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Dans le recueil "Fantômes à lire" paru dans la collection "Un Mystère", n°713 - 1964, se trouve une nouvelle fantastique d'Algernon Blackwood non mentionnée dans la base (enfin, j'lai pas trouvé )
- "Le serment tenu" - "Keeping his promise" - 1906.
Sur le site Fantastic Fiction : http://www.fantasticfiction.co.uk/b/algernon-blackwood/ on peut aussi trouver les dates d'écriture originales des nouvelles de Blackwood dont certaines ne sont pas mentionnées sur la fiche bibliographique de l'auteur, par ex. :
# Max Hensig (?, Max Hensig) >>>> (1907)
in Migrations, Denoël, Présence du Futur n° 101, 1967.
# La folie de Jones (?, The insanity of Jones) >>>> (1907)
in Le camp du chien, Denoël, Présence du Futur n° 201, 1975.
Je ne suis pas sûr que la blibio de Blackwood soit complète sur bdfi, mais Uncle Joe doit en connaitre le détail ...
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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Merci !
D'ailleurs un sommaire complet de ce recueil serait le bienvenu :-)
... Et si qq connaît date et titre vo de "Le lac du squelette"...
... Et il me manque (à priori) une nouvelle parue dans "Histoire de fantômes d'enfants", Losfeld 2000...
A vot'bon coeur !
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D'ailleurs un sommaire complet de ce recueil serait le bienvenu
Et voili !
Fantômes à Lire - Collection "Un Mystère" n°713 - éd. Presses de la Cité - 1964.
(Traduction de Alain Dorémieux)
1 - Le Serment tenu - (Keeping his promise) - Algernon Blackwood
2 - La Maison de poupées hantée - (The Haunted doll's house) - Montague R. James
3 - W.S - ( W.S) - L.P Hartley
4 - La Main dans le gant - (Hand in glove) - Elisabeth Bowen
5 - Les Portes qui s'ouvrent - (The Queer Door) - Douglas G. Browne
6 - Ann Leete vengée - (My Lad) - Marjorie Bowen
7 - La Chambre dans la tour - (The room in the tower) - E.F Benson
8 - Siffle et je viendrai - (Oh whistle and i'll come to you) Montague R. James
Le danger de devenir idiots n'est pas de nature à effrayer les hommes, car, à tout prendre, ça ne les changera pas beaucoup. Jacques Spitz
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