Vous n'êtes pas identifié(e).
Et vous pensez que ma thèse je l'ai rédigée en faisant des copiers-collers depuis Internet... ?
C'est cool de défendre ses amis, mais en l'occurence, vous pourrez voir que sur ce thème du merveilleux géographique, tel qu'il est cité dans le post, est un copier-coller de mes travaux (de thèse). Lisez-la avant de prendre une défense qui ne tient pas la route.... SVP Merci. Et nous en rediscuterons par la suite, plus facilement.
Bonne lecture, bonne soirée, Lionel ;-)
Je ne "pense" pas que vous avez "rédigé (votre thèse) en faisant des copiers-collers depuis Internet", je pense juste que, pour s'imaginer avoir inventé un concept nouveau avec l'expression "merveilleux géographique", il faut être soit ignare, soit génial. Et si par extraordinaire (pour reprendre un terme vernien) vous appartenez à la seconde catégorie, votre manière de vous exprimer sur ce site et d'agresser mes amis fait que, pourtant, je me passerai sans remords de vos lumières sur le sujet. Des verniens de qualité, j'en connais quelques uns, lesquels par dessus le marché, sont des gens aimables. Leur fréquentation me suffira amplement.
Oncle Joe
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Pour faire simple (et ainsi éviter de copier/coller le résumé...) : parution de Lionel Dupuy "Jules Verne, la géographie et l’imaginaire"
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Cher Vor-Teks, la parution chez cet éditeur très sympathique a été annoncée ici hier : http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=44533#p44533
Ici, par contre, on a été un peu douché par l'auteur
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Cher Vor-Teks, la parution chez ce éditeur très sympathique a été annoncée ici hier : http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=44533#p44533
oups, j'ai loupé ce message... mea maxima culpa
Ici, par contre, on a été un peu douché par l'auteur
vi vi d'où ma remarque entre parenthèses, l'auteur semble voir des copier/coller partout
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Tiens, puisqu'on parle de copiés/collés, je ne résiste pas au plaisir de dupliquer ici le 3e et dernier paragraphe de la présentation de l'ouvrage de notre aimable auteur sur le site en question :
À la croisée de la littérature et de la géographie, cette analyse nous conduit à repenser autrement les modalités de transmission du savoir géographique à une époque où la géographie, en tant que discipline universitaire, éprouve une certaine difficulté à susciter l'intérêt du public. Il apparaît ainsi de plus en plus nécessaire à la géographie de revenir vers la littérature et l'imaginaire, des territoires capables de produire une autre géographie.
Le naïf que je suis est assez perplexe. J'aurais pensé en effet qu'il était certes envisageable -- je n'ai pas dit souhaitable ! -- que la géographie aille "vers la littérature et l'imaginaire", mais jamais je n'aurais imaginé qu'elle puisse y revenir.
On pourrait penser a priori que ma remarque se situe uniquement sur un plan bassement syntaxique -- comme par exemple l'expression de la différence entre revenir et s'en retourner -- mais il n'en est rien, c'est le concept lui-même qui m'interpelle : j'ignorais que la géographie avait été enfantée par la littérature et l'imaginaire, j'avais toujours cru que c'était l'inverse, à savoir que le lointain nourrissait l'imagination des romanciers et autres littérateurs. Quelle erreur fut la mienne ! Quant à cette annonce d' "une autre géographie" et aux découvertes qu'elle va certainement occasionner, les lecteurs vont à coup sûr s'embarquer pour un nouveau voyage bien extraordinaire...
En tout cas, l'auteur de la préface, Maître de conférences en Sociologie et Responsable pédagogique du Certificat International d'Écologie Humaine, Université de Pau et des Pays de l’Adour m'a complètement et totalement rassuré sur les rapports charnels et intimes qu'entretenait certainement Jules Verne en son temps avec la géographie des mondes lointains ! A moins que je ne m'égare à revenir ainsi... ou devrais-je dire aller... vers les mondes réels : privée de son idéalisation, la géographie deviendrait-elle quelque chose de profane, de vulgaire, de prosaïque ?
Pour finir sur une note plus gaie, je languis de pouvoir lire un jour la géographie comparée de la lune et des voyages qu'y a effectué Lucien de Samosate dans son Histoire véritable... à moins qu'on ne se dirige ce faisant vers "une autre histoire"...
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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STOP au copier-coller, le copier-coller nuit à la digestion, encombre les artères, secrète des humeurs bilieuses!
Mis à part ceci, Charles et Vor-Teks, vous êtes admirablement retors!
L'idée que l'imaginaire revient en géographie (ou retourne), c'est peut-être en l'honneur des premiers géographes qui n'étaient littéraires que parce qu'il était impossible d'être autre chose au temps des premières cartographies du monde, et qui imaginaient ce qu'ils ne pouvaient connaître que par la puissance de l'esprit, de l'extrapolation? Pour Jules Verne, évidemment, le monde était beaucoup moins inconnu et il était, dans ses romans, un véritable romancier, donc utilisateur de la géographie.
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STOP au copier-coller, le copier-coller nuit à la digestion, encombre les artères, secrète des humeurs bilieuses!
Mis à part ceci, Charles et Vor-Teks, vous êtes admirablement retors!
I'll take it as a compliment!
L'idée que l'imaginaire revient en géographie (ou retourne), c'est peut-être en l'honneur des premiers géographes qui n'étaient littéraires que parce qu'il était impossible d'être autre chose au temps des premières cartographies du monde, et qui imaginaient ce qu'ils ne pouvaient connaître que par la puissance de l'esprit, de l'extrapolation? Pour Jules Verne, évidemment, le monde était beaucoup moins inconnu et il était, dans ses romans, un véritable romancier, donc utilisateur de la géographie.
Objection retenue, Maître !
Mais je doute que les talents de géographe de Verne, quels qu'ils aient pu être, puissent se prêter à quoi que ce soit d'autre aujourd'hui qu'une étude de la géographie du passé et/ou du traitement par un romancier passé de connaissances géographiques passées. Cela me semblerait intéresser davantage les admirateurs de l'écrivain et/ou les chercheurs en littérature et/ou les historiens de la géographie que les personnes intéressées par la géographie per se. Mais je retombe certainement là dans une approche réductrice, pour ne pas dire simpliste...
Même si en dehors de toute vision théologique -- et encore ! -- il y a consensus sur le fait que rien ne se crée à partir de rien, du moins s'il faut en croire le célèbre aphorisme* de Lavoisier, la géographie imaginée est-elle de la géographie ou de la littérature ? Ces deux dernières ont certes une identité très forte mais quelle est celle de la géographie imaginée ? A mon sens elle fait intégralement partie du domaine littéraire. A quand un psychologue pour étudier la psychologie des Norstraliens ou un sociologue pour étudier les fondements dynastiques des empereurs de Melniboné ? Et encore on pourrait y trouver du sens en les comparant à l'existant humain qui les a pour ainsi dire initiés, mais quel intérêt de comparer la géographie imaginée à la géographie réelle ?
Tiens, c'est une idée ça : je vais utiliser les cartes des CLA de Moorcock, Leiber, Burroughs, etc. pour en faire un patchwork et créer ainsi chez moi le mythique hyperespace à deux dimensions. Pratique pour se déplacer ! Encore plus fort que Jack Williamson qui créait des armes de destruction absolue avec deux bouts de métal tordus et une pelle à tarte ! Allez, ça m'aura quand même permis d'apprendre quelque chose (cf. ci-dessous)
*apparemment ce fameux aphorisme ne serait qu'un condensé simpliste de ses idées si on en croit la page http://tatoufaux.com/?Rien-ne-se-perd-rien-ne-se-cree, laquelle continue par une info éminemment amusante et étonnamment pertinente pour le sujet qui nous intéresse : En outre, ce principe avait été lui-même déjà énoncé au Ve siècle avant J.-C. par un philosophe atomiste ionien très en avance sur son temps, Anaxagore de Clazomènes : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ». Une sorte de copier-coller avant l’heure.
Point n'ai/n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
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STOP au copier-coller, le copier-coller nuit à la digestion, encombre les artères, secrète des humeurs bilieuses!
Mis à part ceci, Charles et Vor-Teks, vous êtes admirablement retors!
Merci et attention, j'ai pris option taquin et ironique aussi
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C'est formidable de pouvoir utiliser un fort joli mauvais mot et en être remerciée!
Cher procureur, j'avoue, j'avoue tout, l'accusé est coupable, ma défense tombe désarmée, il se débrouillera seul!
(ah, c'est un bon jour que celui où l'on peut être vilain avec bonne conscience )
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