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Février 2015 ;:
Ben H. Winters
Dernier meurtre avant la fin du monde
Communiqué de l’éditeur :
À quoi bon tenter de résoudre un meurtre quand tout le monde va mourir ? Concord, New Hampshire. Hank Palace est ce qu'on appelle un flic obstiné. Confronté à une banale affaire de suicide, il refuse de s'en tenir à l'évidence et, certain qu'il a affaire à un meurtre, poursuit inlassablement son enquête. Hank sait pourtant qu'elle n'a pas grand intérêt puisque, dans six mois il sera mort. Comme tous les habitants de Concord. Et comme tout le monde aux États-Unis et sur Terre. Dans six mois en effet, notre planète aura cessé d'exister, percutée de plein fouet par 2011GV1, un astéroïde de six kilomètres de long qui la réduira en cendres. Aussi chacun, désormais, se prépare-t-il au pire à sa façon. Dans cette ambiance pré-apocalyptique, où les marchés financiers se sont écroulés, où la plupart des employés ont abandonné leur travail, où des dizaines de personnes se livrent à tous les excès possibles alors que d'autres mettent fin à leurs jours, Hank, envers et contre tous, s'accroche. Il a un boulot à terminer. Et rien, même l'apocalypse, ne pourra l'empêcher de résoudre son affaire. Sans jamais se départir d'un prodigieux sens de l'intrigue et du suspens, Ben H Winters nous y propose une vision douloureusement convaincante d'un monde proche de l'agonie. Le lecteur est tiraillé par cette interrogation lancinante : que ferions-nous, que ferions nous réellement si nos jours étaient comptés ?
Dernier meurtre avant la fin du monde, de Ben H. Winters, (The Last Policeman, 2012), traduit de l’anglais par Valérie Le Plouhinec, Éditions Super 8, février 2015, 356 pages.
Dernière modification par Mister Lag (09-06-2015 10:16:49)
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Mars 2015 :
Communiqué de l’éditeur :
« Laissez tomber les blurbs : contentez-vous de lire ce roman hilarant. » Michael Moore. À l'insu de ses habitants, la Terre est depuis des décennies le programme de télé réalité le plus suivi de la galaxie. Tous se régalent depuis longtemps des aventures des Terriens, ces êtres primaires, aussi stupides qu'arrogants, qui, à force de guerres, de pollution, de décisions irrationnelles, s'approchent chaque année un peu plus de l'autodestruction. Leurs aventures sexuelles, religieuses, politiques ont souvent été irrésistibles. Puis, peu à peu, l'audience s'est mise à chuter. Les spectateurs se sont lassés. Inutile d'épiloguer : vous faites partie du spectacle, après tout, vous savez ce qu'il en est. Aussi les producteurs ont-ils décidé d'arrêter les frais. Et ils préparent en secret un dernier épisode destiné à marquer durablement les esprits : la fin du monde, prévue dans trois semaines. Un seul homme, bien malgré lui, va avoir la possibilité de sauver la planète. Scénariste has been un peu déplumé et travaillé par une libido dévorante, Perry Bunt va en effet lever le voile sur la conspiration. Hélas pour nous, il n'a pas grand chose d'un héros !
Prime Time, de Jay Martel, (Channel Blue, 2012), traduit de l’anglais par Simon Bouffartigue, Éditions Super 8, mars 2015, 484 pages.
Dernière modification par Mister Lag (09-06-2015 10:14:45)
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