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... récemment deux auteurs français dont les nouvelles m'ont résolument enthousiasmé.
Mais ne vous attendez surtout pas à apprendre quoi que ce soit de nouveau : c'est moi qui suis à la traîne !
Il y a quelque temps, je me suis offert la série des cinq volumes de Jacques Sadoul consacrés à l'histoire de la SF moderne (chez Librio).
J'ai attaqué directement par le Volume 3, je crois, parce que c'était le désir de lire enfin "L'enfant en proie au temps" qui avait motivé ma recherche. Et tant qu'à faire, j'avais trouvé satisfaisant d'acquérir la série complète.
J'ai terminé récemment la lecture du cinquième et dernier volume, celui consacré aux auteurs français.
Et deux textes m'ont marqué de façon assez particulière.
Le second était celui d'Ayerdahl ("Scintillements").
Le premier était "La station de l'Agnelle" (Jean-Claude Dunyach).
Auparavant, je ne connaissais aucun de ces deux auteurs, si ce n'est par la présence de certains de leurs ouvrages dans les rayonnages des librairies. Mais je n'avais rien lu d'eux, ni sur eux.
Et je me dois de dire que j'ai été absolument ébloui par l'émotion que véhicule le texte de Jean-Claude Dunyach. L'écriture est élégante, et le récit est... puissant.
Quant au premier, je sais que je l'ai trouvé original ; mais il faut que je vérifie de quoi la nouvelle parlait. Parce que j'ai absorbé plusieurs dizaines de récits en peu de temps, alors leur contenu se mélange un peu dans mon esprit à présent.
... Du même coup, je me suis commandé, en fin de semaine dernière, la série des sept petits recueils de nouvelles de Jean-Claude Dunyach (ceux publiés chez L'Atalante). Et j'en ai profité pour m'acheter aussi "Etoiles mourantes".
Aussitôt que j'aurai lu "Vue en coupe d'une ville malade" (acheté récemment aussi, ce qui resulte là encore de ma lecture du texte de Brussolo dans l'anthologie de J. Sadoul), je me lancerai donc dans cette grande série de textes.
Et je me sens impatient, ce qui ne m'était sans doute pas arrivé depuis un certain temps !
Ah, oui. Et comme cela ne ressort pas vraiment de ce qui précède, je tiens à préciser que l'appréciation ci-dessus ne veut en aucun cas minimiser l'intérêt des autres récits que j'ai pu lire à cette occasion, et dont j'ai sincèrement beaucoup aimé la plupart.
(P.S. c'est tout ce que j'avais à dire, désolé...)
Dernière modification par snarkhunter (28-04-2015 09:47:45)
"What I tell you three times is true."
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Et deux textes m'ont marqué de façon assez particulière.
Le second était celui d'Ayerdahl ("Scintillements").
Le premier était "La station de l'Agnelle" (Jean-Claude Dunyach).(P.S. c'est tout ce que j'avais à dire, désolé...)
Je ne peux qu'applaudir des deux mains, les nouvelles de Dunyach méritent effectivement le détour. Quant à Ayerdhal, même si je n'aime pas trop ses derniers romans un peu trop "socio-politiques" et de moins en moins "SF pure", je garde un excellent souvenir de ses premiers titres publiés au Fleuve Noir.
Et merci de nous faire partager tes découvertes
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