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D'après mes volumes, bien rangés
“Histoires parapsychiques” : 1983 (avril)
“Histoires de survivants” : 1983 (octobre)
J'ai plongé dans la SF avec les J'ai lu et les "Meilleurs récits de... "
De retour de l'Auvergne profonde, sans internet... et sans neige ... où sont les traditions ? Bonne année à tous !!!
Toute ma jeunesse, sniff...
C'est marrant ça me me fait penser à un topic que j'avais envie de lancer entre nous : Pour ou contre le livre numérique ?
Avec les collectionneurs fous de papier qui rôdent ici, moi le premier, les réponses pourraient être intéressantes...
Episode 7, cool 3 ans devant moi !!!
Ouèpe merci j'en ai d'autres à mettre, en attente (Christian si tu nous écoutes... MDR) problème de scan et données perdues
Dr Mabuse a écrit :bien qu'il ne comporte que 331 pages,
et au mieux 336 en comptant les pages sans texte de la fin du volume.![]()
340 pages si tu compte les plats de couvertures. Ce qui se fait couramment en édition.
Voilà! En voilà un qui m'a compris, enfin ! Hein, la sorcière ;-)...
Je compte tout, "from cover to cover", pour faire du JCVD...
L'ÉPISODE 7 PRÉVU POUR 2015
DISNEY RACHETE LUCASFILM ET PREVOIT LE NOUVEAU FILM STAR WARS POUR 2015 !!! (vu sur laposte.net, ou Lemonde.fr, ça fait plus sérieux)
"Disney, le géant américain du divertissement a annoncé, mardi 30 octobre, qu'il allait acheter Lucasfilm, la société de production du créateur de La Guerre des étoiles, George Lucas, pour un montant évalué à 4,05 milliards de dollars. Disney prévoit de payer environ la moitié de la transaction en numéraire et le reste en actions qui seront émises au moment du bouclage de l'opération.
"Cette transaction combine un portefeuille de contenus de classe mondiale, incluant La Guerre des étoiles, l'une des plus grandes franchises de divertissement familial de tous les temps, avec la créativité unique de Disney sur plusieurs plates-formes", a indiqué le PDG de Disney, Robert Iger, cité dans un communiqué du groupe.
"La taille et l'expérience de Disney donnent à Lucasfilm l'occasion d'ouvrir de nouvelles voies dans les films, la télévision, les médias interactifs, les parcs à thème, le divertissement et les produits de consommation", a estimé pour sa part George Lucas, qui détenait jusqu'ici l'entreprise à 100 %. "Il est maintenant temps pour moi de passer La Guerre des étoiles à une nouvelle génération de réalisateurs. J'ai toujours cru que La Guerre des étoiles me survivrait, et je pense qu'il était important de mettre la transition en place de mon vivant", a-t-il commenté.
Disney a par ailleurs annoncé que le septième épisode de la saga interstellaire sortirait dans les salles en 2015. George Lucas participera à l'aventure en tant que consultant. Kathleen Kennedy sera quant à elle la productrice du film. "La Guerre des étoiles 7 devrait sortir en 2015 et d'autres films devraient continuer la saga et faire prospérer la franchise bien au-delà dans le futur", indique le groupe américain dans un communiqué. A l'avenir, Disney projette de sortir un nouvel épisode tous les deux ou trois ans."
Lucas avait - il y a bien longtemps, dans une autre galaxie... refrain connu - qu'il n'y aurait pas d'autre Star Wars après lui...
(et perso je suis content de balancer mon 1000ème post avec cette nouvelle ! )
Dans la page de G. Klein, il manque quelques dates des nouvelles du recuel "Mémoire vive, mémoire morte" :
La question (?) : 2004 (1ère publication dans l'anthologie "Il était une étoile et demie à ma montre", les publications Onire) [1ère publi : document PDF uniquement, non recensé pour l'instant]
La serre et l'ombrelle (?) : 1989 - (1ère publication sous le titre "La journée du 20 avril 2049 sera calme" dans l'anthologie "La Terre perd la boule", Paris, SNCP, Libération, 1989) [OK]
Spéculons sur l'avenir (?) : 1997 (1ère publication sous le titre "Le Temps... c'est de l'argent" in De la corbeille à internet / Le Journal des finances) [OK]
Tout conte fait (?) 1978 (dans l'anthologie critique de Bernard Blanc "Pourquoi j'ai tué Jules Verne", Stock) [OK]
Trois belles de Bréhat (?) : 2007 (non SF)
Mince alors... Un des pilliers de la défense et de la critique de la SF nous quitte. Immense respect. Le voilà parti pour les étoiles j'imagine...
J'ai dû reformater mon PC cet été, et j'ai perdu tout plein de trucs, y compris tous les scans que j'avais envoyés ici...
Vous me redonnez le lien pour envoyer des scans sur BDFI ?
Moi j'arrête pas les bonnes affaires. Nouvelle piste (pour moi), les désherbages de bibliothèques.
Ce week-end, 1 euro le livre, une quinzaine de titres, rien que des grands formats, des Laffont, Imagine / Flammarion, J'ai lu Millénaires...
Et il n'y pleut pas...
Vient de paraître chez Honoré Champion
Natacha Vas-Deyres : "Ces Français qui ont écrit demain. Utopie, anticipation et science-fiction au XXe siècle"
Avant-propos de Roger Bozzetto et Serge Lehman, 536 p., relié, ISBN 978-2-7453-2371-2, 110 €
L’écriture de nos futurs possibles appartient aux littératures de l’imaginaire, aux récits utopiques, à l’anticipation et à la science-fiction. En France, ces visions souvent pessimistes ou inquiètes se sont développées depuis la fin du XIXe siècle par l’invention d’une veine littéraire dont l’héritage touche et structure les œuvres les plus actuelles. De Jules Verne à Serge Lehman, en passant par Rosny Aîné, Régis Messac, Pierre Boulle ou Michel Jeury, cette littérature française conjecturelle selon le mot de Pierre Versins, révèle un imaginaire collectif complexe, vecteur de contextes technologiques en évolution constante depuis l’advenue des sociétés industrielles. Comment appréhender un progrès technique et scientifique annoncé comme inéluctable mais insaisissable ? Seule la science-fiction ou l’anticipation déploient des images virtuelles suffisamment diversifiées pour s’approprier ou explorer une histoire moderne confrontée aux désirs d’alternances, de révoltes ou d’alternatives. Plusieurs générations d’écrivains français, issus de la littérature populaire, générale ou spécialisée, ont travaillé depuis un siècle à l’invention ou à la réinvention de nos sociétés contemporaines ; la projection vers ces univers politiques, sociaux ou technologiques n’existe que pour nous prévenir : élaborer le futur nécessite de l’écrire dès aujourd’hui.
Natacha Vas-Deyres est agrégée de Lettres modernes, Docteur en littérature française, chargée de cours et chercheur associé de l’Université de Bordeaux. Spécialiste de l’anticipation française de l’Entre-deux-guerres, elle mène aussi des recherches sur la science-fiction française et internationale contemporaine qui s’orientent vers la reconnaissance et la portée de cette littérature du futur et du présent.
Inoubliable auteur de Make Room ! Make Room ! (Soleil Vert) et le Rat en acier inox était bien fun lui.
Un auteur trop peu traduit chez nous !
La radio en parle :
Serge Lehman évoque Bradbury ce matin sur le Mouv' à 8h15 / 8h20
Brocantes sympas dans les différents quarties de Reims depuis le début du printemps...
Ce week-end : 100 (CENT, ONE HUNDRED !) livres pour... 3 euros !!!
2 gros sacs, avec 30 % de n'importe quoi (des livres de Roucas et Fabrice ), mais tout le reste est de la SF en bon état.
Une trentaine de Fiction, + des Albin Michel, Opta, Fleuve noir, Bob Morane...
Bref, j'en garde les 2/3 et ça me revient... à 4 centimes le livre.
Belle affaire
La triste nouvelle vient de tomber, Jean Giraud / Moebius, vient de décéder à l'âge de 73 ans
Adieu l'artiste.
Mister Lag a écrit :Bon, comme ça me rapproche des 1000 posts
, j't'y réponds
Allons bon, après le 1000e posts, tu ne me répondras plus?!
Si si bien sûr, j'ai le sentiment qu'avec ce topic relancé - spécial papages - je peux aller jusqu'à 2000 !
Plus sérieusement, on mentionne les préfaces maintenant ? On n'a pas fini ...
Allez voir aussi ici - Romans SF et bédé - pour d'autres titres Arédit / Artima :
Oh, môssieu Lag, vos papages sont mal comptées avec votre système!
Parce que c'est ce que j'avais aussi cru en comptant les miennes (de papages) pour trouver un nombre identique aux tiennes (de papages). Mais, par ex., Salut aux coureurs d'aventures ne fait pas 386 pages même en ajoutant toutes les pages après le texte y compris les 4 de la couverture!Et pour planter la banderille finale, toujours Salut aux coureurs d'aventureS prend un "s" final dans la version Néo (en couverture et en page titre)
Bon, comme ça me rapproche des 1000 posts , j't'y réponds, tiens j'arrive à 388 maintenant, avec couv' et les pages numérotées en chiffres romain...
Et je rajoute le "S"
172-173) John Buchan .......... Salut aux coureurs d’aventure, (Salute to Adventurers, 1915), trad. ?, 386 pages, isbn : 2-7304-0381-5
Impression en mai 1986, même ISBN mais avec 373 pages,
145-146) H. Rider Haggard ... Eve la Rouge (Red Eve), trad. Alexandre Ralli, 356 pages, isbn : 2-7304-0330-3
j'ai cette fois-ci seulement 341 pages!
Hey, Mister Lag, tu comptes comment tes pages?!
Pas comme toi !
Tu t'arrêtes de compter quand le récit s'achève... mais ya des p'tites papages après, jusqu'à la 4ème de couv, et je les compte toutes, pour avoir le nombre total de pages du livre.
Un livre avec un chiffre de pages impair... mais c'est un peu la 4ème dimension non ?
Bon, ça doit sûrement vouloir dire qu'un amateur de SF un peu plus agé que moi a trépassé récemment et que ses rejetons ont tout balancé au Secours Pop'
Mort de rire , dire que notre tour viendra... ça fait peur. Moi j'ai déjà prévenus mes rejetons qu'ils devraient tout revendre à prix d'or sur PM ou EB.
Euh c'est quoi un GAFIAteur ?
Pas de langue de bois, c'est bien !
Merci pour les infos à vous deux
Bragelonne, c'est envoyé à l'instant, c'est simple... quelques clics et hop c'est envoyé, ils ne prennent que les versions électroniques. Réponse... dans des mois et des mois
Denoël / Lunes d'encre, j'imprime, je relie, et c'est parti à la fin de la semaine.
De toute façon je pense essayer tous les éditeurs (à compte d'éditeur) qui acceptent les manuscrits de ce genre.
Certains refusent toute proposition cette année, comme le Diable Vauvert qui reçoit... 4000 manuscrits par an !
Bon, moi je me lance, j'ai fini d'écrire mon premier roman fantastique, que je présenterais ainsi (faut se vendre!):
"L’Etrange voisine" est un roman fantastique de sexe et de sang, l’histoire d’un envoûtement, celui d’un homme qui tombe dans les rets d’une créature qui peu à peu menace de le dévorer corps et âme. Plus leur union charnelle va loin, au-delà de toute limite, plus elle prend un caractère obsessionnel pour le personnage principal masculin, dont la raison menace de vaciller jusqu’au point de non-retour. Alors que les frontières entre fantasme et réalité s’estompent, il perd tous ses repères, à commencer par celui de sa propre identité. Quant à la femme de ses rêves devenus cauchemars, elle restera insaisissable jusqu’au bout. Un récit qui pourrait être l’hybridation des univers de David Lynch (Lost Highway) et de Philip José Farmer (Comme une bête), un croisement marqué d’un grand X rouge et noir."
Le parcours du combattant commence, trouver les éditeurs (et pas à compte d'auteur) susceptibles d'être intéressés par un tel texte d'un inconnu, si tant est que ce texte soit à la hauteur, mais là je n'ai pas le recul nécessaire. J'ai déjà des idées mais les vôtres sont les bienvenues, sur ce forum où à mon adresse perso.
Quelle mémoire merci ! J'ai en tête les "Beagles" (?) de la couverture de Tinor Csernus chez J'ai lu
Question pointue, mais ici on n'a peur de rien :
Dans City / Demain les chiens de Simak, est-il fait mention de la race (une ou plusieurs) des chiens intelligents ?
Signal / Bruit
roman graphique de Neil Gaiman & Dave Mc Kean
Le diable communique :
Dans Signal / bruit, un réalisateur de cinéma apprend qu'il est atteint d'un cancer.
Son plus grand filin, le chef-d'œuvre qu'il écrivait, devait raconter l'histoire d'un village terrorisé le 31 décembre 999, persuadé que la nouvelle année apporterait la fin du monde. Ce film ne verra jamais le jour, mais le réalisateur continue à l'imaginer et le tourne dans sa tête.
Se développe alors en parallèle l'approche de deux apocalypses, l'une fictionnelle et l'autre bien réelle. La narration de Neil Gaiman et le dessin (la mise en scène) de Dave McKean se conjuguent en une histoire poignante qui émeut le lecteur par sa beauté formelle et émotionnelle.
Dans ce double espace-temps, les auteurs explorent la profondeur de l'humanité et de ses peurs avec une grande sensibilité, et usent de toute leur inventivité pour y mêler une innovante vision des théories de la communication, convoquant au passage Roland Barthes, qui avait lui aussi exploré le rapport entre bruit et signal et les méandres des mythologies populaires.
Publié en 1992 en Angleterre, attendu depuis par les fans français, Signal / bruit est sans conteste un des plus beaux romans graphiques jamais produits, au même titre que Arkham Asylum, également de Dave McKean.
Dave McKean, né en 1963 en Angleterre, est illustrateur, photographe, auteur de comics, designer, réalisateur et musicien. Ses travaux mélangent les techniques, dessin, collage, photo, travail sur ordinateur, et se distinguent par un sens unique de la narration graphique. Il a travaillé avec Neil Gaiman (The Sandman, Violent Cases) et de nombreux scénaristes sur des comics régulièrement récompensés. Il a par ailleurs réalisé un grand nombre de couvertures d'ouvrages, pochettes d'albums (pour Alice Cooper, John Cale, Dream Theater…), livres de photographie, et le remarquable film d'animation Mirrormask.
Né en 1960 en Angleterre, Neil Gaiman vit aux États-Unis. Salué comme un surdoué par Stephen King, lu dans le monde entier, il est l'auteur d'un chef- d'œuvre d'humour anglais co-écrit avec la star anglaise Terry Pratchett, De bons présages, de BD devenues cultes (The Sandman, Violent Cases), de livres pour la jeunesse et de nombreux romans et nouvelles dont ses best sellers American Gods (prix Hugo, Nébula, Bram Stoker et Locus) et Anansi Boys, parus au Diable vauvert.
Pierre Bordage
Mort d'un clone
Communiqué du Diable :
C'est le premier roman de littérature générale de Pierre Bordage, et il va fortement surprendre...
À travers la crise de Martial Bonneteau, clone ordinaire, on découvre un auteur inconnu à l'ironie mordante, un style en liberté et une plume au vitriol, le tout à la façon d'un vaudeville!
Nous sommes à la fin du siècle dernier, un chroniqueur distancié nous raconte la vie de Martial Bonneteau, un petit employé à la quarantaine aigrie, mal marié à une femme épaisse et acariâtre qu'il n'a jamais pu satisfaire sexuellement, père de deux fils aussi tristes que lui et d'une fille qui se cherche; Martial est un médiocre qui enfouit dans la routine et le mépris de soi les frustrations d'une existence de clone parmi les clones.
Et puis un matin, de micro-événements en micro-événements, un regard dans le métro, un retard au bureau, Martial Bonneteau va légèrement diverger de son chemin quotidien bien tracé, et c'est tout son univers normé qui commence à se lézarder...
Soudain livré à un confus désir de vivre, notre anti-héros va connaître bien des mésaventures : d'abord généreusement initié au sexe et au plaisir par une prostituée de la rue St-Denis, il va abattre un par un les murs qui emprisonnaient sa vie : retour au foyer, réaction des proches et des collègues, scènes de ménages, hystérie familiale, coaching psychologique... Les scènes d'anthologie se succèdent sur un rythme de comédie ou de théâtre de boulevard, et on rit beaucoup.
On rit surtout du portrait au vitriol, presque cynique, que brosse Bordage de nos aliénations ordinaires.
Jusqu'à la disparition du clone, où, après l'ironie et l'humour noir, on retrouve l'écrivain qui nous parle mieux que tout autre d'humanité.
Né en 1955 en Vendée, Pierre Bordage est lauréat du Grand Prix de l’imaginaire pour les Guerriers du silence (l’Atalante) aujourd’hui adapté en bandes dessinées, du Prix Tour Eiffel pour Wang (l’Atalante), du prix Inter Comités d’Entreprise 2008 et du Prix des Lecteurs du Livre de Poche 2009 pour Porteurs d’âmes. Riche d’un imaginaire trempé dans les mythologies, c’est un visionnaire et un conteur hors pair. Auteur populaire plébiscité par les lecteurs avec plus d’un million de livres vendus, son inspiration l’a conduit de la science-fiction à la fantasy, ou de l’anticipation au polar. Avec Mort d’un clone, écrit au début du nouveau millénaire et qu’il avait gardé inédit, il concrétisait son désir de mettre en scène le monde d’aujourd’hui. Comme il l’avait fait pour les Fables de l’Humpur, sa plume épouse époque et personnages, et montre une étendue stylistique qu’on ne lui connaissait pas encore : décapant et digne des meilleurs satiristes !
Mis en vente le 05 janvier 2012, 326 pages, 19 euros
Parution le 05 janvier 2012
Bonne année 2012, eh, c'est p'tet la dernière fois qu'on se le dit - cf Roland Emmerich
Joyeux Noël à tous dès que je rentre chez moi je vous claque une belle image !
Trop chouette ce site, et MORT AU LIVRE NUMERIQUE vive les livres papier, la plus belle déco possible pour une maison. J'ai dit !
"moins populaire", alors qu'il n'y a pas plus populaire que le Fleuve, hé bé où va-t-on ?...
Fleuve noir laisse tomber les Star Wars et c'est Pocket qui prend la relève, le mouvement inverse d'il y a une douzaine d'années ?
Importance capitale des livres et de la bibilothèque qui va sauver le monde dans"Grande Jonction" de Maurice G. Dantec.
Ou en cinéma aussi, par exemple dans la 9ème porte de Polanski.
En lisant "Histoires de Monstres" (La Grande anthologie du Fantastique chez Presses Pocket) et la nouvelle "La Bibliothèque" de Hester Holland, j'ai repensé à ce topic qui pourrait plaire aux bibliodingos d'ici (j'en fais partie ) : recenser les histoires de genre où l'on a de belles, grandes et fascinantes bibliothèques, qui jouent un rôle, petit ou grand, dans le récit.
Par exemple dans "Bibliophilie" de Bill Pronzini, in "Les Détectives de l'impos sible" (Terrain Vague)
Je n'avais rien vu ! Apparition / Disparition discrète de la coquille, Christian est le Garcimore du web
A l'Université d'Angers, les 24-25-26 novembre 2011, se tiendra le colloque :
Apparitions fantastiques : Apparition et disparition dans la fiction brève (littérature et arts de l'image)
Le programme complet est visible ici :
Ayerdhal
L’Histrion
Parution le 17 novembre 2011
Communiqué du Diable :
Un somptueux space opera qui met en scène un clown sexomorphe, anarchiste et irrésistible
« Tous ceux qui le connaissaient évoquaient Genesis comme un ordinateur doué d'une conscience intelligente, mais les Taj Ramanes savaient que rien n'était plus inexact. (...) Genesis n'était pas une machine et encore moins un outil informatique, Genesis était vivant, c'était l'organisme le plus complexe de la galaxie. »
Dans cette galaxie grouillante d'États et de communautés aux intérêts si divergents, Genesis, la créature-monde, essaie de fédérer l'humanité sous la bannière de Daym. Pour seul outil, il dispose de l'Histrion, dont l'unique fonction est de jouer les trouble-fête. Et pour l'Histrion, il a choisi Aimlin (ou Aimline) un/une sexomorphe, individualiste farouche, qui déteste le pouvoir et n'a pas été consulté(e) sur ce rôle qu'on veut lui voir tenir ...
Né en 1959 dans la région lyonnaise, Ayerdhal a bousculé et renouvelé la science-fiction française dès la publication, au début des années 90, de ses premiers romans au Fleuve Noir qui remportent un succès immédiat. On y trouve déjà ses qualités d'écrivain : rythme narratif porté par l'aventure et l'action, style exigeant et d'une richesse exceptionnelle, originalité des intrigues, densité psychologique de personnages très modernes, en particuliers féminins, sens politique et philosophique aigu... Auteur de plus de vingt romans et recueils, il est lauréat du prix Ozone pour Chroniques d'un rêve enclavé, du Prix Tour Eiffel pour Étoiles mourantes (en collaboration avec J.C. Dunyach) et à deux reprises du Grand Prix de l'Imaginaire pour Demain, une oasis et Transparences, thriller également lauréat du Prix Polar Michel Lebrun et en cours d'adaptation cinématographique.
Ensuite je suis comme toi : je n'ai que les 6 premiers et ce serait une grosse coïncidence que nous nous soyons arrêtés au même numéro (je les ai achetés à leur sortie). D'accord le n°6 annonce comme titres à paraître Psychopathe (inédit de R. Bloch) et Mort d'un vampire (inédit de F. Brown) mais ce ne serait pas la 1ère fois qu'un titre annoncé ne paraîtrait pas.
Psychopathe et Mort d'un vampire sont effectivement parus dans la série 33 de Clancier Guénaud (n° 4 & 5).
La collection est ici :
http://forums.bdfi.net/viewtopic.php?pid=37482#p37482
1-2-3-4-5-6 = anthologies de Bourgoin, yes sir !
date de parution : OK
Ca s'arrête au 6 ? Je n'en ai pas plus chez moi.
Les références du "Sourire noir":
Le Masque 1994 (octobre), grand format, collection "Thriller"
isbn : 2-7024-7826-3
Cela ne fait pas un peu conjectural tout ça?
Si, tout à fait, je me souviens de cette lecture, et c'est bien "limite genre"... comme presque tous les Brussolo même quand ils sont étiquetés thriller
(Attention, pour ce titre, la vo est The DEAD et non The DeadS)
Ah oui merci-Rocco c'est bien je suis très sensible à ce genre de correction ! car en effet en anglais les adjectifs, même substantivés, sont IN-VA-RIA-BLES, et the Deads c'est vrai pas beau et donc... Je vous ennuie?
Et je rebondis sur Cirrocco ! (c'est juste une métaphore hein ...)
image absente pour la page de Robert Bloch :
anthologie préparée par Stéphane Bourgoin
traduit par Jean-Paul Gratias
isbn : 2-86215-059-2
Genre : on peut le classer dans le fantastique
"Des acteurs qui ne vieillissent jamais"
"Un ventriloque qui anime les cadavres"
"Une convention de SF où Bloch lutte contre des E.T qui ont lu Lovecraft"
etc
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