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A LA VITESSE DE LA LUMIERE de Louis RENE-BAZIN.
Editions Bonne-Presse, 1955, collection « La Frégate ». Fascicule broché in-12° de 126 pages. Couverture illustrée.
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Le professeur Richard est enlevé (de son plein gré) par des extra-terrestres, les Protandres. Il est amené sur une planète idyllique ou il apprend le mystérieux secret des soucoupes volantes (mais pas nous) , les aliens en profite pour parler de l’Atlantide (qui n’est pas une légende) et de ces incapables d’égyptiens qui sans technique venant d’une autre planète n’auraient pas été foutu de construire leurs pyramides. Sur la Terre, Gilbert Brille, célèbre journaliste au « Lutétien de Minuit » enquête sur la disparition du savant et finit par trouver un récit de celui-ci ou il raconte son histoire dans les grandes lignes.
Un petit récit ne valant guère mieux qu’un petit Ferenczi vert. Vu que le savant choisi de rester sur la planète étrangère (mais cool) on ne saura rien de plus sur le secret des soucoupes volante à part le fait qu’elles se déplacent à la vitesse de la lumière par télé-lévitation, ce qui ne nous avancent guère, vu que les extra-terrestres carbonisent la petite amie du savant (qu’il avait connu sur leur planète) avant qu’elle ne révèle le secret. Malgré ce petit détail les Protandres sont réellement pacifiques et télépathes.
Louis RENE-BAZIN, (1892 – 1973), était le fils de René BAZIN, l’Académicien auteur de nombreux « best-sellers » de l’époque. Il ne semble avoir écrit que des récits populaires pour les maisons d’édition bien pensante et ce texte est sans doute sa seule plongée dans la science –fiction.
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Il y a de très bons "petits Ferenczi verts"! non mais, pfitt...
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