Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Pas trouvé dans la base le Jean Rosmer suivant (ni aucun autre d'ailleurs).
Jean Rosmer et V. d'Entrevaux, 720-C-13, Bibliothèque "Dimanche Illustré", Hachette, 1929.
Site: http://collectiondaventures.monsite.wanadoo.fr
Blog consacré aux fictions mettant en scène des peuples précolombiens: http://lespeuplesdusoleil.hautetfort.com/
Forum: http://litteraturepopulaire.winnerbb.net/portail.htm
Blog sur la SF ancienne: archeosf.blogspot.com
Hors ligne
Je continue ma réfection de la base avec un autre achat de braderie! allez hop, un petit coup de plumeau sur cette pauvre Jean Rosmer qui mériterait plus d'honneur...
http://www.bdfi.net/auteurs/r/rosmer_jean.php
Jean Rosmer (Toulouse, 07/02/1876 - Paris, 24/03/1951)
Jeanne Louise Marie Ichard
Nom d'épouse Bernhardt (épouse du romancier Marcel Bernhardt connu sous le pseudonyme Alcanter de Brahm), autres pseudonymes : Jeanne Alcanter de Brahm (Jane Alcanter de Brahm en anglais), Marcel d'Entraygues, Jan Rosmer.
Cette romancière populaire a, comme ses confrères, touché à tous les genres dans la première moitié du XXe siècle. Quoique surtout référencée pour ses ouvrages sentimentaux, elle a écrit de nombreux romans d'aventures en particulier pour les fameux Tallandier Bleus mais aussi pour d'autres collections des éditions bon marché de l'époque.
Parmi cette production importante, deux romans de science-fiction au moins, le premier écrit en collaboration avec Valentine Benoît d'Entrevaux*, une dame également, 720-C-13 (Hachette, 1929). Le second eut sans aucun doute du succès et fut distribué comme livre de prix à la même époque sous deux titres différents! Ce n'est d'ailleurs pas sa seule particularité, il n'est pas daté précisément et ne figure que sous une seule forme à la Bibliothèque Royale de Belgique, la Bibliothèque Nationale de France ne le référençant pas du tout.
Et pourtant il existe. (plagiat de Galilée)
Chronologiquement, il est possible qu'il soit d'abord paru chez Casterman, en Belgique donc, sous ces formes aux alentours de 1935 :
- L'Oiseau de Feu, Jean Rosmer, illustrations de René Bresson, couverture de J. Druet.
Casterman, sans date (1935), broché illustrée, 155 pages.
- idem mais en cartonnage rouge avec vignette illustrée cette fois par René Bresson.
Il est référencé sous ce titre à la BRB.
Parallèlement, ou peu après, le même roman paraît en France sous le titre de
- L'Avion Fulgurant, Jean Rosmer, couverture et illustrations de René Bresson.
Paul Duval, sans date, cartonnage rouge avec vignette illustrée, 155 pages.
Sous ce titre le roman n'est référencé nulle part et pourtant il connaît au moins trois reliures toutes datées environ de 1935/1937 (dates approximatives relevée sur les étiquette de prix scolaires).
A noter que la troisième reliure en ma possession, les feuillets ont été imprimés en Belgique, ce qui confirmerait l'hypothèse d'un partenariat Duval/Casterman.
Outre la ressemblance notoire entre le cartonnage Casterman et l'un de chez Duval, le nombre de pages et l'illustrateur identique, un extrait illustré du roman établit indubitablement la preuve qu'il s'agit bien d'un seul et même roman!
Dans tous les cas, il s'agit ici d'une aventure d'espionnage en France avant la seconde guerre mondiale qui met, Yves Bermond, un jeune héritier en butte à une bande germano-argentine dont le chef ne se montre jamais que dissimulé derrière un masque humanoïde fixé par des crampons d'acier. Le jeune garçon apprend de sa grand-mère à l'occasion de ses dix-sept ans qu'il est le dépositaire d'une formule secrète d'un explosif révolutionnaire conçu par feu son père. Cette formule ne doit être remise qu'au gouvernement français et seulement si la guerre menace. Hélas, un papier essentiel pour la remise des documents a disparu de chez le notaire, le héros part donc consulter le dépositaire, il est suivi...
Tout cela fleure déjà le roman d'aventures extraordinaires, c'est sans compter l'intervention d'un autre membre de la famille, Armel Vaillant, filleul de l’aïeule, et surtout aviateur renommé dont les exploits actuels enflamment les esprits. Ne l'aurait-on pas vu à des endroits très différents quasiment au même moment?
Effectivement, la machine qu'il a inventée est un prodige scientifique. L'avion fulgurant ou l'oiseau de feu aux ailes rétractables, muni d'une porte dissimulée, est capable de décoller quasi à la verticale, d'atteindre la stratosphère à plus de 2300 mètre d'altitude et de voler à 900 km/h, pour un peu, il atteindrait Mars, affirme le mécanicien Bric-à-Brac.
Notons que pour une fois, le héros n'est pas Breton malgré son prénom, mais plus ou moins originaire du centre de la France, en Dordogne ou Corrèze. L'époque est résolument des années 1930 puisque le jeune conducteur doit traverser la moitié de la France pour aller à Bordeaux, d'après sa grand-mère.
L'histoire d'espionnage ne manque pas de charme rétro avec son grand méchant allemand masqué entouré d'une bande numérotée et de sbires exotiques venus d'Argentine. Une très belle jeune femme est à leur côté dont le rôle reste énigmatique comme sa personnalité jusqu'aux révélations finales.
* Faisons profiter du lifting madame d'Entrevaux :
http://www.bdfi.net/auteurs/e/entrevaux_v.php
V. D'Entrevaux (Privas, 12/07/1889 - Saint-Priest, 24/05/1956) France
Valentine Benoît d'Entrevaux, Marie-Josèphe-Valentine Benoît d'Entrevaux
Autres pseudonymes : Éric de Cys, V. d'Entrevaux et J. de Cheylus, Benoît d'Entrevaux.
Romancière populaire ardéchoise de la première moitié du XXe siècle.
Hors ligne
La Filleule De L'Homme Masqué, Jean Rosmer, illustrations intérieures de Henri Schaeffer, couverture générique de la collection par "Monne Clacs" (signature étrange et aucune référence sur internet)
Casterman collection Récits Instructifs et Amusants, sans date (1930-1935), 12 x 18 cm broché illustré, 140 pages.
Comme presque toujours dans les éditions belges, aucune date à laquelle se fier. Ce petit recueil de cinq contes n'est pas référencé sur les Bibliothèques Nationale et Royale. C'est donc une date déduite de l'activité des auteur et illustrateur et du petit billet de prix scolaire inclus.Cinq Six contes fantastiques conformes à la morale mais quand même relativement cruels et confondants, tous inspirés, ou tout au moins situés, de la Corse. Ces récits seront d'ailleurs réédités après-guerre dans un recueil augmenté sous le titre de "La Chanson du Maquis - Contes et Légendes de la Corse" publié sous différentes présentations. Les illustrations sont décevantes de la part d'un artiste-peintre, de l'alimentaire sans âme, la position des mains levées paumes vers le péril semble être une routine bien graissée.
Le funeste destin rattrape Grantesta, le savant en quête d'immortalité pour avoir le temps de réaliser ses découvertes...
Sommaire :
- La Filleule De L'Homme Masqué p. 7
- Les Trois oranges p. 27
- Le Sac merveilleux p. 59
- Grantesta p. 85
- La Prisonnière du Soleil p. 109
- Harpalionu p. 133
La Chanson du Maquis - Contes et Légendes de la Corse, Jean Rosmer, illustrations intérieures de Henri Schaeffer
Casterman
Diverses éditions, probablement après-guerre (à conforter), il en existe peut-être d'autres présentations.
Sans date connue (un propriétaire avance "1953", à rapprocher de l'édition semblable de l'Oiseau de Feu dans le post précédent qui serait donc plus tardif), broché illustré, couverture de J. Druet.
Sans date connue (vers 1945 Prix décerné en 1947), version cartonnée souple non illustrée
Sans date connue(vers 1955) version cartonnage à vignette
Sommaire :
- L'auberge de curiosité
- La prisonnière du soleil
- La soupe aux pierres
- Harpalionu
- La bête à sept têtes
- La filleule de l'homme masqué
- Les trois oranges
- Le sac merveilleux
- Grantesta
- La dent du paladin
Hors ligne
J'ai un peu mécompté, d'accord, mais il n'y ni pré ni post face, sinon j'aurais signalé
Hors ligne
Pages : 1
[ Générées en 0.016 secondes, 10 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire : 1.24 Mio (pic d'utilisation : 1.33 Mio) ]