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Vient de paraître :
Geiger, Karl Ignaz Anton Joseph (1756-1791)
Le voyage d'un habitant de la Terre dans la planète Mars [Texte imprimé] ; suivi des Voyages d'un Anglais en Allemagne, en Suisse et en Autriche / Carl Ignaz Geiger ; traduit de l'allemand par Michel Trémoussa. - Villeneuve-Ascq : Presses universitaires du Septentrion, DL 2005 (59-Lille : Impr. de l'Université Charles de Gaulle-Lille 3). - 1 vol. (161 p.) : couv. ill. ; 24 cm. - (Littératures de langue allemande ; 948).
Titre original : Reise eines Erdbewohners in den Mars.Titre original : Reise eines Engelländers durch einen Teil von Schwaben und einige der unbekanntesten Gegenden der Schweiz.Titre original : Reise eines Engelländers, noch ein Bändchen, durch Mannheim, Bayern und Österreich nach Wien. - Trad. de : "Reise eines Erdbewohners in den Mars" ; "Reise eines Engelländers durch einen Teil von Schwaben und einige der unbekanntesten Gegenden der Schweiz" ; "Reise eines Engelländers, noch ein Bändchen, durch Mannheim, Bayern und Österreich nach Wien". - DLE-20051116-52756. - ISBN 2-85939-902-X (br.) : 12 EUR. - EAN 9782859399023.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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L'édition originale de cet ouvrage (1790) n'est connue que par un seul exemplaire, conservé à la Bibliothèque de l'Université du Michigan, qui a servi pour une reproduction en 1967, laquelle a servi de base à cette traduction.
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Voir, en langue allemande :
http://www.literatur-live.de/salon/geiger.htm
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Dernière modification par Totofouinard (06-03-2006 18:57:34)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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L'édition de 1967 :
Carl Ignaz Geiger: Reise eines Erdbewohners in den Mars (Stuttgart: Metzler, 1967) 130 pp
Faksimiledruck der Ausgabe von 1790. Nachwort: Jost Hermand
Dernière modification par Totofouinard (06-03-2006 18:54:25)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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Présentation de l'éditeur :
La planète Mars sur laquelle Carl Ignaz Geiger (1756-1791) envoie ses astronautes à bord d'un " vaisseau volant " qui ressemble comme une sœur à la Terre. On y retrouve la " prêtraille ", les militaires, les despotes (même si l'un d'eux est éclairé). La situation n'y est donc pas plus enviable que sur notre planète, dans ces villes du Saint-Empire romain germanique que visite un riche touriste anglais (fictif, évidemment). Partout y règnent l'arbitraire, la corruption, le favoritisme, la censure, la dépravation des mœurs liée à l'omniprésence du clergé. Fuyant cette réalité peu reluisante, présentée avec réalisme, mais non sans humour, Geiger nous apprend que l'âge d'or existe... sur Mars ou, plus près de nous, en Suisse, dans des lieux où se sont réfugiées la Nature et la Simplicité. Passant alternativement du récit de science-fiction au reportage, du pamphlet à l'idylle, le Voyage d'un habitant de la Terre dans la planète Mars et les Voyages d'un Anglais en Allemagne, en Suisse et en Autriche constituent des documents originaux et variés, représentatifs du rationalisme militant et de la pensée utopique à l'époque de l'Aufklärung.
Biographie de l'auteur :
Carl Ignaz Geiger, sa vie est mal connue. Il est né le 26 avril 1756 à Ellingen (Franconie). Il obtint le grade de Docteur en droit de l'université d'Ingolstadt, et mène une vie errante, vivant, semble-t-il, de cours de déclamation donnés dans les Universités des villes où il s'arrêtait. Mort de phtisie le 21 mars 1791 à Stuttgart.
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Oui, tout à fait. La préface insiste sur le fait que l'auteur se préoccupe réellement des conditions de son voyage interplanétaire, qui fait que son récit n'est pas un simple pamphlet à prétexte martien. Il fait oeuvre de SF dans la préparation du voyage et dans le véhicule (reproduit sur la couverture, inspiré d'un projet existant de machine volante)
Sur une colline de Scandinavie, par un beau soir de l'an 2082, un homme marchait d'un pas rapide. Un vent léger soulevait son immense cape noire et agitait mollement ses longs cheveux d'un blanc soyeux. Cet étrange personnage était Warner Ohberg, un prestigieux savant dont le génie paraissait bien proche de la folie (L. Massiéra, Le voleur d'océans, 1955, Mon roman d'aventures 346)
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