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COMMUNIQUE DE PRESSE SGDL - SNE - SLF
Société des Gens de Lettres - Syndicat National de l’Edition - Syndicat de la Librairie Française
Dans le cadre de l'examen du projet de loi sur la modernisation de l’économie à l'Assemblée nationale, des Députés ont élaboré des propositions d’amendements visant à supprimer l’une des dispositions majeures de la loi du 10 août 1981 relative au prix du livre en réduisant de deux ans à six mois le délai durant lequel les soldes de livres sont interdits.
L'intervention de la Ministre de la culture et de la communication, Christine ALBANEL, et de ses services, ainsi que la mobilisation commune des auteurs, des éditeurs et des libraires à travers leurs organisations professionnelles (Société des Gens de Lettres; Syndicat National de l'édition, Syndicat de la librairie française) a permis d'alerter les parlementaires sur les dangers extrêmes de ces amendements et a favorisé le retrait de celui défendu par un membre du groupe UMP. Il semblerait néanmoins que le second amendement, porté par un Député du groupe Nouveau Centre, puisse encore être maintenu malgré le vote négatif de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, ce que dénoncent avec la plus grande fermeté les auteurs, les éditeurs et les libraires.
En effet, si cette disposition était adoptée par le Parlement, elle signerait la fin du prix unique du livre et amorcerait un bouleversement total du marché du livre.
La SGDL, le SNE et le SLF rappellent que les conséquences d'une dérégulation du marché du livre seraient, en premier lieu, pénalisantes pour les consommateurs et les lecteurs. En effet, comme cela s’est vérifié à l’étranger – au Royaume-Uni en particulier où le prix unique a été supprimé en 1995 –, la dérégulation du marché du livre emporterait au moins trois effets négatifs : un appauvrissement de l’offre éditoriale, de nombreux titres ne pouvant plus être publiés par les éditeurs, une augmentation du prix moyen du livre préjudiciable au pouvoir d’achat des lecteurs, les éditeurs étant contraints de compenser le manque de recettes lié aux soldes par une augmentation globale de leurs prix et, enfin, des obstacles supplémentaires pour le public dans son accès au livre du fait de la disparition de librairies en centre-ville. Des livres en moins grand nombre, plus chers et moins accessibles, le consommateur, contrairement aux idées reçues, a tout à perdre à cette dérégulation.
Les librairies indépendantes, dont l’une des principales spécificités consiste justement à offrir au public des ouvrages de plus de six mois, ne pourraient résister à l’émergence d’un marché du solde à grande échelle dans les grandes surfaces comme sur Internet. Leur disparition serait dramatique pour la diversité de la création éditoriale et pour la vitalité des centres villes.
Les éditeurs, pour leur part, pâtiraient directement d’un report des achats de nouveautés dans l’attente des soldes, d’un « discount » sur les ouvrages du fonds de leur catalogue ainsi que de la fragilisation ou de la disparition de nombreuses librairies.
Quant aux auteurs, pour autant que le décompte de leurs droits soit praticable, ils ne mettraient pas longtemps à voir leur montant réduit à bien peu de chose : dans le meilleur des cas, l’exploitation de leurs ouvrages ne dépasserait pas la période considérée, et, le plus souvent, le public n’aurait que six mois à attendre pour acquérir un livre à un prix de liquidation. C’est dire que le système envisagé ne profiterait qu’aux auteurs de « best-sellers ».
La SGDL, le SNE et le SLF rappellent que la loi de 1981 a bénéficié depuis l’origine d’un très large consensus, parmi les professionnels comme au sein de la classe politique, la loi ayant été votée à l'unanimité, en 1981 comme en 2003 lors de son extension aux ventes aux collectivités.
Cette loi a incontestablement permis un essor du marché du livre grâce à un réseau très dense de points de vente qui garantit la diversité de l’offre éditoriale et, donc, la richesse de la création littéraire. Elle est une vraie loi de concurrence car les différents types de circuits de diffusion, des librairies indépendantes à la grande distribution, en passant par les grandes surfaces culturelles et les librairies en ligne, ont pu se développer sans que l’un de ces circuits n’écrase pour autant ses concurrents. Cette densité et cette diversité des circuits de diffusion permettent à l’ensemble des secteurs éditoriaux de trouver leur public.
Enfin, le prix unique a pour autre vertu de contenir l’augmentation du prix du livre. Ainsi, les chiffres de l’INSEE montrent que, sur les dix dernières années, l’indice du prix du livre a évolué deux fois moins vite que l’indice général des prix.
La loi du 10 août 1981 sur le prix unique du livre est une loi concurrentielle et, qui plus est, anti inflationniste. Elle constitue l'une des illustrations les plus éloquentes et les plus concrètes de la diversité culturelle. La guerre des prix que certains veulent engager aboutirait à une liquidation de la culture. Les professionnels sont pleinement disposés à ouvrir la réflexion et le débat sur ce sujet avec les parlementaires mais en prenant le temps nécessaire pour mener des analyses pertinentes.
C'est pourquoi, les auteurs, les éditeurs et les libraires demandent le retrait de l'amendement sur les soldes de livres et en appellent à l'ensemble des parlementaires et au Gouvernement afin qu'ils rejettent ces tentatives de déstabilisation du marché du livre qui seraient ruineuses et irrémédiables pour l'économie du livre et pour la culture.
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
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C'est vrai que la politique actuelle qui consiste à pilonner en fin de mois tous les bouquins invendus est vachement plus avantageuse pour les lecteurs...
Essayez de trouver (ailleurs que sur P.M. ou e(bip)y) la série d'Omale de Laurent Genefort en édition poche, vous m'en direz des nouvelles.
Tout cela est une vaste hypocrisie, ça fait longtemps que les éditeurs et les vendeurs (je n'ose pas dire libraires) se foutent royalement du lecteur et ne regardent plus que leurs graphiques financiers.
Oui, je sais, il y a des exceptions, des petits éditeurs valeureux et des libraires passionnés, mais bon...
(Oui, je sais aussi, je suis de mauvaise humeur ce matin).
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Les éditeurs, peits et grands, expliquent que ça leur coûte trop cher de stocker des livres (ils ne sont pas comme nous...)
Oncle Joe
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... et l'on comprendrait très bien leurs problèmes s'ils n'étaient pas réglés par un pilonnage, solution armée et définitive s'il en est, pas d'alternative temporelle, rien qu'un anéantissement.
C'est une grande mode de détruire ce qui n'a pas servi, commode et nihiliste. Elle a fait ses preuves sur tous les marchés, et c'est plus Economique.
D'ailleurs, il y a une subtilité que je ne comprends pas, tout au moins pour les éditeurs ayant les reins solides, si au bout de deux ans, c'est le pilonnage, pourquoi pas au bout de six mois, sans marché, les discounts s'effondreront d'eux-même. Et pour les petits qui y croient encore, je pense que la voie de l'impression à la demande est l'avenir du livre, le copyright en prendra un coup chez les collectionneurs, mais c'est un moindre mal, non
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Je pense aussi que l'impression à la demande va gagner du terrain massivement. Mais ça n'empêchera pas de numéroter facilement les tirages (au contraire). Les collectionneurs maniaques pas morts!
Oncle Joe
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C'est vrai que la politique actuelle qui consiste à pilonner en fin de mois tous les bouquins invendus est vachement plus avantageuse pour les lecteurs...
Essayez de trouver (ailleurs que sur P.M. ou e(bip)y) la série d'Omale de Laurent Genefort en édition poche, vous m'en direz des nouvelles.
Tout cela est une vaste hypocrisie, ça fait longtemps que les éditeurs et les vendeurs (je n'ose pas dire libraires) se foutent royalement du lecteur et ne regardent plus que leurs graphiques financiers.
Oui, je sais, il y a des exceptions, des petits éditeurs valeureux et des libraires passionnés, mais bon...
(Oui, je sais aussi, je suis de mauvaise humeur ce matin).
Je ne vais que chez les libraires passionnés. J'ai largement abandonné les autres.
Le débat ne porte pas sur la politique de stockage ou non, de longévité de la mise en place des livres ou non mais sur le prix unique du livre. Ce n'est pas la même chose.
Si dans 6 mois, je peux trouver un ouvrage à moitié prix, comme simple consommateur, pourquoi ne pas attendre? Mais les éditeurs prendront fatalement en compte cet état de fait et ajusteront les prix de départ en fonction. Ceux qui ont les reins solides pourront faire un effort mais les autres?
Le prix unique du livre permet un choix plus important à des prix moins élevés en France que dans d'autres pays européens.
Edouard Leclerc est pour l'abrogation du prix unique du livre. Bonne raison pour défendre son maintien.
Il suffit de voir comment ça fonctionne dans la Grande distribution pour s'inquiéter de ce qui risque de se passer sur le fragile marché du livre.
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Bien sûr qu'il faut être pour garder ce "prix unique". Sinon, adieu à la plupart des libraires de quartier.
Avec les rapaces de la Grande Distribution, la culture en prendra un bon coup.
Lorsque cela avait été voté, cela m'avait laissé pantois car je pensais que le fait de ne pas pouvoir faire des remises conséquentes, ferait que mon porte-monnaie en prendrait un coup.
Rapidement, je me suis rendu compte de mon erreur et je suis bien content de voir autant de libraires dans les rues et villes.
Merci M. Lang.
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Hey, relisez, je n'ai pas dit qu'il fallait libéraliser les prix et passer à 6 mois l'avant-solde, j'ai dit que les solutions trouvées actuellement par les éditeurs en fin de non-vente et à des fins économiques n'étaient pas des masses sociales et culturelles non plus, nuance!
Quelles librairies de quartier? Dans le Nord, cela n'existe plus. Y'a des tabac-presses, des Super-marchés presse, des super-marché du livre, mais des librairies! Quelquefois, quand t'as fait tes courses et que tu as moins dépensé pour le steak pas fou, un kilo de légumes aux insecticides doux, le savon pas trop allergique et un truc pour laver le sol qui mousse pas, quelquefois tu fais un tour au rayon livres pour acheter le dernier prix à la mode. Récession, que ça s'appelle, et c'est une période où la Culture ne prend que des claques. Et mince, qui donc a voté pour not' président si tout le monde proteste à présent?
Tiens, un truc amusant, j'ai entendu dire que les IUFM (peu efficaces, c'est vrai) sont en bonne voie de suppression et il faudrait un Master et passer un concours pour être instit', ce sont les prof' qui assureraient la formation de leurs nouveaux collègues : compagnonnage qu'ils disent
Si j'en juge la médiocrité de l'instit', avec licence, de CP que nous avons subi cette année dont la nullité en pédagogie égale (j'espère!) sa profonde connaissance en Histoire? Lettres? Anglais?, ça ne va pas s'arranger, lamentable... Et je me demande combien de "Masterisants" vont accepter une profession aussi dévalorisée lorsqu'ils auront des propositions bien plus alléchantes ailleurs? Quelles sont les chances désormais pour un enfant issu des milieux populaires d'atteindre ne serait-ce que le milieu des enseignants?
Bien entendu, le salaire des pré-enseignants disparaît, un an de moins à payer par l'Etat, pas de point retraite...
A quand les agrégés de physique pour enseigner la lecture et le lancer de ballons aux gamins de 6 ans? Enseignant à 30 ans, sans avoir eu eux-mêmes d'enfants par faute de temps et de moyens, en ayant oublié ce que c'est d'en être un et se retrouver au milieu des petits sauvages avec un schisme culturel et social énorme. Pauvre culture... les éditeurs n'ont pas à s'en faire, c'est de la littérature bobo qu'on aura, 6 mois, ce sera largement suffisant pour l'écouler avant de l'oublier.
Vous l'avez voulu votre coup de tronche, l'avez eu! et maintenant, je suis de mauvaise humeur pour toute la soirée....
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Je ne réponds qu'au problème des livres
A la fin des années 70 et au début des années 80,
nous avions encore de grandes collections soldées;
je me souviens avoir acheté systématiquement les A & D de 20 à 25 francs,
or ceci a disparu.
Aujourd'hui je me contente de racheter les services de presse
entre 1/3 et 2/3 du prix.
Ce sont les seuls livres nouveaux que j'achète.
Je ne sais pas ce qu'une dérèglementation du prix du livre aurait comme influence sur mes achats,
mais je sais que je ne changerais pas ma politique d'achat.
En conséquence, je ne m'autorise pas la moindre opinion sur la politique des autres acheteurs.
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Je sais bien que la Normandie n'est pas une référence en matière de littérature, mais la seule librairie spécialisée SF de Rouen s'est recyclée dans la BD depuis longtemps, alors je suis bien content d'avoir une fnaque et un virjine pour acheter des bouquins.
Mais bon, à la reflexion, la quasi totalité des bouquins récents que je lis sont ceux que je reçois en SP (et y en a pas des masses, avis aux généreux Directeurs de Collection qui passeraient par là ). Pour le reste je me rabats sur les bouquinistes du net (vu qu'il n'y a pas non plus de bouquinistes dignes de ce nom dans ma belle cité).
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Hey, relisez, je n'ai pas dit qu'il fallait libéraliser les prix et passer à 6 mois l'avant-solde, j'ai dit que les solutions trouvées actuellement par les éditeurs en fin de non-vente et à des fins économiques n'étaient pas des masses sociales et culturelles non plus, nuance!
Quelles librairies de quartier? Dans le Nord, cela n'existe plus. Y'a des tabac-presses, des Super-marchés presse, des super-marché du livre, mais des librairies! Quelquefois, quand t'as fait tes courses et que tu as moins dépensé pour le steak pas fou, un kilo de légumes aux insecticides doux, le savon pas trop allergique et un truc pour laver le sol qui mousse pas, quelquefois tu fais un tour au rayon livres pour acheter le dernier prix à la mode. Récession, que ça s'appelle, et c'est une période où la Culture ne prend que des claques. Et mince, qui donc a voté pour not' président si tout le monde proteste à présent?
Tiens, un truc amusant, j'ai entendu dire que les IUFM (peu efficaces, c'est vrai) sont en bonne voie de suppression et il faudrait un Master et passer un concours pour être instit', ce sont les prof' qui assureraient la formation de leurs nouveaux collègues : compagnonnage qu'ils disent
Si j'en juge la médiocrité de l'instit', avec licence, de CP que nous avons subi cette année dont la nullité en pédagogie égale (j'espère!) sa profonde connaissance en Histoire? Lettres? Anglais?, ça ne va pas s'arranger, lamentable... Et je me demande combien de "Masterisants" vont accepter une profession aussi dévalorisée lorsqu'ils auront des propositions bien plus alléchantes ailleurs? Quelles sont les chances désormais pour un enfant issu des milieux populaires d'atteindre ne serait-ce que le milieu des enseignants?
Bien entendu, le salaire des pré-enseignants disparaît, un an de moins à payer par l'Etat, pas de point retraite...A quand les agrégés de physique pour enseigner la lecture et le lancer de ballons aux gamins de 6 ans? Enseignant à 30 ans, sans avoir eu eux-mêmes d'enfants par faute de temps et de moyens, en ayant oublié ce que c'est d'en être un et se retrouver au milieu des petits sauvages avec un schisme culturel et social énorme. Pauvre culture... les éditeurs n'ont pas à s'en faire, c'est de la littérature bobo qu'on aura, 6 mois, ce sera largement suffisant pour l'écouler avant de l'oublier.
Vous l'avez voulu votre coup de tronche, l'avez eu! et maintenant, je suis de mauvaise humeur pour toute la soirée....
Je viens sur BDFI pour m'évader dans un autre monde de F & SF, et un de ses membres les plus fidèles me replonge dans celui de mon boulot ! C'est pas vrai !!! . C'est pourquoi je te décerne ce superbe triple boulet :
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Je viens sur BDFI pour m'évader dans un autre monde de F & SF, et un de ses membres les plus fidèles me replonge dans celui de mon boulot ! C'est pas vrai !!! . C'est pourquoi je te décerne ce superbe triple boulet :
l'est fâché
quand j'ai compris que je n'y comprenais rien, j'ai cessé la lecture
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Ok, je me mets en vacances. Justement, me fallait juste quelques boulets pour comprendre que J'avais lancé le sujet qui m'a mise d'une humeur de dogue, je prends le large.
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Ok, je me mets en vacances. Justement, me fallait juste quelques boulets pour comprendre que J'avais lancé le sujet qui m'a mise d'une humeur de dogue, je prends le large.
Non, reste, reviens, pars pas ! Sinon ca va être comme ça dans le coin :
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Actuellement le fossé qui sépare le libraire généraliste de la "grande surface culturelle" (ce que auchan et leclerc mettent en place actuellement) diminue de plus en plus, retour dans les trois mois pour les offices, diminution des stocks et absence de fonds, l'offre éditoriale est telle que la durée de vie d'un livre en librairie et de plus en plus courte, mis a part ceux qui sont mis en avant par les libraires qui les ont lus et qui les défendent (c'est a dire a quelques exceptions prés ceux que les représ/ éditeurs poussent ou ceux qui sont reçus en SP).
Les librairies spécialisées n'ont quasiment aucune chance de survie dans les villes de taille moyenne.
Si on supprime le prix unique on enterre définitivement une profession qui vas mal et qui est de plus en plus concurrencée par internet.
Les editeurs ont d'ailleurs déjà trouvé un moyen de contourner la loi puisque certain d'entre eux écoulent leur stock a six mois auprès de bouquinistes choisi. c'est fréquent dans la BD depuis quelques années déjà et j'ai l'impression que cela s'étend a certaines collections de poches.
Je suis assez d'accord sur l'édition a la demande mais ou allons nous pouvoir découvrir ces ouvrages?
Qui vas assurer leur diffusion? j'ai encore beaucoup de mal a "feuilleter" un livre sur le net.
Ou a être attiré par un titre ou une couverture.
C'est vrai que c'est un sujet assez déprimant pour ceux qui aiment le livre et les librairies.
On peux toujours espérer que la grande distri abandonne le livre et que de nouvelles librairies refleurissent un peu partout dans nos villes mais je crains que pour le ce soit vraiment de la SF
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Ho, les amis! Un peu d'optimiste, tout de même!
Pour l'instant, j'ai du mal à lire toutes les nouveautés qui m'intéressent (et je ne lis pas de Fantasy). Il y a crise, c'est sûr, mais les livres seront toujours publiés d'une manière ou d'une autre!
Oncle Joe
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Ho, les amis! Un peu d'optimiste, tout de même!
Pour l'instant, j'ai du mal à lire toutes les nouveautés qui m'intéressent (et je ne lis pas de Fantasy). Il y a crise, c'est sûr, mais les livres seront toujours publiés d'une manière ou d'une autre!
Oncle Joe
Je partage ton semi-optimisme, ayant de toute façon des années de retard dans mes lectures,
et sans aucun espoir de mise à flot.
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Nick Talopp a écrit :Ho, les amis! Un peu d'optimiste, tout de même!
Pour l'instant, j'ai du mal à lire toutes les nouveautés qui m'intéressent (et je ne lis pas de Fantasy). Il y a crise, c'est sûr, mais les livres seront toujours publiés d'une manière ou d'une autre!
Oncle JoeJe partage ton semi-optimisme, ayant de toute façon des années de retard dans mes lectures,
et sans aucun espoir de mise à flot.
Je n'ai pas encore lu tous les ouvrages recensés dans les Terres Creuses. Ca laisse de la marge.
En même temps acheter tous les livres présents dans cet obscur opuscule ne risque pas d'assurer la fortune des libraires de neuf soumis au prix unique du livre
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Nick Talopp a écrit :Ho, les amis! Un peu d'optimiste, tout de même!
Pour l'instant, j'ai du mal à lire toutes les nouveautés qui m'intéressent (et je ne lis pas de Fantasy). Il y a crise, c'est sûr, mais les livres seront toujours publiés d'une manière ou d'une autre!
Oncle JoeJe n'ai pas encore lu tous les ouvrages recensés dans les Terres Creuses. Ca laisse de la marge.
En même temps acheter tous les livres présents dans cet obscur opuscule ne risque pas d'assurer la fortune des libraires de neuf soumis au prix unique du livre
Crois-tu, a contrario,
que l'achat de tous les livres énumérés dans l'opus cité,
permettrait d'arriver à la fortune convoitée, désirée, espérée
pour les libraires (anciens) complètement dérèglementés et soumis à la folle loi du marché,
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Fantomas a écrit :Nick Talopp a écrit :Ho, les amis! Un peu d'optimiste, tout de même!
Pour l'instant, j'ai du mal à lire toutes les nouveautés qui m'intéressent (et je ne lis pas de Fantasy). Il y a crise, c'est sûr, mais les livres seront toujours publiés d'une manière ou d'une autre!
Oncle JoeJe n'ai pas encore lu tous les ouvrages recensés dans les Terres Creuses. Ca laisse de la marge.
En même temps acheter tous les livres présents dans cet obscur opuscule ne risque pas d'assurer la fortune des libraires de neuf soumis au prix unique du livreCrois-tu, a contrario,
que l'achat de tous les livres énumérés dans l'opus cité,permettrait d'arriver à la fortune convoitée, désirée, espérée
pour les libraires (anciens) complètement dérèglementés et soumis à la folle loi du marché,
Cela est certain même. Affreux personnage qui ne sont pas soumis au prix unique du livre, qui vendent des fortunes un ouvrage sur lequel on voit bien qu'il est mentionné, par exemple, 40 centimes, tout ça parce que c'est un certain Gustave Le Rouge, par exemple, qui l'a écrit. D'toute façon, demandez dans la rue: personne ne connaît Gustave Le Rouge!
Méritent tous d'aller en enfer, ces libraires anciens ( à ne pas confondre avec anciens libraires, personnages qui peuvent être agréables s'ils ont liquidé leur stock à pas cher)
Dernière modification par Fantomas (31-05-2008 23:45:10)
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D'toute façon, demandez dans la rue: personne ne connaît Gustave Le Rouge!
Si, si, il est très connu,
C'était un agitateur allemand victime d'un attentat dans les années 60
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