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Une histoire d'homme-singe à la Tarzan, pour l'ami Dodds, dans un roman d'aventures conventionnel (mais sympa quand même) :
- L’Homme des Lianes ?
- C’est un être étrange qui semble de race blanche et qui vit dans la forêt à l’état sauvage, absolument comme les orangs. Il grimpe aux arbres comme un véritable quadrumane et se laisse glisser avec une vertigineuse rapidité le long des lianes (Jean Voussac, L’homme des lianes, 1946, Mon roman d’aventures n°29)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Excellente histoire de monde perdu (une île australe), habité par des humains primitifs qui se servent d'un oiseau préhistorique survivant à l'écart et hors de son époque, comme monture et moyen de déplacement...
- C'est un animal préhistorique ?
- C'est un Ichtyornis. Son espèce existait sur notre globe, en plein secondaire, durant la période crétacée, lors de l'apparition des mollusques charnacés et des dicotylédones.
- C'est incroyable !... s'exclama Linda (L. Massiera, Les chevaliers du ciel, 1954, Mon roman d'aventures 321)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Le début de ce petit roman d'aventure est fracassant, et la suite très bien aussi :
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
Un savant fou, quoi. La suite : Destruction du monde et tout le toutim !
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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