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http://www.bdfi.net/auteurs/s/suquet_henri.php
Henri Suquet était ingénieur dans les travaux publics tout comme son grand-père et son père, polytechniciens. Le premier, Emile, est connu comme directeur des Chemins de fer d'Algérie et le second, Louis, reste célèbre pour ses aménagements du métro et des canaux dans Paris. Le jeune Henri ne brilla pas dans le métier paternel mais ses goûts pour la littérature et le scoutisme le menèrent à l'écriture pour la jeunesse.
Shadocks-BDFIens, pompons un peu le blog de Teddy Verano!
Vous pourrez lire ici son article détaillé sur Guerre des Forces du susdit auteur : http://merveilleuxscientifiqueunblogfr. … la-survie/
- Le mystère du Tour de France, Les éditions des loisirs, coll. Aventures, 1939, 223 pages, couverture de Claudel
- On va faire sauter Paris - suivi de On a perdu un métro, Boivin &Cie, 1935; illustré par Jobbé-Duval
(le livre existe avec jaquette ou broché illustré avec rabats, le scan ci-dessous est la version brochée)
- La guerre des forces, in Jeunesse Magazine du n° 9 (Février 1939) au n° 14 (Avril 1939), Editions du Petit Echo de la Mode (Montsouris), illustré par Pellos.
Rééditions sous d'autres titres:
- Panique sur le monde - La Guerre des Forces, Les éditions du Clocher, collection Pour la jeunesse n° 20, 1939 rééd. 1945, illustré par Sven
- Ciel de cuivre, Alsatia, collection Signe de piste n° 35, 1949, illustré par Cyril (version remaniée)
- Panique sur le monde, Apex, Collection périodique n° 8, Association Regards « Les amis de Pellos, Novembre 1994.
Tirage limité à 250 exemplaires. Fac-similé de la parution dans la revue « Jeunesse magazine » avec les illustrations de Pellos (La couverture est une reprise de l’éditions en volume réalisée par Sven).
- S.O.S ici Paris, Editions du Clocher, collection Pour la Jeunesse n° 25, 1942 rééd. 1944, 64 pages
Réédition :
S.O.S ici Paris, Fleurus & Gautier-Languereau, collection Jean-François, 1954, illustré par Raoul Auger
Mais je me demande si les deux titres ci-dessus ne sont pas une réédition sous un autre nom de "On va faire sauter Paris". Voir l'intervention ci-dessous de Teddy Verano
D'autant plus qu'un autre titre des éditions Clocher, le n° 22 "L'énigme de la rame 34" pourrait sans problème correspondre à "On a perdu un métro". Si un amateur est au courant, qu'il fasse signe! merci.
- On a volé le deux de la rue, Plon, Editions de Marly, Notre bibliothèque, 1947, illustratré par André Galland
Le rayon du sommeil, Montsouris, Pierrot la bibliothèque des jeunes n° 14, 1943, illustré par G. Marjollin, est un roman policier pour la jeunesse dont la conjecture est trop faible pour appartenir au genre, une escroquerie à la drogue mystérieure indienne en deus ex machina pour expliquer un vol incroyable. Pas terrible...
Par contre ce dernier titre très amusant peut être ajouté sans problème entre son pédalo-île flottante et ses diamants surdimensionnés.
L'Île À Pédale, A.B.C., Héros d'Aventures n° 4, 1941, 31 pages, Illustré par A. Liquois
L'Île À Pédale :
Un orphelin au bout du rouleau se retrouve embarqué clandestinement malgré lui sur un cargo de mauvais aloi. Lors de péripéties qui conduisent le bâtiment au naufrage, il se retrouve seul avec le capitaine devenu fou sur un débris de la cale. Il fabrique avec une caisse de vélos par miracle demeurée arrimée une espèce de radeau à pédales. Après quelques jours de folie, les deux hommes abordent une île étrange dont les sommets étincellent de mille feux. Elle est peuplée d'une tribu qui révèrent la déesse de lumière que des diamants énormes réverbèrent. Alors que le jeune homme tente d'extraire une énorme pierre, il est blessé par une flèche. Plus tard, il découvre la tribu préparant le sacrifice d'une des leurs pour apaiser la colère divine qu'il a causé. Il sauve la jeune femme et ils s'enfuient, après la mort du fou, sur l'île à pédales. Recueillis plus tard, le jeune homme épouse la fille des îles et s'installe dans un château breton payés en partie par les petits diamants récupérés dont le couple fait visiter le reste exposé aux amateurs...
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Faisant suite à mon amie Cirroco, je voulais juste apporter une petite précision.
Concernant l'ouvrage "SOS ici Paris" il n'a rien à voir avec "On va faire sauter Paris", il s'agit de deux thématiques différentes ( j'en reparlerai plus tard).
Il faut également rajouter à sa bibliographie ""Le mystère du tour de France", analysé en son temps dans le "Bulletin des amateurs d'anticipation ancienne", Les éditions du loisir collection "Aventures" 1939. IL faut de ce fait que je le rajoute également sur mon blog.
Amitiés.
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Merci Teddy!
Pour le Mystère du Tour de France, tu n'es en rien oublieux sur ton blog, c'est moi qui l'ai omis, surprise par le titre. Je voulais d'ailleurs te poser la question à ce propos, mais tu y a répondu comme l'éclair avant que je n'ai le temps de bouger un doigt sur mon clavier
Je rectifie dans le texte.
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Je viens de recevoir une version illustrée de ce roman qui n'est pas un cartonnage avec jaquette mais bel et bien un volume broché et illustré avec rabats (sauf qu'il m'en manque un, grr...), j'ai corrigé le récapitulatif du premier message.
C'est un beau volume très illustré par Jobbé-Duval.
Le deuxième texte, On a Perdu un Métro, n'est pas de la SF mais c'est un bon roman catastrophe : un métro disparaît brutalement avec ses conducteurs et environ 400 passagers. Parmi eux, deux garçons de la bande de Sarnain, les héros de On Va Faire Sauter Paris. En fait, le métro est "tombé" suite à un éboulement dans un couloir de connexion et sous les éboulements, il n'a d'issues que les Catacombes de Paris. En bas, les deux gamins vont diriger les opérations de sauvetage avec l'aide de quelques adultes à travers les boyaux tandis qu'en haut, Sarnain et le reste de la bande mènent leur enquête pour les retrouver. Pendant ce temps, le gouvernement et les pouvoirs publics tergiversent, la population panique, etc. A noter un beau plan du métro sur deux pages.
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Suite d’un post précédent, pour « ON A VOLE LE 2 DE LA RUE », voilà de quoi retourne l’affaire :
En se levant ce matin-là, les Saint-Goulvain sont stupéfait de découvrir que le numéro 2 de la rue du Parc-Beau a disparu sans laisser la moindre trace. Un cantonnier et un agent de police alertent leurs hiérarchies après une constatation identique. C’est ainsi que le proviseur du lycée Boileau apprends la disparition d’une bonne partie de son établissement.
Le fait demeurant inexplicable, sept élèves internes décident d’enquêter. Quittant de nuit les dortoirs ils partent explorer l’emplacement des anciennes salles de sport où ils trouvent un bouton, un bout de crayon et le cône chromé de l’extrémité d’un stylomine.
Le lendemain au cours de physique de Mr. Polisot, ils s’aperçoivent que le stylomine de celui-ci a perdu son extrémité. Ils décident, toujours de nuit, d’interroger le professeur qui fait des recherches tard dans son laboratoire. A travers la vitre ils sont surpris de voir monsieur Plaine le préparateur, installé dans un fauteuil et injuriant le professeur. N’y tenant plus, Malaire, un des élèves entre dans la salle. L’apercevant, Plaine fonce sur lui avec des yeux fous. Effrayé Malaire se sauve mais dans sa fuite il abaisse la manette d’une curieuse machine. Le préparateur pousse un hurlement débranche la machine et s’enfuit avec. Les élèves regagnent leurs dortoirs en vitesse.
Le lendemain le numéro 4 de la rue a disparu à son tour et le proviseur commence à s’inquiéter pour son Lycée qui compte douze numéros.
Grâce à la complicité de Monique, la sœur de l’un des élèves, ils arrivent à savoir ou s’est réfugié Plaine. Les élèves font le mur et vont le chercher. Pris de panique à leur vue, il se sauve et franchit le mur qui surplombe la voie de chemin de fer en contrebas. Grièvement blessé, les élèves le ramènent chez lui sous la garde de Monique et regagnent leur Lycée. Ils se rendent chez le proviseur avec monsieur Polisot qui leur explique tout :
Plaine a été un grand chercheur qui a perdu sa situation à la suite d’écarts de conduite. Embauché comme préparateur, Polisot s’aperçoit très vite de son talent et l’associe à ses travaux sur un dissociateur atomique. Plaine découvre un rayon qui anéantit tout sur une centaine de mètres mais refuse d’en communiquer le folium principal à Polisot. Puis il devient fou et s’imagine que Polisot veut détruire son œuvre, il séquestre donc celui-ci et un jour ou celui-ci veut s’enfuir il lance sur lui un rayon mal réglé, qui détruit entièrement le numéro 2. Le numéro 4 est détruit par Malaire par accident dans sa fuite.
A ce moment Monique téléphone, Plaine est mort, mais avant de mourir il lui a fait détruire le dissociateur.
Ce « dissociateur » m’a bien l’air d’être qu’un vulgaire « désintégrateur », non ! Si un topic « S. F. et collège » existait, Henri SUQUET en serait le fer de lance. Isma
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Pour continuer la bibliographie de Henri Suquet, un titre hors genre qui aurait pu prêter à confusion et l'occasion de citer un bon roman policier pour la jeunesse dans la lignée de On a volé le 2 de la rue chroniqué par Ismaël.
La Main qui saisit
Montsouris, Pierrot La Bibliothèque des Jeunes n° 3, sans date (1942), 96 pages, illustré par Marjollin
De nouveau, les lycéens sont les héros de cette aventure policière de type "chambre close" sur une rue complète. Ce sont leurs compétences "hi-tech" et leur intelligence qui permettront de résoudre l'énigme des kidnappings opérés dans cette rue.
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