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Bonjour! Henriette ROBITAILLIE, 1909 - 1992. Une longue vie consacrée à la littérature enfantine et adolescente, elle a écrit plus d'une trentaine de livres, la majorité pour des éditeurs bien pensants et a parfois signée du pseudonyme de Cécile Romancère.
Il y a au moins quatre romans et une nouvelle dans nos domaines préférés:
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"ALGUE", Alsatia, 1959, "Signe de piste, junior". Broché in-8° de 154 pages sous jaquette illustrée et illustrations de Michel Gourlier
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"LES SEPT PORTES D'EBENE", Alsatia, 1959, "Signe de piste, junior". Broché in-8° de 156 pages sous jaquette illustrée et illustrations de Michel Gourlier
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"LE MONSTRE DES ABÎMES, 1951, Maison de la Bonne-Presse. Broché in-8° de 56 pages. Couverture et illustrations in-texte de Pierdec. L'édition cartonnée n'a pas de couverture illustrée.
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Sa nouvelle: "LA BERGERE", écrite en 1958, se trouve dans la revue: "Satellite" n° 10 d'octobre 58.
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"LA RUE OU ERRAIT LA MORT", éditions Bonne-Presse, 1949, collection "La Frégate" n° 40, petit fascicule broché in-12° de 64 pages avec une couverture illustrée.
Roman policier, car au fil de ce court récit l'on compte un nombre conséquent de cadavres. Tous ces morts ont un point commun: une brûlure superficiellement légère, mais très profonde dans les chairs.
L'auteur nous fera suivre l'enquête du policier maison, policier qui ne vaut pas des clopinettes vu qu'à la fin du récit son enquête n'aura pas progressée d'un pouce. Plus intéressant est la démarche d'une jeune fille, qui pour se divertir un brin, se lance de son côté à la poursuite de l'assassin. Sa méthode, quoique assez frustre, a du bon car lorsqu'elle rencontre un tueur potentiel elle lui sort: "Je sais que c'est vous le coupable, et j'ai les preuves". Les résultats obtenus sont toujours assez inattendus dans l'ensemble, mais elle aussi n'obtiendra quant à la finalité de ses démarches que de piètres résultats.
J'ai lu "La rue où errait la mort" avec à l'esprit de la faire figurer dans la rubrique des "faux-amis", lorsque arriva le dernier chapitre: "Celui qu'on ne soupçonnait pas", cet énoncé m'induisit en erreur car les deux seules personnes insoupçonnables sont le policier et la détective amateur. Le "celui" réduisit donc mon opinion au..... Que nenni! Grave erreur!....
Le coupable était déjà mort à la fin du chapitre précédent, il était même au nombre des victimes. Donc, au dernier chapitre, l'inspecteur Skipp ( le fameux limier) découvre une lettre posthume du professeur Ralph Brown, le véritable meurtrier mais bien involontaire, il faut bien le reconnaître:
"J'ai pu mettre au point une découverte sur laquelle je travaille depuis des années (...) La Brownite! C'est une matière d'une grande puissance radiante (...) que je tenais soigneusement enfermée dans un lourd étui de plomb (...) La Brownite émettait des rayons extrêmement puissants neutralisés généralement par l'étui de plomb. Mais, en certains cas, la protection du plomb devenait inutile quand il se trouvait mis à une petite distance d'un autre métal assez commun (...) Ce métal polarisant brusquement les radiations, un rayon fortement ionisé transperçait la masse de plomb et traversait comme un stylet le corps d'une personne se trouvant sur son parcours."
Il faut dire que le professeur avait la malencontreuse manie de se balader avec l'étui de plomb pour ne pas se le faire dérober. Quand il comprend qu'il est le coupable il se suicide après avoir adressé une lettre explicative à l'inspecteur.
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La collection "La Frégate" de la Bonne-Presse comporte au moins deux autres ouvrages conjecturaux: "LES NOUVEAUX TROGLODYTES" de Robert Snora en 1947 et: "A LA VITESSE DE LA LUMIERE" de Louis-René Bazin en 1955, mais ceci est une autre histoire. Isma
Dernière modification par Ismaël II (16-10-2010 13:24:56)
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Henriette Robitaillie
Née à Rennes d'après la revue Satellite, journaliste professionnelle, membre de la Société des Gens de Lettre. La revue ajoute les "faits les plus marquants" fournis par l'auteur : trois semaines de prison sous l'occupation, des milliers de kilomètres à bicyclette, plusieurs fois le tour du monde.
J'ai ajouté les 4 romans, qui manquaient, merci !
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Bonjour! "LA RUE OU ERRAIT LA MORT" a été édité en édition préoriginale dans la cinquième série du "Journal des Voyages" et plus précisément du numéro 89 du 6 novembre 1947 au numéro 103 du 12 février 1948, sous le titre différent de: "LE MEURTRIER INSAISISSABLE". Cette cinquième série du "Journal des Voyages" dura de 1946 à 1949. Isma
Dernière modification par Ismaël II (11-06-2011 19:10:37)
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Dans « L’Almanach du Croisé » , (déjà tout un programme) datant de 1960, donc de fin 1959, Henriette ROBITAILLIE à pondu un petit scénario psychédélique, "ALERTE SUR S 40", illustré par un certain TROUVE. Le tout est de savoir lequel des deux a fumé le plus gros pétard. Cette admirable BD. se trouve de la page 50 à 53. Pages 15, « POUR NOS FUTURS ASTRONAUTES », nous fait un petit bilan du monde de l’espace avant l’envoi des premiers hommes.
Dernière modification par Ismaël II (21-04-2012 12:18:50)
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