Vous n'êtes pas identifié(e).
Ah merci Jeandive j'étais justement en train de vouloir compléter ma collec' - l'été, Bob Morane c'est obligé à la maison -
C'est vrai que les collections sont un peu allé dans tous les sens, et en plus certaines flambent niveau prix !
Mais rien nevaut les Pocket Marabout d'autrefois !
Algernon Blackwood ... L'homme que les arbres aimaient (recueil)
[img][http://www.bdfi.info/img/vign/a/v_arbrev12.jpg[/img]
Communiqué de l'éditeur :
Algernon Blackwood
L’Homme que les arbres aimaient
Arbre vengeur
Traduit de l’anglais par Jacques Parsons
Préface d’Alexandre Marcinkowski
« Considéré par Lovecraft comme son égal, célébré pendant des décennies comme l’un des maîtres du
fantastique, Algernon Blackwood n’a pas en France le public qu’il mérite. La richesse de son œuvre,
la puissance de son inspiration, qui va chercher jusqu’au fond des forêts les mystères qui hantent l’humanité, et sa maîtrise narrative lui vaudraient pourtant de nombreux lecteurs. C’est que Blackwood n’est pas de ces bricoleurs d’épouvante qui se ressemblent tous. Avec lui c’est toute la Création et la Nature, à la fois attirantes et inquiétantes, qui sont convoquées face à des hommes effarés de découvrir ce que leurs âmes recèlent. La formidable puissance de suggestion de ce génie de l’étrange, de cet homme que les mots aimaient, se retrouvera dans les cinq longues nouvelles choisies ici. Pénétrez dans l’univers unique d’Algernon Blackwood, l’« homme fantôme » si cher au cœur des Anglo-Saxons.
Après une brève carrière de journaliste, l’Écossais Algernon Blackwood (1869-1951) émigre au Canada où son aventure commerciale tourne au désastre. Passé dans l’univers de la presse, il s’installe à New York et commence à composer des histoires. Son premier livre John Silence, enquêteur de l’occulte, rencontre un succès qui lui permet de se consacrer tout entier à son œuvre pour devenir l’un des plus prolifiques conteurs d’histoires de fantômes et de mystères. Auteur à succès de la BBC, il devient sur la fin de sa vie une vedette du petit écran récompensé par les plus hautes distinctions qui témoignent de la fidélité de son public. Il demeure le maître de la littérature d’épouvante, honneur qu’il partage avec Lovecraft. Sa production littéraire est impressionnante : on lui doit quinze romans dont trois pour enfants, une centaine d’essais, plus de deux cents nouvelles compilées dans de nombreux recueils, tel The Empty house ou The Listener. Dès 1929, il imagine lui-même des anthologies comme Strange stories. En France c’est en Présence du futur, chez Denoël, que paraîtront quatre volumes dans les années 60-70. »
« Le maître absolu et indiscuté de l’atmosphère fantastique. »
H.P. Lovecraft
Mister Lag a écrit :Merci Christian tiens pour la peine je vais mettre à jour les FN Star Wars... cette semaine
Arrête, déjà qu'il flotte, si tu fais ça on va avoir des congères !
Ayè c'est fait mauvaise langue !
(bon ok juste 2010 et 2011 mais c'est déjà ça hein )
Merci Christian tiens pour la peine je vais mettre à jour les FN Star Wars... cette semaine
Help ! Je cherche un ou deux noms de SCIENTIFIQUES (des vrais) qui sont passés à l'écriture, pour produire de la hard science.
(autre que Asimov ou Clarke SVP)
Merci !
Et envoyer son manuscrit (hors genre) à la Société des gens de Lettres pour le protéger, c'est recommandé ou c'est 45 euros foutus en l'air ?
Ah oui j'avais vu, mais que dire, sinon que J'ETAIS le compéltiste en Star Wars. Fini tout ça !
Mais les livres, oui, toujours
L’Imaginaire du temps dans le fantastique et la science-fiction
Natacha Vas-Deyres et Lauric Guillaud ed.
Presses Universitaires de Bordeaux, avril 2011, 298 pages, 23 euros
4ème de couverture :
"Le temps semble a priori irréversible et l’homme n’accepte que difficilement l’effondrement des possibilités de l’avenir dans la fixité du passé. La science s’est emparée de cette problématique puissante dès les années trente à partir de la théorie de la relativité généralisée d’Albert Einstein. Mais bien avant l’apparition de la physique quantique et d’hypothétiques déplacements dans le temps ou dans des mondes parallèles, les littératures de l’imaginaire que sont la science-fiction et le fantastique ont parcouru le temps. Cet imaginaire, exploré de façon complémentaire par le cinéma, est une machine à voyager virtuellement dans des histoires de temps.
La science-fiction expérimente le temps en tant que concept : elle le manipule en tout sens pour briser son irréversibilité et tenter d’agir sur des destinées collectives ou individuelles. La temporalité fantastique est marquée par une obsession anxiogène et toxique du temps passé. Le mythe puise ses racines dans un temps immémorial, cyclique. Symbole de la créativité des littératures et du cinéma de l’imaginaire, le temps est au cœur de l’individu, de sa subjectivité, de sa mémoire et de son rapport au monde physique."
Sommaire :
Première partie : Le temps protéiforme, multidirectionnel, subjectif de la science-fiction
Pierre Cassou-Noguès : Les spéculations de Gödel sur le temps : résonances dans la science-fiction
Roger Bozzetto : Une approche de formes politiques imaginaires
Hervé Lagoguey : Pouvoir et dystopies temporelles chez Philip K. Dick
Natacha Vas-Deyres : Du Temps incertain au temps ralenti : variations temporelles françaises
Jean-Loup Héraud : Le présent « refiguré » par le passé : trois stratégies narratives de recomposition du présent dans la science-fiction
Thierry Jandrok : Le temps est-il une déformation de l'inconscient ?
Samuel Minne : Réversibilités : la représentation du temps inversé en littérature
Deuxième partie: L'imaginaire du temps dans le fantastique : transgression, résurgences, hantises 1
Simone Grossman : Transgression temporelle et réécriture dans le fantastique québécois de la postmodernité
Delphine Gachet-Bahuet : « Le temps, on le sait, est irréversible. Et pourtant […] » : le temps aux sources du fantastique dans l'œuvre de Buzzati
Laura Eugenia Tudoras : Transgressions des dimensions temporelles dans Minuit à Serampore
Françoise Dupeyron-Lafay : L'imaginaire des profondeurs: figurations du passé, de la hantise et de la résurgence dans quelques œuvres de Wilkie Collins, Mary Elizabeth Braddon et Montagu Rhodes James
Maria Carmo Pinheiro Silva : Réception d'Edgar Allan Poe dans la littérature portugaise contemporaine : les Contes Fantastiques et La Confession de Lucio
Nathalie Dufayet : Le temps, le labyrinthe et le fantastique feint. Kafka, précurseur de Borges
Natalie Noyaret : Les enjeux temporels de l'interrogation identitaire dans Carlota Fainberg (1999) de Antonio Munoz Molina
Troisième partie: Le temps fantastique et science-fictif à l'écran
Bérénice Bonhomme : Dracula, un con(m)te temporel?
Gilles Menegaldo : Inscription du passé, interactions temporelles et figurations de la hantise dans quelques films de fantômes classiques
Emmanuel Plasseraud : La seconde labyrinthique
Danièle André : À la recherche du temps perdu: identité mémorielle entre illusions et réécriture
Quatrième partie: Le temps du mythe, temps cyclique, mondes perdus et passé réel
François Guiyoba : Le dieu ancestral, figure du temps passé dans Le Dieu du Lac de Bole Butake
Patricia Crouan-Véron : En quête du temps passé: des romans de Mondes Perdus de Henry Rider Haggard aux romans contemporains de E. Peters et de W. Smith, l'histoire d'une empreinte littéraire
Cécile Colin : Dans l'abîme du temps: le temps dans l'œuvre d'H.P. Lovecraft
Ah, je m'en doutais un peu... j'ai cherché le topic sans le trouver alors dans le doute j'ai posté...
Z'avez vu ? Le cafard ferme ses portes
http://www.cafardcosmique.com/The-End
Je viens de lire ce tome 1. Le parti pris de l'auteur est intéressant, puisqu'il met en images le texte intégral du roman de Dick, qu'il reproduit à la lettre !
On oublie donc le film de Ridley Scott et on revient au livre de Dick, avec ses moments forts et ses moments plus faibles.
Ben si les vacances commencent, j'en profite pour revenir ici entre 2 sorties au soleil.
Et oui, c'est bien le titre avec l'HORROR. L'auteur est un grand fan de Clive Barker et de David Lynch, entre autres.
Bientôt bientôt, je l'ai reçu ce matin
L'imaginaire médical dans le fantastique et la science-fiction.
Bragelonne 2011, collection essais
Sommaire :
Christian Chelebourg : Le plus petit ennemi de l’homme. Poétique des écofictions épidémiques.
Jean Marigny : Les épidémies dans la science-fiction
Samuel Minne : La maladie, facteur d’évolution ? La pandémie comme défi éthique dans L’Echelle de Darwin et Les enfants de Darwin de Greg Bear
Hubert Desmarets : Quand les médecins font des histoires : réflexions sur quelques short stories irréalistes publiées entre 1850 et 1900
Sophie Mantrant : La dissolution du corps dans The Great God Pan d’Arthur Machen
Danièle André : Les séries de science-fiction au chevet de l’imaginaire médical, ou la réhabilitation culturelle et éthique des sciences du vivant
Gilles Ménégaldo : La figure du médecin transgressif dans les films d’horreur hollywoodiens des années trente
Enora Le Bleis : Folie sociale, folie médicale, folie métaphysique : le cas du Démon mesquin, de Fédor Sologoub
Anne Besson : Le retour du thaumaturge : la guérison comme pouvoir en Fantasy
Charlotte Bousquet : Maux et difformités : ces étranges reflets de l’âme
Hervé Lagoguey : Duel sous un crâne, ou l’étrange cas de Fred/Bob Arctor dans A Scanner Darkly de Phillip K. Dick
Clotilde Landais : Interroger le psychisme humain : le double dans Oniria de Patrick Sénécal
Natacha Vas-Deyres : Esthétique de la contre-utopie médicale dans Les Morticoles et L’Utopie du docteur Kakerlak
Thierry Jandrok : L’hôpital : art du soin ou terreur instituée ?
Evelyne Lasserre et Jérôme Goffette : Mécanique du vieillissement : Roujin’Z de Katsuhiro Otomo
Axel Guïoux : Esthétiques cyborgiques
Bernard Andrieu : Les nouvelles images du transcorps
Marika Moisseeff : Grossesses extraterrestres et implants nasals : une mythologisation du biopouvoir ?
Lauric Guillaud : L’animation suspendue : les aléas du l’immortalité
Françoise Dupeyron-Lafay : Récits de maladies et d’épidémies dans la fiction britannique du XIXè siècle :une exploration des limites incertaines entre la vie et la mort
Marion Charret-Del Bove : Certitudes médicales et incertitude fantastique dans quelques nouvelles anglo-saxonnes du XIXè siècle
Guy Astic : La mort sens dessus dessous. La morgue dans l’horror contemporaine
Philip K. Dick
Do Androids Dream of Electric Sheep ?
L’adaptation de Tony Parker aux éditions Emmanuel Proust
Communiqué de l’éditeur :
L'Histoire
« Après le cataclysme nucléaire, seuls quelques hommes vivent encore sur Terre... comme Rick Deckard, de la brigade spéciale des Blade Runner. Rick, ce tueur qui poursuit un rêve : remplacer son mouton électrique par un animal vivant... Mais sa rencontre avec la belle Rachel, une androïde Nexus-6 à l'intelligence supérieure, bouscule ses convictions, et va le conduire à s'interroger sur la différence entre l'homme et la machine, la manipulation, et la réalité.
Adapté au cinéma par Ridley Scott sous le titre Blade Runner. La bande dessinée reprend l'intégralité du roman. Et en accord avec la succession K. Dick, propose une nouvelle traduction dans le respect du style original de l'écrivain culte. »
Préface de Warren Ellis
Mis en vente le 24.03.2011, album cartonné 17 x 26 cm, 144 pages couleurs, 17,90 euros, ISBN : 978-2-84810-325-9
Parution le 31 mars 2011 :
Tricia Sullivan, Maul (Maul, 2003), traduit par Diniz Galhoz
Communiqué du Diable :
"Epidémies mondiales, idéologie politique, sexe et shopping. Un roman féminin et féministe dans un monde à la Blade Runner et une révélation en France au rayon SF !
Dans un centre commercial comme un autre, deux gangs de filles règlent leurs différends à coups de flingue. Sun Katz, habillée, coiffée et maquillée, s'apprête à en découdre avec le gang de 10Esha quand une des ses compagnes d'armes dérape et ouvre le feu sur tout ce qui bouge.
Sun Katz doit maintenant tenter de sortir du centre commercial cerné par la police et les caméras, mais elle aimerait au passage mettre le grappin sur 10Esha qui menace de publier sur le Net une vidéo plutôt embarrassante.
Ce monde de chaos consumériste se révèle être une simulation virtuelle projetée dans le cerveau de Meniscus, un des rares survivants au virus Y qui a exterminé la quasi-totalité de la population mâle de la planète. Il est maintenu dans cette transe artificielle et anesthésique par des scientifiques qui emploient les ressources exceptionnelles de son corps à la création d'armes biologiques. Quand la douleur finira par affoler son cerveau en pénétrant dans le centre commercial, Meniscus comprendra que la destinée qu'il imposera aux gangs de filles déterminera s'il mourra ou survivra pour offrir un nouveau futur à l'humanité.
Bien sûr, ce ne serait pas du goût de la Dr Madeline Baldino, la scientifique chargée de lui, qui complote pour concevoir un enfant avec un "vrai" homme. Car les clones sont sans valeur, seuls comptent les vrais enfants, mais pour en obtenir il faut de l'argent ou du pouvoir, parfois les deux.
Avec audace, Tricia Sullivan mêle dans Maul les problématiques contemporaines du genre, de la consommation, du pouvoir et des réalités virtuelles. Elle tisse un roman radical et débridé, captivant et sensible, à l'inventivité marquante.
Née en 1968 aux Etats-Unis, Tricias Sullivan a étudié la musique et les arts martiaux avant de se lancer dans l'écriture. Elle a écrit sept romans, dont Dreaming in Smoke, lauréat de l'Arthur C. Clarke Award en 1999. Sous le pseudonyme de Valery Leith, elle est aussi l'auteur de la série Everien. Elle vit en Angleterre depuis 1995 avec son mari et leurs enfants."
C'est ma Môman qui va être contente. Depuis le temps qu'elle me tanne pour savoir si je sais quand la suite va sortir...
Maintenant je vais devoir lui expliquer que c'est la sortie US, qu'il va falloir un peu de temps pour traduire... et que Pygmalion le Rapace va le sortir en 2 tomes... ou peut-être oseront-ils aller jusqu'à 3 ???
Je sais je l'ai c'est le seul strange que je n'ai pas en édition originale
A ce prix là, il doit y avoir des escrocs qui tentent d'en faire des faux, comme pour les tableaux !
et Moebius !
Pelot sur la 5 à la Grande Librairie, là tout de suite maintenant !
Sortie le 10 février 2011:
James Morrow, L'Apprentie du philosophe (The Philosopher's Apprentice, 2008), traduit par Philippe Rouard
Communiqué du Diable :
"Mason Ambrose, un étudiant en philosophie bavard et égocentrique, touche le fond après que le travail de sa vie, « Ethiques de la terre », a été mis en miettes par un rival aigri. Après s'être vu offrir un poste de professeur sur une île qui aurait fait la fierté du Dr Moreau, le bon thésard se lance vite dans des joutes verbales avec son élève, une érudite blessée mais obstinée appelée Londa, à qui il a pour mission de transmettre rien de moins qu'une morale fonctionnelle.
Sur cette île la matriarche et mère de Londa, la généticienne Edwina Sabachthani, s'est adonnée à des tests génétiques pour créer des arbres conscients, un iguane mutant doué de parole et d'autres aberrations de la nature. Après le décès prématuré d'Edwina, Mason et ses collègues professeurs s'accordent, à leurs risques et périls, pour ne rien dévoiler du secret de Londa et de sa fratrie hors normes.
Après s'être échappé, Ambrose s'essaye à la vie de couple avec une jeune et belle étudiante anglaise, mais l'apparition fracassante d'un homme qui dit se nommer John Snow et appelle Masan « papa » vient bouleverser la tranquillité qu'il chérissait. Entre-temps, Londa a abandonné la science et est devenue une célébrité médiatique à l'influence considérable et à la vision plus sombre, insufflée par les Évangiles, d'un nouvel âge d'or pour l'humanité. Lancé vers son destin, Mason doit choisir entre consommer et détruire son premier amour.
« Essaie de retenir ton jugement jusqu'à ce que tu saisisses la vision d'ensemble », lui conseille Londa. Une prudence salutaire pour les lecteurs de cette pièce à haute ambition morale, savant mélange de sacré et de profane qui lorgne aussi bien du côté de la philosophie éthique que de Mary Shelley ou George Bernard Shaw."
"Né en 1947, diplômé d'Harvard, James Morrow a retenu de ses études supérieures littéraires, en particulier de sa découverte de Camus et du siècle des Lumières, son goût pour le roman philosophique et satirique, et aime à se considérer comme un « pèlerin ironique ». Doté d'un solide sens de l'humour, il écrit depuis toujours des romans iconoclastes, allégories philosophiques pleines d'érudition et de fantaisie, qui s'apparentent en fait à des contes voltairiens, en plus drôle.
Á la parution de « La Grande Faucheuse » qui vient clore sa trilogie sur le corpus dei (Au diable vauvert), il déclarait : « Dieu m'a mis sur Terre pour que je passe ma vie à élaborer des théories prouvant qu'il n'existe pas ». Auteur de plusieurs romans, lauréat pour « En remorquant Jéhovah » (Au diable vauvert) du World Fantasy Award 1995, l'un des prix les plus prestigieux dans le domaine de la SF, Morrow accède de livre en livre à une reconnaissance plus large, grâce au soutien inconditionnel des libraires et bibliothécaires qui l'ont lu."
Et le "Coeurs perdus en Atlantis de KIng n'est-il pas un roman mainstream si ma mémoire ne flanche pas trop ?
Merci les amis, travail en cours ça sortira p'têt un jour, ou jamais.
Un autre que "L'Ombre venue de l'espace" SVP !
Ne me demandez pas pourquoi ce serait trop long à expliquer... mais je cherche un titre de roman FANTASTIQUE - si possible connu tant qu'à faire... - dans lequel il y a un VERBE du 2ème ou 3ème groupe.
Faites chauffer les mémoire et les neurones !
Yep, un bon réveillon bien gras et bien alcoolisé ! Bonne année à tous. Je suis dans une autre dimension où on est déjà l'année prochaine, en 2029 !
Merci, j'en profite pour ajouter les ajouts de Hervé, que j'avais raté à l'époque.
MDR la mise à jour 3-4 ans plus tard !
Nouveauté jeunesse parue fin octobre : Entremonde, par Neil Gaiman et Michael Reaves, collection jeunesse, traduit par Michel Pagel.
Communiqué du Diable :
"Lors d'une course d'orientation, Joey, lycéen ordinaire, perd ses coéquipiers dans un épais brouillard avant d'avoir atteint le point de ralliement. Lorsque la nappe brumeuse se dissipe, Joey se rend compte qu'il a basculé dans une autre dimension, où l'enseigne McDo est vert et jaune, et où la personne qui ressemble à sa mère ne l'est pas. Il comprend alors qu'il fait partie des quelques élus détenant le pouvoir de voyager à travers des univers parallèles, ce qui n'est pas sans poser certains problèmes.
Dans cet Entremonde composé de plus de trois millions de planètes, il se retrouve au beau milieu d'une guerre entre deux puissances de forces comparables : d'un côté un empire basé sur les sciences, de l'autre un royaume où la magie règne en maître. Ces deux parties ont un point commun : elles sont bien décidées à empêcher Joey de continuer à voyager d'un monde à l'autre. Pour maintenir l'équilibre entre ces deux forces et lutter contre leur volonté de conquérir l'ensemble des dimensions et de tout détruire, le jeune garçon devra s'engager dans une armée composée de combattants identiques à lui-même, des Joeys venus de dimensions différentes. Notre héros devra apprendre à vivre dans ce nouvel univers, et affronter les grands maîtres de la magie : Sire Lamechien et Madame Indigo.
Neil Gaiman et Michael Reaves propulsent la fantasy dans un univers d'une modernité inédite, sans équivalent dans la littérature, qui réjouira les nombreux amateurs du genre, comme ceux des séries telles que Heroes, Sliders ou Code Quantum."
Colloque CERLI / CELJM
ÉCOFICTIONS ET REPRÉSENTATIONS DE LA NATURE DANS LES LITTÉRATURES DE L'IMAGINAIRE
24-26 novembre 2010
Maison des Sciences de l'Homme – Salle Internationale
91 Avenue de la Libération, 54000 Nancy
Direction : Christian CHELEBOURG
Programme des réjouissances :
24 novembre après-midi :
ÉVOLUTION
14h30 Christian CHELEBOURG : La proie de son maître : le darwinisme dans les écofictions contemporaines.
15h00 Catie LEDZINSKI : Rêveries biologiques de J.H. Rosny Aîné.
J.G. BALLARD
15h45 Lauric GUILLAUD : De Richard Jefferies à J.G. Ballard : les aléas apocalyptiques de l'écologie
16h15 Hervé LAGOGUEY : Ballard, écologiste malgré lui ? L'homme face à la nature dans The Drought et The Drowned World.
SPIRITUALITÉ
17h00 Fanfan CHEN : La participation et l'écologie spirituelle : le changement éprouvé dans les écofictions d'Owen Barfield.
17h30 Claire CORNILLON : L'esprit des nébuleuses : animisme et panthéisme en Science-Fiction.
25 novembre matin :
MENACES
09h00 Jérôme DUTEL : Guerre de l'écologie ou guerre des écologies chez Jack Vance
09h30 Morgane LERAY : L'écologisme dysphorique : entre nostalgies édéniques et terrorisme vert.
10h00 Jérôme GOFFETTE : Terres et corps en transit : Enki Bilal
POLITIQUES
10h45 Thierry JANDROK : L'écopoiesis, Pour une autre gouvernance de l'animal politique ?
11h15 Hervé GUINERET : Aldous Huxley, entre nature et disparition du politique.
25 novembre après-midi :
DEVOLUTION
14h00 Catherine BRUGUIÈRE et Jean-Loup HÉRAUD : Vers une « post-animalité » ? Quelques scénarios d'évolution animale de l'homme en Science-Fiction
14h30 Françoise DUPEYRON-LAFAY : Des gobelins de The Princess and the Goblin (1870-71) de George MacDonald aux Morlocks de The Time Machine (1895) de H.G. Wells : évolution et formes littéraires de la dévolution biologique.
LES ECOFICTIONS AU CINEMA
15h15 Gilles MÉNÉGALDO : La représentation de la ville dans le cinéma de SF hollywoodien des années 70 : surpopulation, pollution et cauchemar écologique.
15h45 Barbara CISE : Anthropomorphisme et esthétique post-apocalyptique dans Wall-e.
JAMES CAMERON
16h30 Danièle ANDRÉ : James Cameron : l'écologie au service du cinéma.
17h00 Daniel TRON : Avatar, l'écologie politique pour les nuls.
26 novembre matin :
VISIONS ET REVELATIONS
09h00 Natacha VAS-DEYRES : Les natures mortes de la Science-Fiction française : écofictions ou romans apocalyptiques ?
10h00 Aurélie VILLERS : Nature et cataclysmes chez Kim Stanley Robinson.
10h45 Shirley BONTEMS : L'édification écologique dans les romans de Timothée de Fombelle.
11h15 Marc ARINO : Du « disease movie » à l'écofiction : la mise en question du matérialisme américain dans Safe de Todd Haynes.
Hello, je cherche désespérément l'auteur et le titre d'une nouvelle dont voici le scénario :
Un savant réussit à venir à bout de la mort, qu'il emprisonne ( ?). Il stoppe ainsi l'issue fatale qui lui était réservée (ou à sa femme je crois). Mais, matériellement incapable de discriminer entre les catégories qui peuvent ou ne peuvent pas échapper à la mort, il abolit celle-ci chez toutes les formes de vie imaginables, même les virus et microbes. D'innombrables malades sont ainsi plongés dans d'interminables souffrances, car ni eux ni la cause de leur mal ne peuvent s'éteindre. En désespoir de cause, le savant doit faire machine arrière et permettre à la mort de poursuivre son œuvre, pour le meilleur et pour le pire.
Histoire de Médecins, d'Immortels ? Meilleurs récits de… ? Nouvelle de Sturgeon, Silverberg, Bloch ?
Je cherche et ne trouve pas, help !
Deleatur,
Je reprends du service sur SF Mag - et ici et partout dans la galaxie... - alors si tu as un SP à lâcher n'hésite pas je m'occupe de ta pub !
Petites erreurs repérées dans la base :
Le titre anglais de l’autobiographie de Ballard est Miracles of Life (et pas The Miracle of Life)
Le titre français pour The Terminal Beach est L’ultime plage et pas Ultime plage (voir J’ai lu SF 629 – Univers 03)
Crash ! - La date de l’édition en Presses Pocket est 1987.
Cauchemar à quatre dimensions :
Le titre GB est The Four Dimensional Nightmare
(Ya qu’un « n », oui je sais je chipote mais on corrige ou on corrige pas !)
Voilà voilà, à dans 6 mois les amis. (je blague!)
Ouais, aux chiottes 2009 et vivement 2010 !!!
Salut les amis,
Je cherche l'origine de la "pelle temporelle" (où des textes où elle est utilisée), qui est non pas un baiser entre deux amoureux appartenant à deux époques différentes (comme chez Priest)... mais cette invention bien pratique qui permet de chercher des objets appartenant à une autre époque quand on ne peut pas s'y rendre soi-même. Dick et Silverberg (je crois) l'ont utilisée, mais si vous avez plus d'infos ou de détails, you're most welcome.
une table de massage pour E.T. femelle à 3 orifices
(les modérateurs censureront les réponses si besoin)
Tiens le titre V.O. est toujours pas corrigé : "He Walked among Us"
OK je fais prof tatillon mais ça fait vraiment pas belle faute le "He Walk" !
Tiens je l'ai vu ce matin - sentiments mitigés. La plupart des critiques disent que ça a la goût d'un "vieux" film de SF des années 90 et au final je suis plutôt d'accord avec ça. On s'attendait presque à voir surgir Schwarzzie à la place de B.Willis...
Chez Hoebeke, novembre 2009 :
L'Encyclopédie amoureuse des vampires, textes de Katherine Quénot et illustrations de John Bolton
isbn : 9782-84230-364-8
4ème de couverture :
"Ô vampires aimés ! Que de vos canines acérées, nous sentions la morsure !
Combien ne sommes-nous pas, amoureux des vampires, prêts à tendre notre cou pour rassasier leur soif ? Les vampires n’existent pas ? Allons donc ! Dans les temps anciens, nul ne doutait que les morts continuaient à vivre dans leur tombeau ou dans l’au-delà, une idée encore très répandue au XVIIIe siècle et qui revient hanter nos cauchemars aujourd’hui. Ouvrez ce livre et sachez que les morts ont une vie, pas seulement en tant que fantômes, mais bel et bien en corps. A aimer ou à fuir, les vampires ne sont jamais loin…
Katherine Quénot est l’auteure de nombreux romans fantastiques comme Blanc comme la nuit ou Rien que des sorcières qui a reçu le Grand Prix du fantastique en 1994. Elle a également écrit avec les illustrateurs Guillaume Arretos et Civiello plusieurs albums consacrés au monde magique : les livres secrets des sorcières, des elfes, des nains…
S’il y a un maître dans l’illustration fantastique et plus précisément un peintre des vampires, c’est bien John Bolton. Il a illustré l’œuvre de Clive Barker, Neil Gaiman et Ann Rice et a signé de nombreux comics et graphic novels."
Il y a un bon papier sur True Blood dans l'Ecran Fantastique de septembre.
Quand tu dis ça, ça me donne bien envie !
"Sexe et sang sont les maîtres mots et pourtant, cela n'a rien à voir avec Ann Rice ou Poppy Z Brite (dont je ne suis pas fan), c'est bien meilleur!!! Torride, glauque, trash,"
Quelle chaîne ?
Wouf ! 6 mois que personne n'est passé par ici.
Qui a vu FRINGE (sur TF1 !!! et en VO par CanalSat) ?
C'est le X-Files des années 2000 et j'ai vraiment trouvé ça tout bon tout bon
Merci pour l'info. C'est intéressant, mais si on commence à mettre les ref. en anglais jusqu'où va-t-on aller ? Il y en a des tonnes...
Il y a même des choses comme ça :
http://www.research.sbg.ac.at/alien/index.php/Crash
Le nouveau Poppy Z. Brite, à paraître le 03 septembre :
La Belle Rouge (Prime) - suite de Alcool - traduit par Morgane Saysana, 508 pages, 22 euros
Communiqué du Diable :
"Deux ans après son lancement, le restaurant Alcool bat son plein. Les deux chefs Rickey et G-man ont une clientèle fidèle et préparent les plats à base spiritueuse qui ont fait leur réputation. Tout va pour le mieux jusqu'à ce qu'une mauvaise critique laisse entendre que le célèbre chef Lenny Duveteaux, leur « discret» bienfaiteur, a des projets bien à lui. Au même moment l'excentrique D.A Placide Treat accuse Lenny d'activités criminelles graves. Rickey et G-man décident alors de mettre fm à leur collaboration financière avec ce dernier.
Quand un restaurant de Dallas offre à Rickey un job de consultant en or, c'est l'occasion rêvée pour les deux associés de renflouer leurs comptes. Mais si Rickey accepte la proposition, il devra travailler avec Cooper Stark (un chef avec qui il avait eu une violente confrontation cocaïnée lorsqu'il était encore élève à l'école de cuisine), et Frank Firestone, un restaurateur Texan surexcité. Sous la pression de G-man, Rickey fmit par accepter. Il renouvellera le menu du restaurant de Firestone et mettra la critique à ses pieds.
De retour à la Nouvelle-Orléans, à peine Rickey reprend-t-il ses vieilles habitudes dans sa cuisine qu'il se voit contraint de retourner à Dallas. Alors que Placide Treat continue de fomenter des machinations de plus en plus étranges, G-man découvre que toute cette histoire cache beaucoup de choses et que Rickey court un danger aussi grand que le Texas.
« Poppy Z. Brite a mijoté des dialogues épicés et imprégnés de la saveur de la Nouvelle Orléans... un accès privilégié dans l'univers bien gardé des chefs.» Entertainement Weekly
Née en 1967 à la Nouvelle Orléans, Poppy Z. Brite décide à 18 ans de vivre de sa plume. Inspirée par Baudelaire et Stephen King, elle est révélée par ses premières nouvelles au charme vénéneux, bénéficiant aussitôt du soutien inconditionnel d’auteurs tels que Dan Simmons, Neil Gaiman ou Dennis Cooper. Ses écrits scandalisent, mais elle est distinguée en 1994 par le British Fantasy Award et fait figure de chef de file d’une avant-garde d’écrivains entre underground, terreur et poésie du corps.
En France, elle a publié Âmes perdues et Sang d’encre, Contes de la fée verte, la biographie Courtney Love et le sulfureux et extraordinaire Corps Exquis. Sont parus au Diable vauvert, son recueil d’essais et chroniques, Coupables, le roman Plastic Jesus traduit par Virginie Despentes, deux recueils de nouvelles, Self made man et Petite cuisine du Diable et le roman Alcool, qui inaugure la trilogie culinaire poursuivie avec La Belle Rouge."
Et pour les bouquins, il y a toujours la belle double page de Jean-Pierre Andrevon & Claude Ecken.
Evidemment, on trouve toujours une autre meilleure affaire, mais si à chaque fois on attendait!!!
C'est donc plutôt à l'envie : "est-ce que je vais me faire plaisir raisonnablement?"
Cirroco, la voix de la sagesse... et de la tentation !
Dis donc t'est pas de mèche avec mon bouquiniste toi ?
Et en plus je peux le payer en 2 ou 3 fois... sans même le sentir passer
Crois bin qu'j'vais m'laisser tenter moi...
C'est peut-être pas le bon endroit, mais bon...
Je peux avoir une collection complète de Galaxies (la série originale) 1 à 158, en bon/très bon état pour 200 euros.
Je pense que ça vaut le coup, et vous ?
Une règle ici : ne pas refaire un scan qui existe déjà sur BDFI juste pour le plaisir de dire que la belle image c'est SON bouquin perso.
Ca évite d'encombrer la base ou le serveur ou chais pu quoi (Gil sait, lui).
Toute correction / précision apportée dans la joie et la bonne humeur est la bienvenue.
J'ai encore des Pocket, 10/18 et qq n° isolés à placer + des bouquins commandés.
[ Générées en 0.010 secondes, 6 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire : 1.02 Mio (pic d'utilisation : 1.1 Mio) ]