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Ce n'est pas ce que j'ai écrit.

Je suis désolée, mais je ne partage pas ce point de vue.
Côté nouvelles, il y a de nombreux AT et opportunités (je ne sais pas s'il y a beaucoup de concours payants, mais, perso, j'ai toujours mis un point d'honneur à ne pas les relayer sur les supports dont je m'occupais et je pense qu'il y a surtout beaucoup de vrais AT sérieux, donc pas payants). Côté romans, dans les genres de l'imaginaire, il y a pas mal de petites maisons ouvertes aux débutants.
De mon point de vue, si on se lance en tant qu'auteur, on suit le chemin "normal" : on répond à des AT, on propose des nouvelles à des revues, on envoie son roman aux éditeurs susceptibles d'être intéressés.
Les concours, surtout payants, me donnent le sentiment d'être "à la foire" (c'est l'expression qui me vient ce soir, mais c'est l'heure que j'aille me coucher ;-p ).
'fin, pour faire bref, ce n'est pas du tout la démarche que je conseille à un auteur.
(Je ne plussoie pas à l'idée qu'on "récupère" ses euros sous forme d'un exemplaire : si ton roman est valable, on te paie pour. Si personne n'est prêt à te payer, c'est qu'il n'est pas "éditable"...)

Déjà, c'est payant et le premier principe est de ne jamais participer à quoique ce soit de payant AMHA.
Pour les romans, à ma connaissance, il n'y a pas d'appels à textes comme pour les nouvelles car ça n'aurait pas vraiment de sens. Un appel à textes a pour objectif de répondre à une demande précise dans le cadre d'une antho. Je ne vois pas bien quel serait sa transposition aux romans...