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Et, comme on en parle dans ce topic, est-ce qu'il y a des règles définies pour décrire les livres ?
On a un post sympa et détaillé, quelque part dans les forums, qui parle de ça, mais où ? Là est la question
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Lol, il faudrait le retrouver ^^
Et sinon pas de glossaire ?
Par exemple j'ai vu, pour le Cycle de Mars de Burroughs, les mentions "roman", "recueil" et "fix-up" pour ce qui semble pourtant être à chaque fois exactement la même chose. Du coup je ne comprends rien...
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Ah oui, je l'avais vu ce topic-ci, mais malheureusement il n'est en rien spécifique à BDFI et donc quasi inutile pour comprendre le site
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Histoire de remettre cent balles dans le juke box :
On peut voir qu'il y a plusieurs philosophies (si tant est que trois exemples suffisent) :
- celle de la BNF, suivie par Mollat ou Décitre : prendre bêtement le dernier n° de page numérotée (et donc scratcher les bibliographies, remerciements... et même la fin du texte si elle est au verso de cette dernière page numérotée).
- celle de Amazon ou l'Arbre à Lettre : prendre bêtement le nombre de pages fournies par l'éditeur (dans Electre ?) et donc recopier les erreurs des éditeurs peu rigoureux
- celle de la FNAC : selon l'humeur de celui qui rentre les chiffres, prendre le vrai nombre de pages... ou recopier les âneries de l'éditeur peu rigoureux.
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Merci pour le comparatif ^^
Un vrai casse-tête cette histoire de nombre de page... Impossible de faire une règle simple ET satisfaisante.
Pour la taille des livres, perso je serais moins pointilleux que pour les pages : on prend la taille "officielle" du format (si c'est un format "classique").
Les différences d'avec la norme sont minimes, 1 à 3 mm pour ce que j'ai pu observer ou ce que tu décris toi-même. Même pour le réglage de ses étagères, ça ne devrait pas avoir d'incidence
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Je rebondis sur le message de Christian pour expliquer ma logique concernant le décompte des pages d'un livre. Je n'y peux rien, j'étais un matheux au lycée, la logique intrinsèque est importante pour moi
(Et je précise que je n'ai pas relu ce qui avait été dit avant, pour ne pas me faire de nombreux ennemis )
J'avais déjà vérifié, je viens de le refaire en reprenant une bonne vingtaine de bouquins un peu au hasard (folio junior, nathan, gallimard jeunesse, bayard, j'ai lu, pocket, pocket junior, une heure-lumière, deux revues... Dans quasi 100% des cas, la page n° 1 est la première page de la première feuille après la couverture. Même si en général la numérotation est imprimée à partir de 5, 7, 9 ou 11 par exemple, c'est juste qu'il y a 2, 3, 4 ou 5 feuilles sans numéros imprimés avant. La seule exception trouvée... c'est un folio SF dans lequel soit il manque une feuille, soit le 1 commence en première de couverture, soit un bug de l'éditeur (j'ai vérifié dans un autre folio SF)... soit deux feuilles un peu collées et je n'ai pas les yeux assez réveillés (Pas impossible, un jour - lointain - je suis entré dans une banque pour expliquer que le distributeur situé devant ne m'avait donné que 4 billets (évidemment, j'avais compté, compté et recompté, je vous jure, je ne voulais pas être ridicule), et en recomptant pour le prouver devant la personne dans la banque, il y avait bien 5 billets
Bref vous me voyez peut-être venir mais :
Pourquoi devrait-on compter les pages (soit-disant) "inutiles" en début de livre, et pas les pages (soit-disant) "inutiles" en fin de livre ? Ou est la logique ?
Et les pages "inutiles" (de fin, bien sur, la toute première feuille du livre, souvent 100% blanche des deux côtés, elle est d'une importance capitale, elle, il est normal qu'elle compte ), elles commencent ou ? La postface, elle compte ou pas ? Le listing des titres de la collection, il compte ou pas ? Il compte pas ? Mais pourtant, si il est au début, il compte bien, non ?
On parle de quoi ? Du nombre de page d'un livre. Mais un livre c'est quoi ? Un objet avec entre les deux couvertures, N feuilles. Donc ce livre, il a bien Nx2 pages. Non ? Qui peut affirmer le contraire ? Pourquoi compter autre chose ?
Quel pourrait alors être le but de faire un décompte bizarre en comptant des pages "sans intérêt" en début, et pas la fin ? Si encore on comptait le nombre de pages "utiles", pourquoi pas, et dire que le nombre de page, c'est fin - début +1 (cf les début/fin de Christian). Mais non, personne ne fait ça ! Et encore, il faut définir exactement ce qu'est le "début" et la "fin"
Si le but "caché", c'est d'approcher la "taille" du contenu, par exemple pour répondre à la question "mais s'agit-il plutôt d'un roman ou d'un court roman / d'une novella ?", (donc basé sur fin - début), ce qui faut, c'est la page de début et la page de fin de ce contenu (sans les préface, articles, postface, mot de l'éditeur, bibliographie etc etc...). On cherche plutôt alors à estimer la taille de chaque contenu individuel. Pas idiot du tout, mais c'est un sujet un peu différent; pour ça il faut pouvoir saisir le début et la fin de chaque "morceau" indépendant du livre. C'est un comptage au niveau sommaire, il n'est pas impossible de le prévoir (en optionnel, on aura pas toujours et ça nécessite du travail), mais pourquoi pas, on pourra peut-être en discuter au moment ou la question des sommaires se posera !
Voili-voilou, je vous laisse cogiter
Chez moi, et avec ma logique, l'objet-livre "les meurtres de Molly Southbourne" a bien effectivement 136 pages. Il faudrait que je checke les nombres de pages de qq autres UHL vs ce que dit l'éditeur pour voir si ils ajoutent toujours 4, tiens...
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Salut,
Si ça peut aider. Quand je regarde le nombre de page d'un livre avant de l'acheter c'est pour me faire une idée du volume. Je ne cherche pas la précision. Est-ce que je vais me taper un livre de 300 pages ou 700 pages en gros c'est ma réflexion.
Quand j'ai essayé de faire le bibliographe en herbe, c'est pour moi une manière de voir si l'éditeur avait fait des coupes ou pas. Le texte est-il intégral, identique à la version originale etc.. etc... C'est le genre de recherche que pourrait faire un étudiant par exemple pour sa thèse etc... etc... Mais à ce moment là l'indication la plus juste n'est-elle pas le nombre de signe plutôt que le nombre de page qui est dépendant de la fonte et de la taille ?
J'ai remis une pièce dans le Jukebox, Christian à des gouts de chiotte en matière de musique
AB+ Laurent
Lecture en cours : Souvenir - Philip K. Dick
La Marche funèbre des Marionnettes Adam-Troy CASTRO
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Excellente idée ça, exiger de compter le nombre de signes
Pourquoi devrait-on compter les pages (soit-disant) "inutiles" en début de livre, et pas les pages (soit-disant) "inutiles" en fin de livre ? Ou est la logique ?
Il n'y a pas de logique, c'est simplement par facilité : c'est déjà numéroté donc on se base sur ça, pour se simplifier le comptage, sans se soucier des pages inutiles du début
Mais sinon je suis d'accord avec toi, une page blanche du début n'a pas plus d'intérêt qu'une page blanche de la fin ^^
Mais un livre c'est quoi ?
Il faut effectivement voir si on considère le livre comme un objet, dans ce cas on ne fait pas de distinguo entre les pages et on les compte toutes (ou pas d'ailleurs ), ou si on considère le livre comme une oeuvre, et dans ce cas il me semble important de distinguer ce qui a trait à l'oeuvre (le contenu, le sommaire, les remerciements...) et ce qui a été ajouté (le catalogue de l'éditeur, les pages blanches...).
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Excellente idée ça, exiger de compter le nombre de signes
Non le but n'est pas d'exiger mais juste déterminer quel est l'information la plus juste pour déterminer le volume d'une oeuvre. Le nombre de signe est la plus pertinente mais très compliqué à obtenir. Le nombre de page ne signifie pas grand chose mais reste très facile à obtenir. Il reste juste à déterminer la pertinence de cette information. Elle sert à quoi, à qui ? et comment la matérialiser. Comme toujours c'est un question de choix. Il ne reste plus qu'à le faire
Mon point de vue et qu'il faut que tout cela reste simple. Il est inutile de cherche de la précision en comptant les pages blanches, ou jaunies par le temps pour obtenir une information qui n'a pas réellement de sens. Allons au plus simple. Le dernier numéro écrit devrait coller à une majorité d'ouvrage. +1 si la dernière page de texte n'est pas numéroté. Pour les recueils page de début et page de fin peut être pas mal.
Si les cas particuliers ou hors norme ne sont pas légion, pourquoi ne pas les traiter de manière particulière en donnant un information moins automatique.
Pour terminer et aborder un cas particulier. il y a quelques année l'aide que m'a apporté Hervé H. sur ma base à permis pour quelques ouvrages comme les Fix-Up qui ressemblaient de prêt ET de loin à un texte unique, d'en extraire les nouvelles originale et plus précisément en mentionnant la page de début et page de fin. Ce travail là, plus que monumental, est un plus dans une base à but bibliographique et montre un sérieux que peut de base (ou pas du tout) ont. Donc à mon avis à prévoir page de début et page de fin, et pour rebondir devrait permettre pour un roman accompagné d'une préface, postface, index, remerciement, note de l'auteur, glossaire etc... etc... d'être plus précis dans le décompte.
AB+ Laurent
Lecture en cours : Souvenir - Philip K. Dick
La Marche funèbre des Marionnettes Adam-Troy CASTRO
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