profession aussi dévalorisée lorsqu'ils auront des propositions bien plus alléchantes ailleurs? Quelles sont les chances désormais pour un enfant issu des milieux populaires d'atteindre ne serait-ce que le milieu des enseignants?
Bien entendu, le salaire des pré-enseignants disparaît, un an de moins à payer par l'Etat, pas de point retraite...A quand les agrégés de physique pour enseigner la lecture et le lancer de ballons aux gamins de 6 ans? Enseignant à 30 ans, sans avoir eu eux-mêmes d'enfants par faute de temps et de moyens, en ayant oublié ce que c'est d'en être un et se retrouver au milieu des petits sauvages avec un schisme culturel et social énorme. Pauvre culture... les éditeurs n'ont pas à s'en faire, c'est de la littérature bobo qu'on aura, 6 mois, ce sera largement suffisant pour l'écouler avant de l'oublier.
Vous l'avez voulu votre coup de tronche, l'avez eu! et maintenant, je suis de mauvaise humeur pour toute la soirée....
Je viens sur BDFI pour m'évader dans un autre monde de F & SF, et un de ses membres les plus fidèles me replonge dans celui de mon boulot ! C'est pas vrai !!! . C'est pourquoi je te décerne ce superbe triple boulet :
snarkhunter a écrit :C'est exact. Mais je viens d'arriver sur le site, alors je n'avais pas envie de vous "inonder" d'informations personnelles et de listes de "favoris" en tout genre !
Merci
Bin dis donc qu'est-ce que ce serait alors...
dernière brocante rémoise :
X-Files 1 à 10 en J'ai lu : 3 euros le lot en très son état
Bon c'est banal, mais pour faire pleurer Christian - même si c'est off topic : en parfait état : 10 vinyles Star Wars (dont 3 doubles, et le fameux Disco Space, et SW raconté par... Dominique Paturel ! 1 euro le 33 tours
(+ d'autres bêtises pas chères)
Le gars - un jeune dans les 30 ans - devait vraiment être pressé de se faire un peu de sous, même pas passé par les sites de ventes. Et dire que j'ai failli ne pas y aller !
Un must :
Richard Matheson : Journal d'un monstre
Cirroco Jones a écrit :Mes deux modestes pavés pour l'édification:
Merci, ça va peut-être pousser Mister Lag a finir sa page lamentablement abandonnée en 2005
Espèce d'affreux scan-addict !!! Pendant que je croule sous les copies, Monsieur fait rien que de dire des contre-vérités ! J'avions commencé le topic en 2007, et j'avions promis de le finir pour les 40 ans de la collection...
Pour te répondre en 2 secondes sans réfléchir... il y en a tellement d'excellentes...
Le père truqué de PK Dick (évidemment !)
La maison biscornue, si c'est la nouvelle à laquelle je pense, j'adore, mais c'est pas Robert Heinlein ?
j'ai acheté le coffret 3 dvd pour mes gamins
tu veux des scans des jaquettes ou des infos ?
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