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Carl Stephenson
USA (1886 - 1954)
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Nouvelles
Quand la marée monte (?, ?)
in Les chefs-d'oeuvres de l'épouvante, Anthologies Planète, 1965
(Plusieurs autres parutions en traduction, dont je crois une dans une antho Hitchcock)
Traduction de la célébrissime nouvelle :
Leiningen Versus the Ants, (nv) Esquire Dec 1938.
Innombrables rééditions, dont :
The Bedside Esquire, ed. Arnold Gingrich, Tudor 1940
Masterpieces of Adventure, ed. Louis Morris, Hart 1966 ; The Penguin Book of Horror Stories, ed. JA Cuddon, Penguin 1984
Texte intégral ici :
http://www.classicshorts.com/stories/lvta.html
Dramatique radio en 1948, avec William Conrad dans le rôle de Leiningen.
Voir une transcription de la version de 1948 (émission "Escape") :
http://www.geocities.com/emruf2/otr/ants2.html
Une autre version, semble-t-il ici (diffusée en 1949) :
http://www.geocities.com/emruf2/otr/ants.html
Dramatique souvent rediffusée aux USA
Film : The Naked Jungle (1954, en français: Quand gronde la Marabunta) avec Eleanor Parker et Charlton Heston
http://www.imdb.com/title/tt0047264/combined
Dernière modification par Totofouinard (17-01-2006 18:02:27)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Pas lu la nouvelle, mais le film lui-même n'est pas spécialement conjectural.
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Non, c'est un des "chefs-d'oeuvres de l'épouvante"
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Non, c'est un des "chefs-d'oeuvres de l'épouvante"
Quoi ? Le film ?
Pour "Télérama", alors...
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Totofouinard a écrit :Non, c'est un des "chefs-d'oeuvres de l'épouvante"
Quoi ? Le film ?
Pour "Télérama", alors...
La nouvelle, bien sûr, qui appartient au registre du conte d'action et de terreur (terreur animale), ou de l'histoire d'horreur. J'ai pas (encore) vu le film qui doit osciller entre la daube et le navet, avec insertion d'une histoire serntimentale absente de l'histoire d'origine, Hollywood oblige.
Je ne sais pas s'il faut y [= dans le texte] voir de la conjecture, les fourmis sont certes organisées et mettent en oeuvre des stratégies d'attaque assez élaborées, mais ça va un peu moins loin que dans "Le royaume des fourmis" de Wells...
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Dans ce film donc (1 h30), on entend prononcer (et encore, du bout des lèvres) le mot marabunta à la 45e minute, et on écrase la première fourmi à la 60e minute. C'est tout dire... Du bon cinéma hollywoodien sirupeux, belle photo, beaux décors, des personnages aux caractères contrastés, un peu de sauvagerie, et au bout de l'aventure, l'Amour... Il était question d'un remake il y a quelques années. Avec les techniques actuelles, on pourrait accentuer un petit peu l'aspect terreur animale, ou sur le plan psychologique le côté un peu cinglé de Leiningen, et sur le plan spectaculaire, j'imagine bien le genre de film catastrophe que ça pourrait donner... Depuis 1953, le cinéma nous a habitué aux invasions animales radicales (araignées, insectes divers, etc.)
Dernière modification par Totofouinard (19-01-2006 12:29:20)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Le Carl Stephenson en question n'est pas Américain mais Allemand :
http://en.wikipedia.org/wiki/Carl_Steph … 8author%29
Il n'est pas décédé en 1954, mais après 1960 (confusion avec un autre Carl Stephenson, historien américain) :
http://en.wikipedia.org/wiki/Carl_Stephenson
Etait donc faux également en page biblio : http://www.bdfi.net/auteurs/s/stephenson_carl.php (corrigé normalement depuis).
D'ou donc le remplacement également de "1938, Leiningen Versus the Ants" par "1937, Leiningens Kampf mit den Ameisen"
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